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Astor, Le Riff de la rue







Le nouveau roman rock ET steampunk de Richard Harland, l’auteur du Worldshaker et du Liberator


– Où allons-nous ? demanda la jeune fille.
– Le plus loin possible de ce quartier. Ces grosses maisons que tu vois, c’est là que vivent les riches.
– Nous allons chez les pauvres ?
– Chez les plus pauvres des pauvres. Dans la Zone.
Cela ne disait rien qui vaille à Astor.
– On n’est pas bien, ici ?
– Dans la Zone, personne n’ira te dénoncer aux Swale.
Avec un peu de chance, on arrivera à entrer dans un gang.
– Je ne veux pas faire partie d’un gang.
– Ah non ? Et pourquoi ?
– Je n’aime pas les gangs des taudis.
– On n’a pas le choix. Ce n’est pas possible de survivre seul, là-bas.
Astor avait en tête une bonne douzaine d’arguments contraires, mais tous se résumaient à une objection criante : ces gangs ont tué mon père.

Et si les groupes de rock avaient été inventés au dix-neuvième siècle ?
Et s’ils avaient changé le cours de l’Histoire ? Dans les taudis de Brummigham, en 1847, les gangs de parias inventent un nouveau genre de musique, une musique emplie de rythmes détonants et de guitares folles. Astor Vance, elle, a grandi bercée par les notes mélodieuses de la harpe et du piano. Mais peut-être que pour elle, la seule manière d’échapper au destin de gouvernante qu’on lui impose et de survivre sera de jouer la musique des gangs…


À PROPOS D’ASTOR, LE RIFF DE LA RUE : 
« Mon inspiration (...) remonte à l’époque où je me préparais à écrire Le Worldshaker et où j’ai tapé le mot « steampunk » dans Google. J’ai alors eu une révélation en voyant les guitares steampunk que des gens avaient créées – de vraies guitares électriques dont on pouvait jouer, avec des gadgets en cuivre et des bitoniaux en laiton, des tuyaux et des câbles et des rouages et des engrenages. Incroyable ! Ces images ont semé une idée qui a fini par réunir mes deux passions : mon vieil amour de la musique jouée sur scène et mon nouvel amour pour l’écriture de romans steampunk... » 



Richard Harland est l’un des très grands romanciers australiens pour la jeunesse. C’est chez hélium qu’il publie pour la première fois en français Le Worldshaker (Tam-Tam Je Bouquine 2011), suivi du Liberator. Il raconte ses passions, ses rencontres et prodigue des conseils d’écriture sur son site http://www.richardharland.net/. 

Traduit de l'anglais (Australie) par Valérie Le Plouhinec
Ilustration de couverture : Séverin Millet
Broché
14,5 x 20 cm
Dès 11 ans 
384 pages
9782330022921
15,90 €

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