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The night circus (Le cirque des rêves) - Erin Morgenstern

❢  Acquis lors de mon dernier voyage à Londres en septembre dernier, ce bouquin n'a pas fait long feu dans ma PAL. Tiré de son léger sommeil par une Acr0 plus que convaincue par ce titre, ce livre était mon défi du mois de novembre. Y a pas à dire, c'était une excellente période pour lire ce livre.
Alors d'abord, un grand merci à Acr0 d'en avoir parlé chez elle. J'ai été tout de suite tentée au vu de son avis sur la chose. Puis un second merci de me l'avoir choisi si vite. Me connaissant, j'allais encore faire traîner mes titres anglais par pure flemme.






Vous prendrez bien un petit résumé avec votre thé?

❢ "The circus arrives without warning. No announcements precede it. It is simply there, when yesterday it was not. Within the black-and-white striped canvas tents is an utterly unique experience full of breathtaking amazements. It is called Le Cirque des Rêves, and it is only open at night." 
Le Cirque des rêves arrive toujours sans prévenir. Il apparaît comme par magie et n'ouvre qu'à la tombée de la nuit. Le Cirque des rêves c'est un endroit féerique et mystérieux. Baigné de rayures noires et blanches, le cirque embaume le caramel. D'où vient-il, où va-t-il, personne ne le sait.
La seule certitude, c'est qu'il entraîne ses visiteurs dans un monde onirique. Un voyage qui laisse des séquelles : l'attente avide de son retour.
Mais ce livre, c'est aussi l'histoire d'un duel entre deux enchanteurs. Hector Bowen et A.H. Alexander ont chacun entraîné leur "poulain" en vue de remporter un challenge qu'ils se lancent régulièrement : lequel des deux est le meilleurs enchanteurs.


Et mon avis pour tremper dans le dedans?

❢ C'est en VO que j'ai découvert ce titre. Je me suis glissée dedans avec une assez grande facilité, malgré le fait que je n'ai plus lu en anglais depuis quelques mois-mini holà pour moi. C'est dire si c'était prenant. Malgré le côté mystérieux et intrigant du début du récit, j'ai tout de suite accroché. J'ai dompté la bête telle une mère lionne avec ses petits!
Vintage, mai 2012, 512p.

❢ Le texte se présente sous la forme de "courts" chapitres, relatifs à deux périodes différentes. La première débutant à la fin du 19ème siècle, la seconde se déroulant début du 20ème siècle. Les périodes sont relativement proches et finissent par s'entrecroiser à la fin. J'ai vraiment apprécié cette manière de présenter le récit. J'y ai trouvé un bon rythme de lecture et ma curiosité n'en était que plus attisée. Le style était assez aisé à lire (surtout pour une VO) et j'ai dévoré les mots à bonne allure.

❢ Coup de coeur également pour les décors présentés par Erin Morgenstern. Le cadre du roman est vraiment onirique. D'une part, on déambule dans les rues d'un 19ème siècle finissant-principalement à Londres, mais parfois ailleurs en Europe ou aux Etats-Unis. Personnellement, je pense-je suis même certainement à 100%-qu'à cette époque la magie existait vraiment; mais avec les années, tout s'est perdu.
D'autre part, le lecteur se retrouve à arpenter les allées du Cirque des rêves, où se mêlent les textures, les drapés, et des senteurs qui ne sont pas sans rappeler l'enfance.

❢ Je me suis attachée à chacun des personnages. Chacun apporte sa petit touche à l'histoire, et je ne peux imaginer qu'on en retire l'un ou l'autre. Chaque personnage a sa place dan l'intrigue.
Une intrigue vraiment bien ficelée, qui m'a tenu en haleine d'un bout à l'autre des 500 pages. 
Attention, ici pas d'action extravagante ou de cascade, on entre vraiment d'un univers de contemplation et de découverte. Il ne faut pas non plus croire qu'on est dans le plat. L'univers et le récit créés par Morgenstern sont énigmatiques et donnent envie d'être découvert. 

