Les �ventr�es


Je vous en parlais dans un billet pr�c�dent, j'ai �crit une nouvelle pour la collection East End des �ditions de Londres. Elle s'appelle Les �ventr�es et elle est disponible d�s � pr�sent, dans diff�rents formats num�riques (sans DRM, sauf si vous passez par la Fnac).

J'�cris depuis toute petite, et d�s huit ans, quand on me demandait ce que je voulais faire plus tard, je r�pondais "�crivain". (La f�minisation des noms de m�tiers n'�tait pas encore venue � mes oreilles.) C'est donc un v�ritable r�ve d'enfant qui se r�alise ici : m�me si ce n'est qu'une petite nouvelle, m�me si c'est au format num�rique, c'est un grand "tope-l�" par del� les ann�es entre une petite fille � lunettes et une londonienne paum�e.

Je suis d'autant plus ravie car je suis publi�e dans une collection de polars. J'ai grandi dans une maison o� la collection compl�te d'Agatha Christie �tait soigneusement en �vidence dans les �tag�res... des toilettes. Parce que, ma maman a bien raison, c'est l'un des meilleurs endroits pour commencer � lire un nouveau bouquin. Bref, le polar est l'un des genres que j'appr�cie le plus et je suis honor�e d'y apporter ma petite contribution.

Certes, il ne s'agit pas d'une detective-story au sens strict, loin de l�. Mais vous devriez y retrouver un peu de suspense... Et quelques meurtres sanglants.
Voici ce que mon �diteur, Jean-Basile Boutaka � en dire. Et voici la quatri�me de couverture :
Apr�s un drame personnel, Martha vient se ressourcer pendant quelques jours dans le village o� elle a pass� une partie de son enfance. On ne lui a pas vraiment laiss� le choix et l�id�e ne lui pla�t gu�re. D�ailleurs, elle est d�termin�e � rester clo�tr�e seule dans la maison de sa tante pendant tout le s�jour, � lire des bouquins et regarder des dvds, en buvant plus que n�cessaire. Mais le hasard des rencontres, in�vitables pour se ravitailler en nourriture, en alcool et en lectures, va en d�cider autrement. Sans parler des meurtres qui s�encha�nent de mani�re inhabituelle depuis le jour de son arriv�e�
Les �ventr�es est une nouvelle de la s�rie � Jacques l��venteur �, pour laquelle les auteurs doivent librement s�inspirer de l�histoire de � Jack l��ventreur � en situant leur histoire en France.
Voil�, j'esp�re que �a vous plaira. N'h�sitez pas � me dire ce que vous en aurez pens� en commentaire et, si �a vous a plu, � laisser des critiques sur les sites d'achat... Merci infiniment !

La Fugue de Junior Lapin d'Elisabeth Delaigle






Quatrième de couverture



Pourquoi la ville attire-t-elle autant un petit lapin qui vit dans une clairière de la forêt du Tronc qui fume ?

Junior Lapin, car c’est de lui dont il s’agit, va l’apprendre à ses dépens, d’aventure en aventure et de découverte en déconvenue, au cours d’une escapade mouvementée où il fera aussi de belles rencontres.

Junior Lapin est blanc et pour qu’autour de

PALM n°39 [AVRIL 2014]












Qu'est-ce que la PALM ? La PAL du Mois consiste à écrire article sur nos blogs avec une photo de notre Pile À Lire, accompagnée de quelques pensées sur les livres que vous possédez, sur ce que vous avez à dire des nouveautés, sur les livres que vous mourrez d'envie de lire... et ceci, tous les 15 du mois.











Pour retrouver les autres PALM, rendez-vous sur Secret-forbidden-world

Sorties Lumen Editions






Lumen est une nouvelle maison d’édition jeunesse, adolescents et jeunes adultes !






