Le toutou infernal de Lucy Coats (Beasts of Olympus 2)

Quatrième de couverture

Démon est devenu le Gardien Officiel des Bêtes de l’Olympe. Quel honneur ! Ou plutôt… quelle horreur. Car il doit soigner Cerbère, le chien adoré du Dieu des Enfers, qui a attrapé un gros méchant rhume !
En route pour un programme infernal : squelettes, monstres, fantômes… Démon n’est clairement pas là pour faire du tourisme. Il doit trouver les ingrédients nécessaires à sa potion s’il veut guérir le « petit » toutou…*
*Qui accessoirement fait cinq mètres de haut, a trois têtes et des serpents en guise de crinière…

Mon avis

Ayant beaucoup apprécié le 1er tome de Beasts of Olympus je n’ai pas résisté à l’appel de ce second tome qui est tout aussi excellent. J’ai vraiment passé un bon moment en compagnie de Démon et les créatures mythologique dont il a la responsabilité. Si vous aimez l’aventure et la mythologie, Beasts of Olympus est fait pour vous !

Dans ce nouvel opus, Démon doit s’occuper de Cerbère, le gardien des enfers qui est tombé malade. Pour le soigner, Démon va devoir aller chercher un certain nombre d’ingrédients… à ses risques et périls.

L’action arrive dès les premières pages, il n’y a pas de perte de temps ou de longueurs. L’intrigue file droit, c’est efficace et prenant. Je n’ai pas lâché ce livre jusqu’à ce que j’arrive à la fin, j’avais envie d’en savoir plus. Et il faut dire que cela se lit très rapidement, donc aucune raison d’arrêter sa lecture en cours de route.

On y trouve toujours un brin d’humour pour plus de légèreté même si la mission va s’avérer plus difficile que prévue. En même temps, difficile de trouver tous les ingrédients pour le médicament de Cerbère et si c’était trop simple, il n’y aurait pas vraiment d’intérêt à l’histoire. Démon va devoir ruser et aussi avoir un soutien infaillible pour parvenir à ses fins.

Les personnages sont toujours aussi intéressants et attachants, à commencer par Démon qui tient vraiment à cœur son rôle de gardien des animaux au sein de l’Olympe. Il est prêt à tout pour leur bien être, même s’il ne se sent pas toujours d’attaque pour cela.

En bref, Le toutou infernal est un 2e tome à la hauteur du précédent. Cela a été une lecture agréable et prenante. Démon se retrouve toujours dans des situations délicates mais il a de la ressource pour mener à bien ses missions et contenter à la fois les dieux et les créatures mythologiques dont il a la charge. Une série que je vous conseille fortement, vous ne serez pas déçus et passerez un bon moment de lecture.

A partir de 8 ans

Comme un conte de Graham Joyce

Quatrième de couverture

Tara Martin a mystérieusement disparu il y a vingt ans. Son frère, ses parents, son petit ami, tous la croient morte. Pourtant, lorsqu’elle réapparaît ce jour de Noël, elle semble n’avoir pas changé. Peut-être son regard s’est-il alourdi d’une ou deux rides, mais tout indique qu'elle est restée la jeune fille d’à peine seize ans qui s’était évanouie dans la nature. Et c’est peu de dire que sa famille doute des explications qu’elle fournit pour justifier sa longue absence. Quel drame cache réellement son étrange disparition? Quel événement atroce occulte-t-elle par une amnésie de vingt ans ? À moins que sa singulière version des faits ne soit vraie, malgré ses allures de conte de fées ?

Mon avis

Comme un conte est le troisième livre que je lis de l’auteur et c’est à chaque fois un ravissement. J’aime beaucoup son écriture et l’atmosphère qu’il arrive à créer à chaque fois dans ses histoires. Maintenant, je l’avoue, je ne regarde même plus de quoi ça parle et je prends puisqu’il s’agit de cet auteur et je n’ai jamais été déçue jusque là. Il me tarde de lire Au cœur du silence qui m’attend déjà dans ma PAL.

Je ne ferai pas de résumé de l’histoire, la 4e de couverture étant suffisamment explicite pour savoir de quoi il s’agit d’autant que les événements arrivent assez vite. Nous découvrons donc la famille de Tara, ses parents et son frère, Peter, avec sa femme et ses enfants. Les relations entre les parents et le fils sont quelque peu tendues. Il en va de même entre Peter et Richie, le petit ami de l’époque de Tara et le meilleur ami de Peter, qui ne l’est plus aujourd’hui. Que s’est-il vraiment passé 20 ans plus tôt ? Autant de questions qui trouveront réponses, ou plus ou moins quant à certains faits, tout au long de l’ouvrage.

Graham Joyce aime mener en bateau son lecteur tout du long de l’histoire. On se demande bien quels peuvent être les liens entre certains personnages et certains faits que l’on découvre au dur et à mesure. J’avoue que je me suis totalement laissé avoir et emporter par ce récit qui frôle sans arrêt avec le surnaturel. Tara dit-elle la vérité ou affabule-t-elle ? Elle est pourtant persuadée de ce qu’elle avance mais n’est-ce pas un conte ?