❢ En bref, Le cirque des rêves est un de mes coup de coeur 2013. Je me suis laissé bercer par les mots qui jaillissaient de ce livre. D'ailleurs, une fois le roman terminé, je me suis sentie quelque peu orpheline de cet univers. Magie, fantaisie, énigme, mystère et enchantement sont, je pense, les qualificatifs qui vont le mieux à cette histoire. Ajoutez le côté sucré et l'odeur de caramel, et vous y êtes. Un livre à la fois palpitant et reposant qui m'a donné plein d'étoiles dans les yeux.


Esprit d'hiver - Laura Kasischke

❢ Avec Esprit d'hiver, Laura Kasischke plonge son lecteur dans un ambiance neigeuse et de fêtes de fin d'année avec brio... mais pas que! Reçu dans le cadre de l'opération "Les Matchs de la rentrée littéraire 2013" organisée par Price Minister-Rakuten, j'ai découvert un roman fort, surprenant et dense. Pour l'opération, la cotation se fait sur 20.... ce sera donc un 16/20!



Vous prendrez bien un petit résumé avec votre thé?


Ch. Bourgeois, août 2013, 276p.
❢ C'est le matin de Noel, Holly et son mari se réveille tardivement.
Lui, démarre en trombe vers l'aéroport pour aller chercher ses parents. Elle, se prépare pour recevoir ses invités pour le réveillon.
Mais Holly est submergée par un sentiment de culpabilité et une phrase qui lui revient sans cesse en tête "Quelque chose les avait suivis depuis la Russie jusque chez eux!"
Un malaise qui s'accroît alors qu'elle se retrouve seule avec leur fille, Tatiana, habituellement affectueuse, qui se montre plutôt froide et distante.

Un petit avis pour tremper dedans?


❢ Esprit d'hiver est le second roman de Laura Kasischke que je lis. Agréablement surprise avec La couronne verte, c'est assez bluffée que j'ai refermé ce nouveau livre.
Kasischke plonge son lecteur au coeur d'un récit introspectif et étouffant. Très rapidement, le décor est planté. Le malaise, déjà bien présent dès les premières pages, va aller crescendo.
Holly a loupé son réveil. Ca la stresse et lui file quasi des angoisses. Elle culpabilise et se persuade que c'est à cause de ça que sa fille se montre plutôt froide et distante.

❢ Introspectif, parce que tout au long de l'histoire, Holly se remémore les souvenirs de l'adoption de Tatiana. Toutes les démarches qu'ils ont entrepris, leurs voyages en Russie, le retour aux Etats-Unis, et ces 15 premières années avec leur fille. Tout cette démarche psychologique se fait au son d'une phrase qui lui revient constamment à l'esprit. Une phrase qui la torture, qu'elle souhaiterait mettre à plat sur papier... sauf qu'elle n'a pas le temps. Elle s'est levée trop tard et doit préparer le repas de Noel. Cette phrase participe au malaise ambiant qui règne. Pendant toute l'histoire, je n'ai pu m'empêcher de me demander ce qui c'était passé en Russie qui puisse la mettre dans un état pareil. Le genre de petit détail qui pousse à tourner les pages sans s'arrêter.

❢ Etouffant, parce que ce roman est un huis-clos. Mis à part la présence du mari dans les 2-3 premières pages, le lecteur se retrouve vite seul en compagnie d'Holly et de Tatiana. Les relations sont plutôt tendues entre la mère et la fille, et on se retrouve au milieu, tel un spectateur invisible de toute la scène. Seuls quelques coups de téléphone donnent un peu d'air.
Le blizzard qui s'installe, joue également un rôle important dans l'histoire.
Premièrement, il enferme encore plus la situation, impossible de sortir ou d'entrer. Ensuite, la manière dont il est décrit m'a vraiment donné l'impression d'être coincée en dessous-et donc d'étouffer. Mais en bonus, la présence de toute cette neige m'a vraiment plongé dans cette ambiance de Noel.


❢ C'est également un roman très psychologique. Le récit est basé sur les souvenirs, les sentiments et les perceptions d'Holly. Mais le lecteur en prend aussi plein la tête. On tente de comprendre et de démêler les fils. La situation est complexe, et le malaise m'a également envahi. Laura Kasischke a construit son roman de telle manière que tout du long, on peut sentir que des éléments nous échappent. Et pour les découvrir, il faut...tourner les pages!
Sa manière de décrire l'environnement et de faire parler les personnages sont agréables. Le style est assez rythmé. Les focalisations internes sont prédominantes, mais les dialogues sont également présents, ce qui donne une bonne dynamique au récit.