Lumen, ce sera des thrillers haletants, de grandes épopées d’aventure et des romans d’évasion, principalement dans le domaine de l’imaginaire. Fantasy, suspense, dystopie, de nouveaux auteurs parmi les plus prometteurs et des partenaires éditeurs étrangers de tout premier plan, bref une volonté de mettre

Jean-Basile Boutak, East End et les �ditions de Londres


Ceux qui me suivent sur Twitter m'auront peut-�tre d�j� entendu l'�voquer : l'une de mes nouvelles va bient�t para�tre aux �ditions de Londres, dans leur collection East End. J'en reparlerais probablement ici en temps et en heure. [EDIT : c'est par l�.]
Jusque-l�, je ne connaissais pas grand chose � l'�dition num�rique, alors j'ai trouv� passionnant de sortir un instant du monde des biblioth�ques pour faire un pas de ce c�t�-ci des m�tiers du livre.
Pour en parler plus avant, laissez-moi vous pr�senter Jean-Basile Boutak, responsable de la collection East End, qui a eu la gentillesse de bien vouloir se pr�ter au jeu des questions - r�ponses.


Jean-Basile Boutak
Jean-Basile Boutak
Quel est votre parcours ? Comment en �tes-vous arriv� � devenir �diteur ?
J�ai un parcours � �clectique �.
En ce qui concerne les �tudes, j'ai commenc� par une 1�re Scientifique, bifurqu� en Terminale Litt�raire apr�s le Bac de fran�ais, err� une ann�e en Fac de Lettres Modernes, pass� un an comme emploi-jeune dans un club de bridge et obtenu finalement une licence d�informatique.
Professionnellement, j'ai travaill� plusieurs ann�es en agences web avant de cr�er mon auto-entreprise dans ce m�me domaine. En r�alit�, cette cr�ation �tait une fuite. Je fuyais une profession que j'abhorrais. Depuis, je n'ai eu de cesse de limiter mon activit� informatique et de donner de plus en plus de place � mon activit� litt�raire d'auteur et d��diteur.

En 2011, j'ai cr�� mon blog www.e-jbb.net, dans l'espoir de me � d�lier � les doigts. Cela a fonctionn�. � l'�poque, le num�rique balbutiait (encore plus que maintenant), et je publiais de modestes articles de r�flexion sur le sujet et des chroniques de livres. J��tais tr�s actif sur les r�seaux sociaux et j��changeais par ce biais avec la plupart des acteurs du tr�s petit monde de l��dition num�rique. 
De fil en aiguille, j'en suis venu � collaborer avec un premier �diteur num�rique, sur sa collection de polars � je ne dis plus que j�en �tais responsable, car certains titres �taient publi�s sans que j'ai mon mot � dire. Cette exp�rience m�a entre autres choses appris que j'aimais l��dition. J'ai mis fin � cette collaboration au bout d�environ un an, pour plusieurs raisons que j��num�re sur mon blog.

Parall�lement � cette activit� �ditoriale, j'avais retravaill� d�anciens textes, et notamment ceux qui figurent dans le recueil Le p�re No�l ne meurt jamais. Avec deux autres nouvelles de Jean-Marie Apostolid�s � mon oncle �, je les ai soumises aux �ditions de Londres, qui ont compris et accept� notre projet. C'est ainsi que j'ai fait connaissance avec Vincent et Isabelle Potier, les fondateurs de cette maison.
Quelques mois apr�s la publication de notre titre, l�envie d��dition �tant toujours pr�sente, j'ai propos� � Vincent de prendre en charge une collection de genre, en posant n�anmoins certaines conditions, de mani�re � limiter les risques que notre collaboration s�ach�ve trop t�t. On s�est compris et la collection East End est n�e.

En plus de votre travail �ditorial, vous pratiquez donc vous-m�me l'�criture ?
Ma tentative de fiction la plus ancienne date de mes huit ans : ma grande s�ur m�avait pr�t� sa machine � �crire et la premi�re chose que j'ai essay� de taper dessus, ce fut� un polar ! J'ai toujours cet essai, d'une demi-feuille A4, gr�ce � la bienveillance de ma m�re. J�y �crivais notamment : � il �tait mal ras� mais gentil avec les pauvres �. Je ne peux m�emp�cher de sourire � chaque fois que je relis ce texte.
Tout cela pour dire que si cela fait longtemps que je veux raconter des histoires, la bascule r�elle n�a eu lieu qu'en 2011. Comme je l�ai d�j� �voqu�, cette ann�e-l�, j'ai cr�� mon blog, pour me remettre le pied � l��trier de l��criture, apr�s cinq ann�es d�abstinence cons�cutives � des tensions familiales engendr�es par mes � envies litt�raires �. Cela a fonctionn� et a donn� notamment Le p�re No�l ne meurt jamais, qui a donc servi d�entremetteur � ma collaboration avec Les �ditions de Londres.