J’ai adoré cette histoire, je pense que vous l’avez compris. C’est vraiment surprenant et les petites citations et anecdotes qui sont situés en début de chapitre ajoute un certain suspense car c’est en lien, plus ou moins direct, avec ce qui nous est conté. Du coup cela joue encore plus sur le côté fantastique du récit, est-on dans la réalité ou bien le surnaturel ?

Les personnages sont intéressants et attachants. Chacun cache quelque chose, ne veut pas se dévoiler totalement quand d’autres semblent n’être que secondaire, sans importance et pourtant… Tout est dans le détail, tout nous fait douter plus nous avançons dans l’histoire car l’on se rend compte de ce que l’auteur est en train de tisser.

En bref, Comme un conte est un roman que j’ai adoré découvrir, Graham Joyce a le don de raconter des histoires à nous embarquer dans son univers entre rêve et réalité. Le fantastique prend tout son sens avec lui, tout cela est-il réel ou bien est-ce affabulation de la part de Tara ? A vous d’en jugez en lisant ce livre !

Le très gros ours très sale de Britta Teckentrup

Quatrième de couverture

Le très gros ours très sale ne se lavait jamais. Il n’en avait bien sûr pas besoin ! Et le très gros ours très sale ne sentait vraiment pas bon ! Mais alors vraiment pas ! Jusqu’au jour où tout changea.

Mon avis

Le très gros ours très sale est un album assez amusant qui m’aura bien plu. Une histoire subliminale qui peut inciter les enfants à se laver si cela pose problème.

En effet, ce très gros ours est très sale, il pue parce qu’il ne se lave jamais. Jusqu’au jour où toute cette crasse le gratte… il essaye par tous les moyens de se soulager mais rien n’y fait !

Quand il voit une oursonne, il lui demande de l’aider, mais comme il pue trop, elle ne veut pas s’approcher de lui, en même temps, on la comprend ! Elle lui fait donc comprendre qu’il doit aller se laver mais ce très gros ours très sale est têtu comme une mule et ne veut rien entendre ! Mais cette oursonne saura trouver les bons arguments pour, peut-être, faire changer d’avis cet ours…

Les illustrations sont assez sympathiques, tout est en aplat, assez simple. Mais cela a son charme et fonctionne bien avec l’histoire. C’est très coloré, de quoi attirer l’œil. Après on aime ou pas.

En bref, Le très gros ours très sale est un album amusant mettant en scène un ours très sale qui n’a aucune envie de se laver mais il arrive un moment où cela devient nécessaire… Une histoire bien sympathique que je vous invite à découvrir.

A partir de 4 ans

C'est lundi, que lisez-vous ? [100]



Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? by One Person’s Journey Through a World of Books. La relève après Mallou, le récap des liens se fait maintenant chez Galleane.

On répond comme chaque Lundi à trois petites questions :

1. Qu'ai-je lu la semaine passée ?
2. Que suis-je en train de lire en ce moment ?
3. Que vais-je lire ensuite ? 


 
Cette semaine encore j'ai pas mal lu, notamment en albums jeunesse qui dans l'ensemble étaient plutôt bien sympathique. Quant aux romans j'ai eu majoritairement de belles lectures mais une grosse déception aussi...


Les sorcières des marais de Cassandra O’Donnell (Malenfer, Terres de magie 4)

Gabriel et Zoé se sont cachés dans les Terres de magie, après la disparition de leur ville Wallangar et de leurs amis. Parmi les sorcières des marais de Houquelande, ils découvrent un nouveau monde régi par ses propres règles.
Alors que Zoé semble prendre conscience de son immense pouvoir, Gabriel doit l’aider à maîtriser mieux sa force pour défendre leurs amis. Un grand défi les attend…



Il était une fois dans le Nord de Philip Pullman

Quatrième de couverture

Retrouvez l’univers magique de la trilogie À la croisée des Mondes dans cet épisode inédit où se rencontrent pour la première fois deux personnages de légende : Lee Scoresby, l’aéronaute texan, et Iorek Byrnison, l’ours en armure. Dans l’atmosphère oppressante d’un port du Grand Nord, où se côtoient aventuriers et marins perdus, ils se liguent tous deux contre l’injustice, scellant ainsi leur amitié.

Mon avis

Il était une fois dans le nord est un roman qui se passe avant la trilogie d’A la Croisée des Mondes relatant de la rencontre entre Lee Scoresby et Iorek Byrnison. C’est un roman qui a été pendant longtemps épuisé donc lorsqu’il est enfin arrivé en occasion au boulot, je me suis précipitée dessus pour l’acheter et le lire, je ne pouvais pas le laisser passer. Et je n’ai pas du tout été déçue de cette lecture qui m’a beaucoup plu. Si vous avez aimé A la Croisée des Mondes, n’hésitez pas à vous procurer ce livre qui vous plaira tout autant !