En bref, thriller ou roman psychologique, Esprit d'hiver est avant tout un livre qui happe le lecteur dans une atmosphère palpitante et inquiétante à la fois. C'est un roman qui met mal à l'aise, qui dérange un peu, mais qui laisse planer une bonne dose de mystère du début à la fin.
Personnellement je me vois bien relire ce livre au coin du feu, avec une bonne couche de neige de l'autre côté de la vitre.



22/11/63 - Stephen King

❢ En 2013, je suis revenue à Stephen King avec beaucoup de plaisir. Ce fût en août avec Dôme, mais c'était d'abord en avril avec 22/11/63. Je n'avais pas encore parlé de ce livre, mais en ce 22-11-13-50 ans après la disparition de JFK- c'est une très bonne occasion de dépoussiérer mon avis.







Vous prendrez bien un petite résumé avec votre thé?

❢ Jake Epping, jeune professeur d'anglais dans le Maine, mène une vie tranquille jusqu'au jour où Al, le patron du diner local l'investit d'une mission particulière : empêcher l'assassinat de Kennedy.
Grâce à une faille temporelle située dans son arrière cuisine, Al a la possibilité d'être transporté en 1958. N'ayant pas encore réussi à sauver le président, et malheureusement atteint d'un cancer en phase terminale, Al informe Jake des possibilités de cette faille et lui demande de réaliser cette tâche pour lui. Jake va-t-il se laisser tenter...


Un peu de mon avis pour tremper dedans?

❢ Un peu mon n'veu que Jake va accepter la mission-il n'y aurait pas de livre sinon, c'était une question purement rhétorique, pas de spoil à ce niveau- et ce pour le plus grand bonheur du lecteur!
22/11/63, c'est le roman des "Et si...", un roman fantastico-uchronique, une brique de plus de 900 pages que j'ai dévorée avec avidité. Quand je me suis penchée sur cette nouvelle sortie-à l'époque de la sortie j'entends dire- j'ai été appâtée par :

  1. le côté "Retour vers le futur",
  2. l'incursion dans la grande histoire,
  3. le thème de l'assassinat de JFK.
Albin Michel, 27/02/13, 936p.
❢ Tout d'abord, je suis très fan de ces histoires de voyages dans le temps où il est "offert" aux héros de modifier le passé et de voir ce que ça donne dans le présent-d'ailleurs ce n'est pas pour rien que je me refais Back to te future à chaque rediff' télé. En janvier 2005, j'avais déjà fondu pour le Replay de Ken Grimwood, que je conseille au passage. Je trouve que ce genre de récit attise la curiosité du lecteur et donne donc envie d'aller voir plus loin dans le livre.
Cerise sur le gâteau, Stephen King inscrit son récit dans la grande histoire, dans la réalité. Là j'ai laissé les clés et j'ai dit "Stephen, drive me crazy".
Et enfin, le thème de l'assassinat de JFK est toujours un sujet qui attire mon attention. Pas que j'y connaisse quoique ce soit à la politique américaine ou aux tractations qui auraient pu conduire à cet attentat, mais je trouve que cet évènement fait partie des "mythes" du XXème siècle-si on se penche en plus sur les funestes destins qui ont touchés la quasi totalité de la famille, il y a de quoi blablater. JFK était également un des premiers "films de grands" que j'avais été voir au cinéma. Mais surtout, mon premier voyage aux Etats-Unis m'a amené à Dallas où j'ai pu voir en vrai l'endroit où tout ça s'est passé. Déjà impressionnée par l'environnement (les USA, ça change de la Belgique), à 13 ans et demi, je l'ai été doublement impressionnée de me retrouver dans un lieu marqué par l'histoire.


