Affichage des articles dont le libellé est Couvertures des livres. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Couvertures des livres. Afficher tous les articles

Tony Tiny Boy




« Tony Tiny Boy était rentré de la guerre contre les Indiens. Et les Indiens avaient perdu...
Sa maman, son papa ne l’avaient pas reconnu. C’est sûr, Tony Tiny Boy avait changé. »

Mais pourquoi le petit garçon a-t-il changé, au juste ? Peut-être que cette guerre l’a fait réfléchir, lui qui était, jusque-là, un parfait petit cow-boy. Peut-être qu’elle l’a fait changer d’avis, puis grandir. Il ne voit plus les cow-boys de la même manière et désormais, quand il joue avec ses amis, Tony Tiny Boy est un Indien, des pieds à la tête ! Un jour, il décide de retourner les voir, mais pas pour faire la guerre. Pour faire la paix.

À propos de cette histoire,Vincent Cuvellier a écrit :
« C’est un texte très court, que j’ai écrit en pensant aux dessins de Dorothée de Monfreid... Là, cette histoire un peu suspendue, je l’ai voulue douce, calme, sans fioritures (...) alors ce Tony Tiny Boy, qui est le récit d’une métamorphose, sera tout simple et tout doux ! »

Les illustrations expressives de Dorothée de Monfreid servent parfaitement cette histoire sobre, née sous la plume de Vincent Cuvellier, qui fait l’éloge de la paix, à travers la réflexion d’un petit garçon.

Dorothée de Monfreid a fait ses études aux Arts Décoratifs. Après avoir été graphiste dans l’édition, elle s’est lancée dans l’écriture, l’illustration et la musique. Elle a publié, en tant qu’auteur illustrateur, une quarantaine de titres à l’École des Loisirs, et en a illustré d’autres. 
Chez hélium, elle a écrit et illustré Le Manuel du docteur Schnock. Elle tient un blog, supersauvage.blogspot.com. Elle vit et travaille à Paris.

Vincent Cuvellier est né à Brest en 1969 et a publié son premier roman à dix-sept ans. Depuis, il a publié une quarantaine d’ouvrages, parmi lesquels l’album La Première fois que je suis née (illustré par Charles Dutertre, Gallimard Jeunesse, 2006) et La fois où je suis devenu écrivain (Le Rouergue, 2012). Pour suivre ses aventures, son blog : vincentcuvellier.canalblog.com.

À partir de 4 ans / 21 x 28 cm / Relié, 40 pages / 13,90 €
EAN : 9782330022549



Le Journal malgré lui de Henry K. Larsen


Un roman lumineux et bouleversant sur la violence au collège, le deuil et la culpabilité.

Après le terrible drame qui a frappé Henry et sa famille, et les conséquences qui en ont découlé, l’adolescent âgé de treize ans a déménagé avec son père. Les voici en tête-à-tête, dans une ville où ils ne connaissent personne. Tout est à reconstruire: même la mère de Henry, victime d’une grave dépression, est restée à Port Salish… et le garçon est en révolte.
Bien qu’il déteste positivement l’idée d’écrire dans un journal, tout comme il se refuse à se faire de nouveaux amis, Henry finit par s’ouvrir malgré lui, et trouve même du plaisir à coucher ses pensées sur le papier, comme le lui conseille son thérapeute.
Susin Nielsen réussit un roman d’une très grande finesse sur un sujet actuel : la tragédie d’un adolescent malmené, torturé par ses pairs, jusqu’à ce qu’il tue son bourreau, avant de retourner l’arme contre lui-même et de se suicider. Se plaçant aux côtés du petit frère et de sa famille laissés traumatisés, et emplis de questions, l’auteur choisit de souligner ainsi que la violence n’a pas d’issue. Elle reconstitue sans pathos, pas à pas, au travers des confidences de Henry, de son quotidien qui oscille entre noirceur et nouvelles amitiés, entre gravité et humour, les événements qui ont conduit à l’irréparable.
En empathie, le lecteur se révolte lui aussi contre la douleur d’un deuil presque impossible à faire, de crimes quasi impossibles à pardonner, et décide d’accompagner Henry sur le chemin de sa reconstruction.
Un livre inoubliable qui permet de montrer aux lecteurs combien la détresse d’un adolescent harcelé est destructrice. 

« Quelque chose me dit que Cecil n’est pas la crème de la crème des psychologues. Déjà, il est gratuit. Enfin, il est payé par la Province de Colombie-Britannique, mais ça ne doit pas faire bien lourd. Son bureau est minuscule et encombré, avec des meubles bas de gamme,
abîmés et tachés. Et puis, on dirait qu’il n’a pas pu se payer de vêtements neufs depuis 1969. Nous n’avons pas encore parlé de ÇA. Il essaie de m’y amener l’air de rien. Il me pose parfois des questions orientées. Mais quand il le fait, je prends ma voix de robot pour lui répondre. « Je-ne sais-pas. De-quoi-vous-parlez. Espèce-d’humanoïde. » Alors, il bat en retraite. C’est à cause de cette voix de robot que je me suis retrouvé ici. Après toute l’histoire avec maman, à Noël, mes « furies » sont revenues et je me suis mis à parler comme un robot vingt-quatre heures sur vingt-quatre. »

Susin Nielsen, qui donne à chaque héros de ses romans une voix très juste et toujours singulière, a publié plusieurs romans pour adolescents, tous parus chez hélium (Dear George Clooney, tu veux pas épouser ma mère ? et Moi, Ambrose, roi du Scrabble).
Susin Nielsen a un site, susinnielsen.com. 
Elle vit à Vancouver avec sa famille. 

Parution : 21 août 2013
Roman adolescents
Prix public : 14,50 €
• 14, 5 x 20 cm, 248 pages, broché 
• À partir de 13 ans 
 EAN : 9782330022495




Faux pas de Maria Adolfsson (Doggerland 1)

Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...