Pour information, ce livre est de nouveau édité donc si vous le voulez, vous allez moins galérer. Chose que j’ai apprise en recevant mon exemplaire en occasion. C’est donc une bonne nouvelle.

L’écriture de l’auteur est toujours aussi agréable à lire et fluide et en un rien de temps on replonge dans cet univers si spécifique. C’est un roman vraiment plaisant et intéressant. On replonge en un rien de temps dans cet univers si particulier et je vous avoue que ça m’a donné envie de relire la trilogie et de retrouver ces personnages des années plus tard.

L’intrigue est bonne et bien menée avec suffisamment d’action et de rebondissement pour passer un bon moment de lecture. Le rythme est soutenu et même si c’est un petit roman (moins de 100 pages et c’est écrit petit). Dans cette histoire on est vraiment au cœur de la politique, de complot et Lee Scoresby va se retrouver malgré lui mêlé à tout cela.

En bref, Il était une fois dans le nord est un roman qui m’aura beaucoup plu. C’est un petit bonus dans l’univers d’A la Croisée des Mondes qui nous permet de voir la rencontre entre Lee et Iorek, une amitié qui durera à toute épreuve. Un roman à découvrir pour tous ceux qui ont adoré la trilogie.

In My Mailbox (280)



In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.

Mes acquisitions de la semaine

Origines de Cassandra O’Donnell (Rebecca Kean 6)

« Un coup de fil en pleine nuit augure rarement d’une bonne nouvelle. Quand c’est pour apprendre qu’un petit rigolo a décidé de faire mumuse avec un sort interdit depuis des lustres, je commence à perdre mon sens de l’humour. Et si, en plus, cette démonstration vise à éliminer un à un les chefs de clan officiant sur mon territoire, autant vous dire que je vois carrément rouge !
Avec tout cela, on voudrait que j’exerce avec un peu plus de sérieux mon rôle de reine des Vikaris. Pas de doutes, les congés payés, c’est pas pour demain… »


Fièvre née de Karen Marie Moning (Les chroniques de Dani Mega O’Malley 3)

« Elle-Qui-Vint-d’Abord n’était pas plus éternelle que les soleils, les lunes et les étoiles, aussi donna-t-elle le Chant pour les temps de grande nécessité. Elle mit en garde son Élue de ne jamais perdre la mélodie, car il faudrait de nouveau la retrouver dans tous les plus lointains de toutes les galaxies. Bien sûr, elle fut perdue. Avec le temps, tout se perd. »
Depuis la chute des murs, la Terre meurt à petit feu. Seul le Chant-qui-Forme, une mélodie dangereuse à la source de toute vie depuis longtemps oubliée, pourrait sauver la planète. Mais ceux qui recherchent cette musique mythique devront composer avec leurs propres blessures et leurs ennemis…


Serments d’allégeance de Nalini Singh (Psi Changeling 15)

Un jour nouveau se lève sur le monde de Psi-Changeling…
L’équilibre entre les espèces a été bouleversé : l’accord Trinité promet une nouvelle ère de coopération entre Psis, humains et changelings. Ennemis d’hier, alliés de demain, solitaires méfiants, tous sont prêts à entretenir la flamme de l’espoir. Mais les séquelles d’un siècle d’hostilité sont graves, et la tension est à son comble. Alors que l’enlèvement d’une changeling de la puissante meute BlackSea risque de rompre la paix, le Consortium échafaude de sombres desseins concernant le symbole de cet avenir meilleur : une enfant qui est à la fois Psi et changeling. Pour la sauver, cette alliance improbable sera mise à l’épreuve…


Etreintes sauvages de Nalini Singh (Psi Changeling 16)

Au fond des océans, Tazia Nerif cherche à briser le Silence du commandant Psi de sa base. Dorian, incapable de se transformer, doit apprendre à laisser son léopard jouer s’il veut devenir un changeling à part entière. Cruellement blessé par une louve dominante, Felix refuse de se laisser séduire à nouveau, mais Dezi est prête à tout pour le convaincre de lui accorder sa confiance. Kenji et Garnet, autrefois séparés, sont de nouveau irrésistiblement attirés l’un par l’autre, mais un lourd secret menace leur bonheur…


L’étreinte des flammes de Patricia Briggs (Mercy Thompson 9)

La tension entre les faes et les humains est à son comble. Lorsque la meute est amenée à affronter un troll déchaîné, la présence d’Aiden, enfant humain enlevé il y a des siècles et retenu dans le monde d’En-Dessous, pourrait bien être la seule chose susceptible d’empêcher la guerre qui s’annonce. Décidés à le protéger coûte que coûte, Mercy, Adam et la meute devront défier le Marrok, les humains et les faes. Mais qui les protégera de celui qui a reçu l’étreinte des flammes ?