❢ Avec son 22/11/63, Stephen King propose non seulement un roman fantastique (j'ai parlé d'uchronie plus haut, dans le sens où il vise à repenser un présent influencé par un autre passé), mais aussi une superbe description des Etats-Unis des années 50-60. J'ai tout simplement adoré le voyage.
Je dirais que le roman de King est à double vitesse. D'une part, on a la mission de base donnée à Jake,   l'objectif "principal" de l'histoire. J'ai trouvé qu'il s'agissait d'une intrigue plutôt palpitante qui m'a donné envie d'avancer. D'autre part, c'est aussi -et surtout- le cheminent d'un homme à travers sa vie. Alors oui, il est mû par une mission, mais c'est aussi un être humain qui doit se construire dans une époque qu'il ne connaît qu'à travers les livres d'histoires. Tout au long des 936 pages, on voit évoluer Jake. Et ça, j'ai vraiment bien aimé! Je me suis réellement attachée à cet homme, et au delà de sa mission, sa vie m'a également passionnée. J'ai également été séduite par tous ces personnages qui jalonnent son parcours et qui apportent beaucoup de "couleurs" à l'histoire.

❢ Comme je l'avais déjà dit pour dôme, j'ai vraiment apprécié le style utilisé par King-Je pense franchement qu'ils sont tous deux dans mon top 5 2013. Son écriture était assez agréable à lire, simple, fluide, mais aussi très fouillue; beaucoup de vision interne et quelques dialogues. On ne peut pas dire qu'il va directement au fait, car il propose au lecteur pas mal de descriptions du décor, mais personnellement, ça ne m'a pas dérangé, dans le sens où j'étais prise dans le voyage.
L'auteur est bien connu pour les briques qu'il pond. Alors, une brique c'est top quand on accroche, mais ça peut paraître long quand on court après le train. Contrairement au Fléau ou aux Tommyknockers, que j'avais moins apprécié, j'ai retrouvé avec ce 22/11/63 un Stephen King qui m'avait totalement conquise avec son Simetierre ou son Misery-mon coup de cour de tous les temps.

❢  En bref, j'ai vraiment kiffé passer trois semaines à lire ce livre (au moins). J'ai apprécié sa "double" intrigue et j'ai marché à fond. Je suis entrée pieds joints dans son texte et je me suis laissée portée par le flux des mots. Et comme bien souvent avec ce genre de brique, j'ai ressenti un grand vide quand j'ai tourné la dernière page. Ce livre reçoit tout mon adhésion-ah oui, pas un mot négatif tiens donc! Ah bin si, je vais en avoir un... le prix du bouquin était un peu argh... environ 28€...- et vous pouvez également lire les avis de Lhisbei, Carole, Sandrine.


Cinq jours - Douglas Kennedy

❢ Douglas Kennedy, auteur américain à succès, s'inscrit dans le "roman de vies". Mon expérience se limite à ce cinq jours et à La poursuite du bonheur (que j'avais vraiment adoré), mais ce que je peux en dire c'est que Douglas Kennedy dépeint la vie de ses héros à travers leurs questionnements, la société et l'époque dans laquelle ils évoluent.
Des romans assez forts qui plongent le lecteur dans la vie quotidienne de Monsieur et Madame Toulemonde. Un auteur de romans que certains rapprocheraient de Levy ou autres, mais qui selon moi vaut beaucoup plus que ça!-Non, je ne suis pas fan de Levy du tout...







Vous prendrez bien un petit résumé avec votre thé?


❢ Laura, 42 ans, est technicienne en radiographie. Des enfants qui grandissent -la seconde s'apprête à quitter le nid-, un mari qui déprime et accepte mal la perte de son emploi 18 mois plus tôt, une carrière qu'elle avait envisagée un peu plus ambitieuse, Laura voit sa sensibilité s'exacerber de plus en plus. Alors qu'elle se rend à Boston pour un séjour professionnel, Laura va faire la rencontre de Richard, cinquantenaire, expert en assurances. Suite à un premier échange plutôt houleux, une pure coïncidence va les mettre en présence à nouveau. Vont s'en suivre des échanges assez profonds sur le sens de leurs vies respectives.


Un peu de mon avis pour tremper dedans?


