Comme le temps file vite !
J'avais tant de billets de pr�vus pour septembre et on est d�j� � la mi-octobre ?
Comment est-ce arriv� ?
Il faut dire que mon mois de septembre a �t� assez charg�... Je vous raconte ?
Et bien d�j�, de toute �vidence, septembre c'est la rentr�e.
Sur mon lieu de travail, on a deux jours officiels pour les inscriptions � la mi-septembre, pendant lesquels nous proposons des introductions � la biblioth�que.
L'an dernier, j'avais pu m�ins�rer dans trois sessions d'amphi o� la majorit� des �tudiants �taient rassembl�s, et on avait jou� au Library Bingo (le bingo, c'est toujours un succ�s assur� en Grande-Bretagne...).
Mais cette ann�e, point d'amphi de pr�vu.
Du coup, j'ai accept� d'organiser de petites s�ances d'induction de 10-15 minutes... toutes les demi-heures. Sur les deux jours d'inscription.
1. Je peux vous garantir je ne m'y laisserais pas reprendre. 25 sessions en deux jours, c'�tait juste... �puisant.
2. Au total, j'ai vu moins d'�tudiants que l'an dernier. Les s�ances d'amphi, o� j'�tais certes coinc�e entre le discours du directeur et celui du responsable qualit�, �a avait l'air plus officiel et du coup plus de gens y avaient assist�. Au contraire, les "library inductions", �a devait faire plus optionnel... [Et je m�arr�te l�, sinon, je vais r�ler pendant une demi-heure sur le manque de consid�ration que les �tudiants tendent � porter � la biblioth�que...]
3. MAIS, mais, tout de m�me, l'avantage c'est que j'ai pu voir pleins de petits groupes, qu'on a pu voir les choses en profondeur et que ceux qui sont venus ont d�finitivement retenu plus de choses que lors d'une banale pr�sentation en amphi (m�me avec Bingo inclus).
C'est pour cette raison que j'essaie de m'ins�rer dans chaque cours et de proposer une s�ance d'introduction a la biblioth�que, m�me si le prof n'est pas forc�ment chaud pour que j'en fasse plus.
Cette ann�e, j'ai explos� mon record et j'ai pu voir une dizaine de classes pour ce type d'introduction. (Mais bon, il en reste plusieurs dizaines que je n'ai pas atteintes... enfin pas encore !)
Sinon, pour continuer dans les nouvelles, apr�s presque deux ans sur un contrat a 80%, je viens enfin de passer a temps plein !
Les n�gociations ont �t� rudes (il y a eu beaucoup de coupes budg�taires ces temps-ci) mais vu le nombre de cours que j'ai de r�serv�s rien que pour ce semestre, �a devenait juste impossible � faire en trente heures par semaine.
Du coup, je suis ravie ravie ravie. Et aussi fatigu�e fatigu�e fatigu�e. Et bien sur au bout de deux semaines de temps plein, j'ai attrap� un rhume. Mais �a fait plaisir de pouvoir s'y mettre � fond !
Du c�t� de mes activit�s en ligne, j'ai aussi repris en septembre la mise en ligne r�guli�re d'articles sur mon site How To Do a Literature Review. Et j'ai commenc� � interviewer des �tudiants et des chercheurs sur leur pratique de Literature Review, ce qui s�av�re absolument passionnant !
Oh, et puis, juste en passant, j'ai moi-m�me �t� interview�e sur le sujet pour un article qui est paru dans Times Higher Education !
Bref, voila pour les nouvelles.
Promis, j'essaie de mettre en ligne un nouvel article de fond tr�s bient�t. Je vais vous d�crire le jeu que j'ai utilis� cette ann�e pour mes inductions... Et j'en ai encore tout plein en r�serve � vous faire d�couvrir !
Affichage des articles dont le libellé est how to do a literature review. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est how to do a literature review. Afficher tous les articles
How To Do a Literature Review
�a fait des mois que j'h�site � vous en parler, mais je crois que le moment est venu...
Depuis novembre, je travaille sur un site que j'ai appel� "How To Do a Literature Review". J'essaie d'y expliquer, le plus simplement possible, les principes de la recherche documentaire et de l'�criture d'une "revue de litt�rature" comme on en trouve dans les th�ses de doctorat par exemple.
Ce sont des choses que j'enseigne tr�s r�guli�rement aux �tudiants de master et de doctorat de mon �tablissement.
Lors d'une session m�thodologique, avec un groupe tr�s anxieux, une �tudiante ma demand� o� elle pourrait trouver plus d'informations sur la "Literature Review". Je l'ai envoy�e vers les quelques bouquins que nous avons en rayon sur le sujet. "Et," ai-je lanc�, "je suis s�re que vous trouverez plein d'informations sur Internet."
Le soir venu, je suis all�e v�rifier mes dires... Et les bras m'en sont tomb�s. 95% des sites que j'ai trouv� sur le sujet ne forment que quelques pages vieillottes sur des sites d'universit�. Elles sont souvent tr�s th�oriques et peu �clairantes.
Quelques exceptions n�anmoins : The Literature Review HQ (un tr�s bon blog tenu par un ancien doctorant) et quelques pages sp�cifiques sur Jenn's Studious Life et le site de James Hayton.
Bref, l'id�e �tait n�e de cr�er un site sur toutes les techniques entourant la literature review qui soit clair, complet, et �crit du point de vue professionnel d'une biblioth�caire.
Je travaille donc depuis quelques mois � construire le contenu du site, article apr�s article. Je me suis surtout concentr�e sur les techniques de recherche documentaire, car �a me semble �tre la base, mais j'ai plein d'autres id�es et projets � venir.
Pourquoi je vous raconte tout �a ? Parce que, chers coll�gues biblioth�caires, j'ai besoin de votre aide. Pourriez-vous jeter un �il au site et me dire ce que vous en pensez ? Je suis preneuse de toute critique et commentaires ! Je vous remercie infiniment pour votre aide.
Inscription à :
Articles (Atom)
Faux pas de Maria Adolfsson (Doggerland 1)
Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...

-
In Nancy Drew #107, The Legend of Miner's Creek , Nancy, Bess, and George enjoy a vacation at the ranch of Carson Drew's friend, Cha...
-
Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...
-
Joseph d’Arbaud est né à Meyrargues, petit village provençal à 15 km au nord d’Aix-en-Provence, en 1874, dans la propriété familiale que l’o...