L’opportuniste de Tarryn Fisher

Olivia Kaspen, manipulatrice hors pair, est habituée à satisfaire le moindre de ses caprices. A une exception près, puisque le seul homme qu’elle a jamais aimé, Caleb Drake, lui a échappé.
Quand elle le rencontre par hasard, trois ans après leur rupture, l’homme qu’elle retrouve est amnésique. Olivia voit là une occasion de renouer avec son premier amour. Toutefois un obstacle de taille se dresse sur son chemin : la belle Leah, la nouvelle petite amie de Caleb.
Pour le récupérer, Olivia devra tromper l’ennemi autant que l’ancien amant. Mais est-elle réellement prête à tout pour arriver à ses fins ?


Sea spell de Jennifer Donnelly (La Saga waterfire 4)

Astrid a quitté ses amies pour faire face seule à Orfeo, son ancêtre maléfique. Il possède l'un des six talismans nécessaires aux sirènes pour garder le monstre Abbadon enfermé. Mais comment Astrid pourrait-elle vaincre le mage le plus puissant de l'histoire, alors qu’elle ne peut plus chanter ? Pendant ce temps, Serafina et ses Nageoires Noires forment les troupes pour lutter contre les cavaliers de la mort de son oncle Valerio… Alors que la bataille se prépare, tout semble possible, le meilleur comme le pire. Les sirènes parviendront-elles à sauver les royaumes des mers, ou ces derniers tomberont-ils aux mains de leurs ennemis pour toujours ?


Rule de Jay Crownover (Marked Men 1)

Depuis toujours, Shaw est secrètement amoureuse de Rule. Or, tout les oppose : de nature rebelle et fêtarde, tatoueur et tatoué, il n’a rien à voir avec la jeune femme classique, sérieuse et concentrée sur ses études. Rule ne voit en elle qu’une fille à papa, et surtout, la petite amie de son défunt frère… Mais parfois, il suffit d’une jupe courte et de quelques cocktails pour que le regard que l’on porte sur quelqu'un change !
Entre leurs traumatismes, les mauvaises habitudes de Rule, l’emploi du temps surchargé de Shaw, et son ex qui la harcèle, parviendront-ils à comprendre ce qui les lie ?


Et vous ?

La Désolation de Pierre Bordage (Arkane 1)

Quatrième de couverture

Arkane : une ville labyrinthique, bâtie selon la légende par sept maisons toutes-puissantes, et dont les luxueux niveaux supérieurs sont occupés par un pouvoir corrompu. C’est dans ce monde dominé par les intrigues incessantes, les meurtres et la magie noire que vit Oziel, fille de la maison du Drac.
Lorsque son clan est massacré, Oziel s’enfuit des Hauts de la ville, espérant gagner les Fonds afin de rejoindre son frère condamné et de lever une armée parmi les prisonniers du terrible bagne, dans les profondeurs de la cité.
Mais tandis qu’elle cherche à s’évader des rets d’Arkane, d’autres tentent de rallier celle-ci à tout prix. Renn, un apprenti enchanteur de pierre et Orik, guerrier venu d’une lointaine contrée, portent avec eux l’annonce d’une menace qui, s’ils arrivent trop tard, pourrait bien plonger Arkane dans le chaos…

Mon avis

La Désolationest le premier livre que je lis de Pierre Bordage et je dois dire que ça ne sera pas le dernier ! J’ai beaucoup aimé l’univers décrit ici ainsi que l’écriture de l’auteur. Elle est fluide, on embarque en un rien de temps dans cette histoire qui est juste incroyable.

Certes, il s’agit une mise en bouche, on nous pose ici les bases de l’univers, on nous présente les personnages et un début d’intrigue, donc il ne faut pas s’attendre à avoir beaucoup d’éléments en terme d’action pure et dure mais c’est suffisant pour nous donner envie de poursuivre et d’en savoir plus. D’autant plus au vu des derniers événements qui surgissent à la fin du livre. C’est un premier tome introducteur mais qui nous propose quelque chose de solide et avec lequel j’ai passé un très bon moment de lecture.

Je ne ferai pas de résumé de l’histoire, la 4ede couverture est suffisamment explicite pour savoir de quoi il s’agit d’autant que les événements arrivent assez vite pour savoir à quoi s’en tenir. Et puis, il faut bien une petite part de mystère pour vous laisser surprendre par l’auteur. Et Pierre Bordage a de la ressource et sait vraiment construire une histoire haletante et intéressante.

La narration est à la troisième personne ce qui nous permet de suivre différents personnages en même temps, de quoi avoir un rythme assez soutenu puisqu’on suit la progression de ces trois personnages. Si dans un premier temps on peut se demander quels sont les liens qui peuvent les unir, petit à petit on voit la toile qu’est en train de tisser l’auteur pour comprendre où il veut nous amener. Même si évidemment il est loin d’avoir encore dévoilé tous ces secrets, on peut les relier tous les trois à la fin de l’ouvrage.

Le point central de cette histoire c’est la politique, le pouvoir et voir qui sera à même de contrôler le reste du monde. C’est tout ce que j’aime dans la Fantasy, en dehors de la magie c’est le deuxième élément que je préfère car c’est toujours intéressant de voir les complots se former, se déjouer, se modifier en fonction des puissances en présence. Bref, avec La Désolation j’ai eu ma dose de complots en tout genre, donc j’en suis ravie.