Belfond, octobre 2013, 352p.
❢ Ca faisait longtemps que je ne m'étais plus plongée dans un Douglas Kennedy, et ça m'a fait plaisir de retrouver sa plume. 5 jours, c'est le titre du roman, mais aussi la période couverte par le récit. 5 jours pendant lesquels on vit au rythme de Laura, cette jeune quarantenaire un peu mal dans ses baskets. Dès les premières pages, j'ai été plongée au coeur de l'histoire. Et il faut dire que le début est quelque peu plombant. Je me suis assez vite acclimatée à l'état d'esprit de l'héroïne.
C'est dire si le style de l'auteur est assez efficace.
L'intrigue prend place dans le quotidien d'une femme, qui peut-être celui de mille autres. Ce qui permet sans doute d'être prise au jeu (même si on n'a pas 40 ans).

❢ Les personnages n'ont rien d'extraordinaire. Ce sont des Monsieur, Madame Toulemonde. C'est ce qui fait l'intérêt du roman. Pas d'histoire rocambolesque, pas de super-héros, on est bien ancré dans la réalité. Même si l'auteur apporte une bonne dose de coïncidences, l'histoire se tient. La vie n'est-elle pas faite de coïncidences parfois?!
J'ai quand même été un peu "agacée" par les personnages, que ça soit lors de situations ou de répliques un peu téléphonées. Mon plaisir de lecture s'est un peu amoindri vers les 4/5 du roman, néanmoins Kennedy remonte bien la barre à la fin et sait attiser la curiosité du lecteur.

❢ Le style est assez agréable et vif. La narration est en "je" et le texte contient pas mal de dialogues. Le rythme est donc assez soutenu et les pages défilent rapidement. Les discussions entre les deux protagonistes sont animées. Elles brossent un tableau de leurs vies et permettent d'apprendre à les connaître et les apprécier.

❢ En bref, Kennedy offre avec ce roman un moment de lecture "divertissant". Une histoire plutôt grave, parfois sombre, mais qui laisse place à l'espoir. Une écriture fluide et légère qui se laisse lire n'importe où. Des dialogues bien travaillés, des discussions intéressantes autour de la culture et de la littérature. Le récit introspectif d'une jeune quarantenaire au tournant de sa vie, qui peut toucher le lecteur... Il n'est jamais trop tôt ou trop tard pour se remettre en question...
Au passage, je remercie les éditions Belfond (et Laura) de m'avoir permise de découvrir ce roman.


Le petit joueur d'échec - 2009



Mon résumé

Un garçon vient au monde les lèvres soudées, qu'une opération chirurgicale rectifie à l'aide d'une greffe de peau de sa jambe. Lorsqu'il rencontre un ancien chauffeur de bus qui vit dans un bus désaffecté, le petit garçon découvre ce qui sera sa passion : les échecs. Seulement il aime à jouer en réfléchisant placé sous la table, visualisant le déplacement des pièces sur le plateau

Les tendres plaintes - 1996


Mon résumé
Tokyo. Ruriko quitte le domicile conjugal et un mari violent et adultère pour s’installer dans le chalet de ses parents dans la montagne. Lors de sa retraite volontaire, elle compte faire le point et avancer un peu ses travaux de calligraphie. Mais elle fait connaissance de ses voisins : Kaoru, une jeune femme qui fuit le souvenir d’un drame sanglant auprès de Monsieur Nitta, l’ancien

La marche de Mina - 2006



Mon résumé
Japon, Okayama. 1972. A la mort de son père, Tomoko 12 ans, part vivre chez la soeur de sa mère durant l'année où celle-ci décide de reprendre des études de couture à Tokyo qui lui assureront un métier plus stable.
A Ashiya, chez sa tante, Tomoko fait la connaissance du reste de la famille : Erich-Ken, l'oncle, un bel homme élégant qui semble avoir une double vie, Rosa, la

Cristallisation secrète - 1994


Mon résumé
Sur une île isolée. De nos jours. Une jeune femme écrivain tente de ne pas disparaître alors qu'autour d'elle, les choses et les gens se retrouvent du jour au lendemain mystérieusement oubliés. Dans son nouveau roman, elle imagine une héroïne muette, qui finit par être assimilée dans les objets qui encombrent le grenier dans lequel elle se retrouve enfermée.
Nous parlons de toutes