J'ai publi� d'autres textes, toujours des textes courts, sur Nerval.fr, le magazine litt�raire en ligne de Fran�ois Bon : Le Grand plongeon et Quand les murs tombent. J'ai particip� � un recueil de nouvelles sous forme de cadavre exquis pour Les �ditions Edicool, Historietas ou Les Yeux de Fatalitas, mais il est d�sormais indisponible, l��diteur ayant mis la cl� sous la porte. Ma prochaine publication est pr�vue pour bient�t, avec une nouvelle dans l�anthologie de � SF LGBT � � voile et � vapeur des �ditions Voy'[el]. J'ai bien s�r des romans en chantier, mais je ne veux pas brusquer les choses.

Votre pratique de l��criture est-elle en lien avec votre m�tier d'�diteur ? L�une enrichit-elle l�autre ?

L��criture et l��dition s�enrichissent l'une l'autre, c'est absolument �vident.
En tant qu'�diteur, je profite de mon exp�rience d��crivant (pour reprendre le terme de Martin Winckler) � plusieurs niveaux. Dans ma relation avec les auteurs tout d'abord : je pense �tre mieux � m�me de comprendre leurs attentes, leurs angoisses, leurs d�ceptions, etc., qu'un �diteur qui ne le serait pas. Dans mon approche technique ensuite : plus on avance dans l'apprentissage de l��criture, plus on prend conscience de l'importance de la technique ; et cette technique que j�acqui�re progressivement comme auteur, j'essaie d�en faire profiter ceux avec qui je travaille � et je m'efforce de le faire avec humilit� et sans dogmatisme.
En tant qu�auteur, c'est pareil, je b�n�ficie �norm�ment de mon exp�rience d'�diteur, dans les m�mes domaines que ceux cit�s plus haut : dans mes relations avec les �diteurs, car je connais bien leurs probl�matiques et leurs attentes ; dans mon approche technique, car � force de rep�rer les travers et les faiblesses dans les textes des autres, on prend mieux conscience des n�tres.
Bien s�r, ce b�n�fice r�ciproque est valable jusqu'� un certain point�

Pourquoi le polar/le roman noir ? Y a-t-il une histoire derri�re East End ?

Je suis condamn� au polar et au roman noir. Je plaisante, mais il y a un peu de cela.
Comme lecteur, je lis de tout : polars, SFFF, litt�rature blanche, essais, ouvrages techniques, classiques ; il m'est arriv� de lire aussi de la romance et de l��rotisme. Il n'y a peut-�tre que la po�sie � travers laquelle je sois pass� compl�tement.
Comme auteur, j'ai des envies d'�criture et des projets qui germent dans ces m�mes genres.
Je ne pense pas qu'une litt�rature soit mieux qu'une autre, mais l'opinion de certains m�a pouss� � d�fendre la litt�rature � de genre � quand j'en ai eu l'occasion. Et le hasard a fait que �a a souvent �t� le polar et le roman noir. Par exemple, aux deux �diteurs avec qui j'ai travaill� jusqu�� aujourd'hui, j'ai propos� de m'occuper de polars ou de SFFF ; mais les deux ont opt� pour le polar. Pourquoi ? C'est � eux qu'il faudrait poser la question !
Ce qui est � amusant �, c'est que les gens imaginent r�guli�rement que je connais tout du polar, que j'ai lu tous les auteurs � la mode et m�me les autres, parce que je suis responsable d'une collection de ce genre. H�las, non. Ou plut�t heureusement, car je ne pourrais pas me laisser enfermer dans un genre en particulier, quel qu'il soit.
L'histoire derri�re East End est simple : aux �ditions de Londres, ils nous a tous sembl� que le nom de la collection devait avoir un lien avec l'Angleterre, o� la maison est bas�e. East End, le quartier populaire dans lequel a s�vi Jack l��ventreur est apparu comme une �vidence d�s le d�part. On s'est donn� le temps de la r�flexion, mais on n'a pas trouv� de meilleure id�e.