L’univers nous est parfaitement conté, on nous donne les bases, l’Histoire de ce lieu pour bien comprendre où l’on met les pieds et voir quels sont les enjeux, notamment entre les différentes familles dirigeantes. Tout est parfaitement clair et j’ai beaucoup aimé ce que j’y ai découvert. C’est un univers sombre et impitoyable et quand on voit certaines de leur pratique ça donne froid dans le dos. Déjà le savoir ça m’avait refroidi mais assister à ça… nan c’était horrible… Si vous venez à lire ce livre, vous saurez à quoi je fais référence… C’est une chose que l’on sait dès le début de l’ouvrage donc…

L’auteur n’hésite pas à malmener ses personnages et à les manipuler telles des marionnettes et c’est ce qui fait tout l’intérêt de ce livre. Rien n’est facile, il faut savoir faire parfois des sacrifices pour le bien commun. Les personnages, le trio que l’on suit par alternance, sont sympathiques et attachants. Chacun vit des moments difficiles pour des raisons différentes même si on se doute que c’est pour un but un peu plus commun, mais pour l’instant on n’en sait pas plus. En tout cas, ce sont des personnages qui font preuve de courage malgré tout, ils portent vraiment l’histoire et ça c’est une très bonne chose. Ça prouve qu’ils sont bien construits et nous donnent envie d’en savoir plus sur eux, ils ont une vraie consistance. Quant aux personnages secondaires ils ont eux aussi leur importance et ont une vraie place.

En bref, La Désolation est un très bon premier tome que j’ai adoré découvrir. L’univers est sombre, les enjeux politiques énormes, tout ce que j’aime, les personnages ne sont pas en restes, pour le moment nous les découvrons, nous ne savons pas encore quels liens peuvent les unir. C’est pourquoi j’ai hâte de lire la suite pour savoir ce qu’il en est et voir où ils peuvent nous emmener dans cette drôle d’aventure…

L'histoire de la Bête de Serena Valentino

Quatrième de couverture

C'est une histoire vieille comme le monde : celle d’un prince cruel transformé en Bête.
Et celle d’une belle jeune fille qui surgit dans sa vie. Le monstre est métamorphosé par la compassion de la jeune fille et l’amour qu’il ressent pour elle.
Puis ils se marient et ont beaucoup d’enfants. 
Mais comme pour chaque histoire, il y a plusieurs versions. Qu’importe ce que l’on a pu dire ou écrire, une seule question demeure : qu’est-ce qui a changé le prince en la Bête que l’on connaît ?
Voici l’une de ces histoires. Une histoire de bêtes, et, bien sûr, de belles.

Mon avis

Comme au travail j’ai fait une table thématique autour des contes et leurs réécritures, en faisant coïncider ça avec la sortie de La Belle et la Bête, je ne pouvais pas passer à côté des romans qui sont sortis autour de ce thème.

C’est ainsi que je suis venue à lire L’histoire de la Bête qui, comme son titre l’indique, est un roman relatant de la malédiction qui a affligé La Bête. Je dois dire que je n’attendais rien de spécial de cette lecture et dans l’ensemble je l’ai bien apprécié. C’était intéressant de voir comment ce Prince est venue la Bête.

On découvre ainsi le Prince, cet homme fou amoureux d’une jeune femme, mais petit à petit, celle-ci découvre qu’il ne l’aime que pour son titre et sa beauté, rien d’autre. Alors la jeune femme, qui possède des pouvoirs va se venger et le maudire pour lui faire comprendre que l’apparence n’est pas ce qui compte le plus. Le Prince ne croit pas à cette malédiction et choisit une nouvelle prétendante mais petit à petit le Prince change et se transforme en une Bête… Quelqu’un pourra-t-il vraiment l’aimer pour ce qu’il est ou bien son apparence suffira à repousser tout le monde ?

L’histoire est bonne et bien menée. Elle est construite avec des flash-back, nous permettant de voir dans un premier temps la Bête en compagnie de Belle, puis une bonne partie du livre est sur l’origine de la malédiction, comment il en est arrivé là. J’ai trouvé intéressant la manière dont c’était fait, les liens qui unissent la Bête à d’autres personnages de l’histoire. Je n’en dirai pas plus pour éviter tout spoiler mais j’ai bien aimé cet aspect. Il est fait mention aussi de la malédiction qui affecte ses sujets, comme Lumière, Big Ben, etc.

L’écriture de l’auteur est agréable à lire et fluide de sorte que l’on rentre rapidement dans l’histoire. Les pages défilent toutes seules sans qu’on ne s’en rende compte. L’intrigue commencent dès les premières pages, il n’y a pas de perte de temps ou de longueurs ce qui est une bonne chose. Il y a un bon rythme, on ne s’ennuie pas, c’est vraiment bien construit.