Le musée du silence - 2000


Mon résumé
Un jeune muséographe entreprend d'aménager un musée unique au monde dans les anciennes écuries d'un étrange manoir. La propriétaire, une vieille dame acariâtre lui demande de créer le musée qui lui permettra d'exposera les objets subtilisés à ceux qui sont morts dans son entourage. Bientôt, le jeune homme est lui même chargé d'aller recueillir un objet révélateur du défunt. Aidé de la

Parfum de glace - 1998


Mon résumé
Japon. Après la mort d'Hiroyuki, surnommé Rooky, 30 ans, son amie Ryoko découvre qu'elle ignore tout de son passé. Qu'il avait un frère, qu'il était un génie en mathématiques depuis sa plus tendre enfance passée à remporter des prix que sa mère, obsédée, continue d'entretenir dans une sorte de dévotion mystique, qu'il était un patineur hors pair et qu'il allait se produire à son insu

Hotel Iris - 1996


Mon résumé
Mari, une jeune fille de 17 ans, devient la proie consentante d'un homme âgé qui fait d'elle un objet érotique, en l'attachant et en l'humiliant.
Le matin, en me rasant, je ne me rends pas compte que ma main s'interrompt et, toujours pleine de mousse, se met à caresser tendrement le miroir. (p 90)
Un peu plus
Malgré le sujet quelque peu scabreux, pour ne pas dire licencieux, je dois

L'annulaire - 1994





Mon résumé
Une jeune ouvrière de 21 ans quitte son village et la fabrique de limonade dans laquelle elle a laissé un tout petit morceau de son annulaire, tombé dans une cuve de limonade ou disparu dans le désinfectant. Dès son arrivée en ville, elle trouve un emploi d'assistante-réceptionniste dans une sorte de laboratoire de spécimens où officie le docteur Deshimaru dont elle ne tarde pas à

Amours en marge - 1991


Mon résumé
Une jeune femme, que son mari a quittée, perçoit des sons que personne d'autre n'entend, un bourdonnement qui ressemble au son que produisait un jeune violoniste de sa classe voici 10 ans. Un homme mystérieux, rencontré par hasard, lui fait comprendre que la musique qu'elle perçoit est l'écho de sa mémoire et qu'il faut qu'elle y mette de l'ordre pour en guérir.
Je pense que mes

La petite pièce hexagonale - 1991


Mon résumé
Yuzuru et sa mère Midori ont un bien curieux commerce : ils trimballent une étrange pièce hexagonale, une "pièce à raconter" qu'ils installent quelque part, puis attendent les clients, ou plutôt les "patients" car quiconque entre dans la pièce en ressort plus léger après y avoir déversé son fardeau.

Quand je sortis de la petite pièce à raconter, je sentis aussitôt que la teneur de

Un thé qui ne refroidit pas - 1990


Mon résumé
Lors de l'enterrement d'un ancien camarade de classe, une jeune femme retrouve un ami d'école. Celui-ci vit avec la bibliothécaire de leur ancienne école. Cette rencontre bouleverse ses habitudes. A leur contact, elle va entreprendre une remise en ordre dans ses affaires. Au point de se perdre peut-être.

Pendant ces dix dernières années, ce garçon n'avait été présent que dans mon

Le réfectoire un soir et une piscine sous la pluie - 1991


Mon résumé
Fraîchement emménagée, une jeune femme reçoit la visite impromptue d'un homme accompagné de son fils de 3 ans et demi. Sur le pas de la porte, puis dans d'autres occasions peut-être hasardeuses, ils échangent des impressions sur la tristesse, ce qui motive celle-ci, les circonstances ou la réminiscence de la mémoire.

- Vous ne souffrez pas de détresse ?
Au moment où l'homme a

La formule préférée du professeur - 2003


Mon résumé

La jeune mère célibataire d'un garçon de 10 ans est employée par une association en tant qu'aide-ménagère. Elle est alors envoyée auprès d'un vieux professeur qui, suite à un accident, ne dispose plus que de 80 minutes de mémoire immédiate. Jour après jour, ils doivent refaire connaissance et patiemment, elle tente de lui rendre la vie plus facile, tout en s'attachant à cet étrange

Faux pas de Maria Adolfsson (Doggerland 1)

Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...