Quel est le point que vous pr�f�rez dans votre m�tier ?

Sans aucune h�sitation : les �changes avec les auteurs. Je fais partie de ces �diteurs qui passent beaucoup de temps sur un texte, qui annotent beaucoup, qui ne comptent pas les relectures, mais qui n�imposent jamais rien (sauf la correction des fautes d'orthographe et de grammaire �videmment) et qui essaient de mettre en place une relation de confiance, sans rapport de force.
De par mes m�thodes de travail, il y a n�cessairement beaucoup d'allers et retours avec les auteurs. On finit forc�ment par parler d�autres choses que du texte et par discuter de tout et de rien. Souvent de litt�rature, c'est vrai, mais pas seulement. C'est tr�s enrichissant.
Et puis cet �change sur le texte avec les auteurs, c'est aussi une mani�re de m�approprier un peu leur r�cit, pour mieux le d�fendre ensuite.
Si j'en crois ce qu'on me raconte � droite et � gauche, tout le monde ne proc�de pas comme moi, et sans doute que mes m�thodes ne conviendraient pas � tous, mais moi je ne me vois pas faire autrement, puisque mon plaisir est l�.

Les rencontres avec les auteurs sont-elles toujours virtuelles ?

Les rencontres avec les auteurs sont en effet toujours virtuelles, au moins dans un premier temps. On communique par mail, ou par t�l�phone, notamment si l'auteur est demandeur. Nous n�avons malheureusement pas les moyens de nous d�placer pour visiter les auteurs en chair et en os.

Cela ne veut pas dire que je n'ai rencontr� aucun des auteurs avec qui j'ai travaill�. Au Salon du Livre de Paris cette ann�e, o� je me suis rendu en visiteur, j'ai eu la chance de croiser et de pouvoir discuter avec Christopher Wobble, auteur de Le Faiseur d�Anges. J'ai aussi profit� d'une visite familiale dans le sud de la France pour voir � IRL � �ric Caltraba, auteur de Ha�ku. Et je suis persuad� que je rencontrerai d�autres auteurs avec qui je travaille dans les mois � venir. Je sais par exemple qu'�ve Terrellon vient souvent passer quelques jours dans le Puy-de-D�me, d�partement o� j'habite moi toute l�ann�e. Ce n�est qu'une question de temps, mais je suis de toute mani�re convaincu que des liens d�amiti� peuvent se cr�er par une simple correspondance. Si les �changes par �crit sont naturels, ils le seront aussi lors d'une rencontre physique, pass� le court moment d��tonnement de se retrouver d'une personne qu'on a l�impression de conna�tre si bien et que l�on a pourtant jamais vu.

Quelle est la chose la plus p�nible de votre m�tier d'�diteur ?

Annoncer les chiffres de ventes. � lire les t�moignages de succ�s d�auteurs anglo-saxons, certains placent trop d�espoirs dans le livre num�rique. Or en France, mis � part en �rotisme et en romance (genres qui ont r�ellement b�n�fici� de � l'anonymat � qu'offre la lecture sur liseuse ou tablette), les esp�rances de ventes d'un auteur peu connu restent modestes. De quelques exemplaires � quelques centaines ; rarement des milliers, plus souvent quelques dizaines. Bien s�r le num�rique progresse, mais lentement.
Il faut �galement garder � l'esprit que l�ebook a des perspectives de ventes � long terme, car contrairement au livre papier qui dispara�t rapidement des �tals des libraires, il continue d��tre disponible sur les e-librairies aussi longtemps qu'elles existent ou que l��diteur poursuit son activit�.
J'essaie de pr�venir les auteurs, et je leur dis : � je ne vous promets pas des ventes astronomiques, mais je vous promets de passer du temps sur votre texte pour essayer d'en tirer le meilleur �.

Du coup, comment un �diteur num�rique peut-il survivre sur si peu de ventes ?