Nous retrouvons l’essentiel des personnages que nous connaissons de l’histoire (version Disney cela s’entend), et même certains passages et dialogues présent dans le dessin animé. Cela permet d’avoir une autre vision d’eux là encore et je peux vous dire que je n’aime toujours pas Gaston !

En bref, L’histoire de la Bête est un roman intéressant qui nous permet de mettre en lumière la malédiction de la Bête, de voir ce qu’il était, pourquoi il est devenu cette Bête affreuse avant de redevenir quelqu’un de plus compatissant et moins hautain pour trouver l’amour aux côtés de Belle.

Gaspard et ses drôles de machines de Benoît Broyart et Benjamin Strickler

Quatrième de couverture

Gaspard est un garçon curieux qui adore apprendre et comprendre. Son voisin l’a invité pour répondre à ses questions. Et ce voisin, c’est Léonard de Vinci. Gaspard sera-t-il à la hauteur ?

Mon avis

Gaspard et ses drôles de machinesest un roman de première lecture intéressant. Il nous plonge au cœur du XVe siècle aux côtés de Léonard de Vinci, ce célèbre artiste-inventeur. On s’intéresse ici plus particulièrement à ses inventions, ses machines et les croquis et maquettes qu’il a pu réaliser. Gaspard, ce garçon très curieux va apprendre aux côtés de ce maître.

L’histoire est intéressante et agréable à lire, elle permettra aux jeunes lecteurs en herbe de faire connaissance avec cet artiste tout en suivant une petite aventure. Elle se lit rapidement, c’est une première lecture pour les débutants, c’est agréable à lire et comme toujours dans cette collection, les mots difficiles sont expliqués à la fin de l’ouvrage et signalé en gras (ou en couleur) pour que les plus jeunes comprennent ce qu’ils lisent.

Le petit bonus dans les romans de cette collection est que l’on a des jeux et un aspect documentaire à la fin de l’ouvrage pour en apprendre plus sur ce que l’on vient de lire. Notamment le fait que Léonard de Vinci était gaucher et écrivait à l’envers.

Bon, contrairement à ce qui est dit, il ne s’amusait pas à écrire à l’envers, c’est parce qu’en étant gaucher c’était plus pratique pour lui d’écrire de droite à gauche et non de gauche à droite. Dans un même temps cela permettait de « coder » ses écrits pour éviter que quiconque puisse le lire. Une manière comme une autre de protéger ses inventions. Mais en tout cas, ce n’était pas un amusement en soi, je rectifie la petite erreur dan le roman.

En bref, Gaspard et ses drôles de machines est une histoire intéressante qui nous plonge aux côtés du célèbre artiste Léonard de Vinci qui était un inventeur hors pair. De quoi découvrir un peu plus précisément cet homme qui nous a transmis un certain nombre d’œuvres, quelle qu’en soit sa nature

A partir de 6 ans

Un peu plus que des amis de Michael Kun et Susan Mullen

Quatrième de couverture

Si vous êtes romantique, plein d’humour et d’espoir, si vous adorez l’idée d’un garçon et d’une fille qui s’écrivent des lettres en vrai, si vous aimez les grandes disputes et les belles réconciliations, si vous êtes fan de votre meilleur ami et qu’il est fan de vous…
Alors jetez-vous sur ce roman, il a été écrit pour vous.

Mon avis

Un peu plus que des amis est un roman touchant que j’ai beaucoup apprécié. Il s’agit d’un roman épistolaire entre deux meilleurs amis : Catherine et Scott qui se connaissent depuis des années. Elle va aller à l’université quand lui va rester dans la ville de leur enfance et travailler dans la boutique de vêtement pour hommes que tient son père. Etant donner la distance et le portable n’existant pas en 1982, ils vont s’échanger des lettres pour continuer de garder le contact.

Ainsi, au fur et à mesure, nous découvrons leur vie qui diffère en bien des choses, l’université d’une part et le travail de l’autre. On pourrait penser que la distance ternirait leur relation et pourtant on sent que cette amitié est inébranlable, même si parfois tout n’est pas rose. Il y a des hauts et des bas, des désillusions ou de bonnes nouvelles, chacun d’eux vont évoquer leur ressenti face à ce qu’ils vivent. Et durant cette année scolaire (donc entre septembre 1982 et août 1983), il va s’en passer des choses…

Un peu plus que des amis est un roman où bon nombre d’adolescents et jeunes adultes pourront se retrouver étant donné les thèmes qui sont abordés. C’est un livre sur l’apprentissage de la vie, sur le fait de devenir petit à petit un adulte et que parfois on est confronté aux aléas de la vie. On peut donc très bien voir les liens familiaux, les amours, les doutes quant à l’avenir, son propre avenir, ce pour quoi on est fait, etc. Autant de questions que l’on se pose lorsqu’on est jeunes adultes.

Le genre épistolaire ajoute un côté plus intime à leur histoire, on s’immisce vraiment dans leur vie, plus que si l’un d’eux prenait la parole pour expliquer ce qu’ils ont vécu durant cette année car il y a un côté instantanée. Cela rend également ces deux personnages encore plus touchant qu’ils ne le sont car ils se dévoilent totalement, se parlent entre eux, comme si nous lecteurs n’étions pas là. Le lecteur a ici le rôle de « voyeur » dans le sens où il lit un courrier qui ne lui est pas destiné, c’est un positionnement intéressant ici je trouve.

Les personnages sont vraiment intéressants et on s’y attache forcément. On ne peut pas rester indifférent face à ce qu’ils leur arrivent, quant au fait qu’ils se dévoilent totalement car après tout entre meilleurs amis, on peut tout se dire ? Ils sont le confident l’un de l’autre et ont besoin de cette amitié qui va connaître des hauts et des bas, qui ne s’est jamais engueulé avec sa(on) meilleur(e) ami(e) pour ensuite se reparler comme si de rien n’était ? Leur amitié est très forte et c’est beau de voir leur complicité malgré la distance et tout ce qu’ils vivent.

En bref, Un peu plus que des amisest un roman frais qui aborde de nombreux thèmes, notamment sur la vie au quotidien, la famille. En gros on peut résumer tout cela à : mes amis, mes amours, mes emmerdes, ce que bon nombre de personnes peuvent être confronté durant une vie. Le genre épistolaire est une bonne idée car cela rend cette histoire encore plus touchante et prenante. J’ai vraiment adoré ce livre qui nous permet de voir une certaine évolution chez Catherine et Scott, pour le meilleur et pour le pire. Un roman que je vous conseille fortement !

En Partenariat avec

Le dernier ours de Charlotte Bousquet

Quatrième de couverture

Groenland, 2037. Avec le dérèglement climatique et la fonte des glaces, l’île n’est plus qu’une terre désolée. Anuri, le dernier ours blanc né libre, représente la principale attraction d’un zoo. Karen, sa jeune soigneuse, partage avec lui un lien fusionnel.
L’animal suscite aussi la convoitise de scientifiques dévoyés qui multiplient les expériences les plus inquiétantes…
Pour sauver Anuri, Karen organise sont évasion.

Mon avis

Le dernier ours est un roman que j’ai pris plaisir à lire, même si je suis loin du coup de cœur. Je m’attendais à une histoire quelque peu différente, du moins un peu plus poussée que celle que j’ai lue. Même si dans l’ensemble j’ai passé un bon moment et que l’intrigue est intéressante.

Je ne ferai pas de résumé de l’histoire, la 4ede couverture étant suffisamment explicite pour savoir à quoi s’en tenir, d’autant que les événements arrivent relativement vite pour le découvrir. L’écriture est toujours aussi agréable à lire et fluide, en même temps avec Charlotte Bousquet, je n’en attends pas moins. J’aime beaucoup son écriture et sa manière de raconter des histoires.

L’intrigue est bonne et bien menée, c’est prenant et l’action arrive dès les premières pages. On voit Karen et Anuri, sa lutte désespérée pour le protéger et le sauver des agissements de ses supérieurs. J’ai bien aimé cet aspect de l’histoire de voir comment Karen en est venue pour sauver cet ours blanc mais je dois avouer qu’il m’a manqué un petit quelque chose pour que cette histoire soit encore plus prenante.

Je regrette qu’on n’ait pas plus d’information sur les fameuses expériences scientifiques. Elles sont évoqués et l’on voit ce qui va être fait mais je trouve que c’est un peu trop survolé alors qu’il y avait moyen de faire quelque chose de plus important dans l’histoire. Si j’avais eu plus d’éléments sur ça, je pense que ça m’aurait davantage plu. Mais cela reste néanmoins agréable à lire et j’ai passé un bon moment de lecture et je ne regrette pas de l’avoir lu.

Dans l’ensemble, les personnages sont intéressants, que ce soit Lone ou Sila, ces deux adolescents qui viennent en aide à Karen alors même que tout cela ne les concerne pas. Mais là encore, j’aurai aimé avoir un peu plus de développement pour qu’ils soient encore plus attachants. On voit qu’un lien fort existe entre Karen et Anuri, cet ours polaire qu’elle connaît et soigne depuis des années. Et ce n’est qu’au fur et à mesure de l’histoire qu’on a toutes les explications à ce propos.

En bref, Le dernier ours est un roman intéressant qui nous fait poser un certain nombre de questions sur notre monde et l’écologie car la planète se détruit petit à petit et avec le dérèglement climatique cela engendre nombre de problèmes. Les personnages sont sympathiques et attachants même si j’aurai aimé un peu plus de développement.

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Melisande a déménagé, et ses livres aussi !

Certains d’entres vous le savent, j’ai déménagé en mars dernier, donc qui dit déménagement, dit BEAUCOUP de cartons pour mes livres… oui, quand on en a plus de 2500, il faut s’attendre à ce qu’il y ait beaucoup de cartons… Vous avez donc pu voir à travers des photos sur Facebook le déménagement en cours. Pour ceux que ça intéressent, l’album photo est là.