C'est une question � laquelle chacun essaie de trouver sa r�ponse.
Certains sont pris d'une v�ritable fr�n�sie de publication, au point d�avoir d�j� plusieurs centaines d�ouvrages in�dits � leur catalogue, apr�s seulement trois ou quatre ann�es d�existence. Cela repr�sente jusqu�� un titre toutes les semaines (voire plus). Je ne sais pas comment ils font, je suis dubitatif � plus d'un point. En tout cas, moi, je n�en suis pas capable, et ce n�est pas ainsi que je con�ois le m�tier d��diteur. Je ne suis surtout pas convaincu que la surpublication soit une strat�gie gagnante � long terme. Les �ditions de Londres, c�est treize titres in�dits en un an et demi, dont sept pour la collection East End en huit mois de collaboration. C�est un rythme qui me convient.
D�autres �diteurs publient des genres vendeurs en num�rique, comme l��rotisme ou la romance. C'est un choix �ditorial tout � fait respectable, mais ce n'est pas le n�tre. Je ne sais pas pour Vincent, mais moi je ne me sentirais pas du tout comp�tent, que ce soit pour s�lectionner ou retravailler les textes.
L�option restante, c�est de trouver un �quilibre entre investissement (de temps et d��nergie) et attentes. Si on s�investit trop, on est vite d�courag� par le manque de retour sur investissement. Cela permet de s'octroyer du temps pour aller (ou au moins essayer) chercher de l�argent � car c'est bien l� le nerf de la guerre � ailleurs. En ce qui me concerne, cette ann�e, j'anime des ateliers d��criture et d'initiation au jeu d��checs dans une �cole, quelques heures par semaine. J'ai aussi une femme compr�hensive. Et j'ai mon activit� d�auteur. Je ne suis pas le seul dans ce cas : Julien Simon, fondateur de Walrus, a toujours peu publi�, mais toujours des ouvrages de qualit�. Il en est arriv� � la m�me conclusion : �tre �diteur num�rique ne suffit pas � nourrir son homme. C'est pour cela qu'il s'est lanc� le d�fi fou du Projet Bradbury. Je lui souhaite de r�ussir.

Quel est le livre dont vous auriez aim� �tre l��diteur ?

La question est simple, mais la r�ponse l'est moins. J'ai �videmment tendance � penser que les �diteurs ont un r�le non n�gligeable dans le succ�s des grands livres, et conscient qu'il me reste beaucoup � apprendre dans ce m�tier, je me dis : � aurais-je fait de l�aussi bon travail que ces �diteurs ? aurais-je su rep�rer ce manuscrit ? �.
Harry Potter, par exemple, qui est pour moi une �uvre majeure de la litt�rature contemporaine, aurait-il �t� aussi bon si je l'avais �dit� ?
En tout cas, je ne rougis pas des livres que j'ai �dit�s1, m�me si pour certains, je ferais sans doute diff�remment aujourd�hui. Comme je n��crirais d�j� plus les textes de Le p�re No�l ne meurt jamais de la m�me fa�on. Mais il faut passer � autre chose.


1� savoir tous ceux de la collection East End, auxquels il faut ajouter chez Num�riklivres : Un �t� de singe et Fin de route de Jean-Louis Michel, Ha�kud��ric Calatraba et Bang ! Bang ! Bang ! d�Olivier Chapuis.


Passeurs de mort de Fabrice Colin




Quatrième de couverture




Lorsqu’elle chausse les lunettes léguées par son oncle, Angel n’en croit pas ses yeux : elle peut maintenant voir les esprits des gens qui meurent. La voilà partour pour le Massachussetts afin de tenter de comprendre, au contact de la famille Cooper, le mystère que le vieil homme lui a laissé en héritage. Mais pour trouver les réponses, il lui faudra accepter les

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Quatrième de couverture



Paris, 1875, Juliette passe les vacances d'été chez son oncle, gardien en chef du Muséum d'histoire naturelle. La jeune fille s'émerveille devant les plantes rares, les pierres précieuses, la multitude d'animaux sauvages, et surtout, le nouveau pavillon des reptiles. Jusqu'au jour où elle se retrouve nez à nez avec un terrifiant serpent sorti de sa vitrine !

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Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...