Je vous avoue que ça m’a fait mal au cœur de devoir les mettre en carton, mes pauvres bébés ^^ mais c’était pour la bonne cause, pour qu’ils soient dans mon chez moi !


Et petit à petit, les bibliothèques se vident...



Je n’ai pas compté le nombre total de cartons, mais il y en avait beaucoup, vraiment beaucoup et ce n’est pas faute d’avoir fait un tri au préalable pour en avoir moins à transporter. Ceux qui me connaissent savent que je n’aime pas me débarrasser de mes livres, j’ai un côté collectionneuse dans l’âme, mais il faut se faire une raison, je manque quand même de place. Et il faut avouer qu’il y en a un certain nombre que je ne relirai jamais parce que je n’ai pas du tout aimé. Ça ne sert à rien de garder dans ces cas-là, du coup ceux que j’ai mis de côté, je les revendrai.


D’ailleurs si cela vous intéresse, je ferai une annonce pour ceux qui voudraient en acquérir certains. Mais pas tout de suite, il faut que je finisse d’aménager mon chez moi et que je trouve le temps pour cela (vu qu’ils sont restés pour le moment chez mes parents, dans mon ancienne chambre).

Après la mise en carton, il y a évidement le rangement. Le remontage des bibliothèques (en partie parce qu’elles étaient montées, je devais juste réintégrer les étagères intérieures) et son remplissage. Cela m’a pris pas mal de temps, le soir rentrant tard je n’avais pas toujours envie de m’y mettre et les jours de repos passent tellement vite, surtout quand on a des papiers administratifs à gérer en même temps. Mais la fin est proche !


On va donc faire un petit tour de bibliothèques car elles sont nombreuses chez moi !

Dans mon salon se trouvent 6 bibliothèques, la bibliothèque noire N° 1 qui contenait les poches Fantasy et là en plus il y a tout en haut les livres des « petits éditeurs », qui sont pour majorités de la SFFF. Donc on reste dans le thème. (Il s'agit de la bibliothèque à droite).

Puis la bibliothèque noire N°2 qui contient l’urban fantasy (bit-lit) en grand format et en poche. Là encore, elle est super remplie, même avec le surmeuble que j’ai rajouté pour que la bibliothèque soit encore plus grande qu’avant. (Il s'agit de la bibliothèque à gauche).



Vient ensuite la bibliothèque noire N°3 qui contient toujours les policiers et thrillers en grand format et en poche et au-dessus, tenu par des serre-livres de la littérature blanche et fantastique / SF et une petite partie des poches en romance, chick-lit.


Puis vient la bibliothèque noire N°4 qui contient toujours la Fantasy en grand format et au-dessus mes Mathias Malzieu ainsi que mes mangas.


On y trouve également la bibliothèque marron N°1qui contient la Fantasy jeunesse en grand format et quelques livres pour les enfants (6/10 ans) au-dessus. (la bibliothèque à gauche).

Et juste à côté on trouve mes deux étagères l’une sur l’autre qui contiennent mes romans New Adult, romance, érotique (pour le peu que j’ai) et littérature (blanche, historique) en grand format et poche. (la bibliothèque à droite).


Dans l’entrée se trouve la bibliothèque marron N°2 avec les livres jeunesse et adolescents. De haut en bas on y trouve mes historiques, polars, littérature blanche.


Au-dessus j’ai rajouté des livres de littératures et chick-lit en poche.


Dans ma chambre se trouvent les dernières bibliothèques, la bibliothèque marron N°3 qui contient la YA en grand format, elle est plus que remplie, j’ai de la double ligne quasi sur toutes les cases, je n’ai pas pu faire autrement vu la quantité. Et au-dessus, se trouve mes romans jeunesse en poche.


Et puis rapidement le manque de place s’est fait sentir, j’ai donc racheté une nouvelle bibliothèque, enfin deux petites que j’ai mise l’une sur l’autre pour en faire une très grande. Laissez place à la bibliothèque beige ! Du coup dans ces nouvelles bibliothèques j’ai intégré mes livres YA en anglais ainsi que les livres jeunesse en poche. Comme elles ne sont pas larges, il valait mieux privilégier des petits formats pour en caser autant que possible, même si tout n’est pas rentré.


A l’heure actuelle, il me manque mes albums et mes BD qui sont restés dans mon ancienne chambre mais manquant de place, pour le moment je les laisse là-bas, mais il va falloir que je trouve une solution pour pouvoir les rapatrier dans l’appartement !

Voilà, vous avez fait le tour de mes bibliothèques. Si auparavant elles étaient situées dans une même pièce et que je pouvais vous montrer un panorama d’ensemble, ce n’est plus le cas aujourd’hui puisqu’elles sont dans 3 lieux différents. Mais bon, elles sont toutes là et c’est tout ce qui compte, j’ai trouvé l’appartement qui me permettaient de les embarquer, c’était le critère n°1 !

J’espère que ce petit tour de mes bibliothèques vous aura plu. Et vous, comment rangez-vous vos bibliothèques ?

Faux pas de Maria Adolfsson (Doggerland 1)

Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...