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10 conseils pour mettre � profit une s�ance unique

Cet article est une traduction de 10 Tips for Making the Most of a One-Shot Session d'Amanda Hovious.
Tous les liens dans le texte m�nent � des ressources en anglais.

C'est la rentr�e ! Vous avez probablement entam� l'ann�e avec de nombreuses formations et pr�sentations de la biblioth�que, et la plupart de ces formations tombent s�rement dans la cat�gorie des s�ances uniques. Nous connaissons tou.te.s les limitations de ces s�ances uniques - peu importe � quel point la formation a �t� pr�par�e, on ne peut pas tout faire en une heure de cours. Donc aujourd'hui, je partage dix conseils pour vous aider � faire en sorte que vos �tudiants en apprennent le plus possible en une seule s�ance. Les voici :

1) Pr�parez vos apprenants. Entrer sans introduction dans une classe pleine d'�tudiants qui ne s'attendent pas � �tre form�s � la recherche documentaire, qui ont oubli�, ou qui n'ont aucune id�e de l'int�r�t que �a peut avoir, c'est s'exposer au d�sastre et presque garantir que presque rien ne sera appris au cours de la s�ance. Pr�venez les �tudiants � l'avance (ne vous contentez pas de vous reposer sur leur professeur) de ce que vous allez leur apprendre et en quoi c'est int�ressant vis-�-vis de leur �tudes. Il y a plusieurs mani�res de s'y prendre. Voici quelques id�es : faites une annonce sur la page du cours, cr�ez un message vid�o qu'un de leurs profs pourra leur passer avant votre s�ance, ou venez en classe la semaine pr�c�dente pour vous pr�senter bri�vement. Votre imagination est la seule limite sur ce point.

2) Oubliez les suppositions, passez � l'�valuation. Nous faisons tous des suppositions concernant ce que les �tudiants savent ou ne savent pas. Les enseignants le font. Les biblioth�caires le font. Il est temps d'arr�ter ! Les suppositions sont probablement la plus grosse barri�re � l'apprentissage que l'on puisse cr�er quand on parle de s�ances uniques parce que l'on peut se retrouver avec deux types de r�sultats : 1) les �tudiants n'apprennent rien car il leur manquait des pr�-requis qu'ils �taient suppos�s avoir OU 2) les �tudiants n'apprennent rien car ils connaissaient d�j� les concepts et les comp�tences enseign�es.
Pour �viter �a, la solution la plus simple est d'�valuer les �tudiants, de pr�f�rence avant la s�ance. Nul besoin d'�tre formel : un simple questionnaire devrait suffire. Et plut�t qu'�valuer des comp�tences abstraites, �valuez l'exp�rience. Combien de dissertations ont-ils �crit ? � quel point les bases de donn�es leur sont-elles famili�res ? Comprennent-ils les attentes de la recherche acad�mique ? Si vous avez une classe pleine d'�tudiants qui ont peu ou pas d'exp�rience dans l'�criture de dissertations acad�miques, se lancer dans l'utilisation des bases de donn�es ou l'�valuation des sources ne sera pas une exp�rience d'apprentissage vraiment utile. Il leur faut d�marrer par une orientation sur le processus de recherche, comment choisir un sujet, le restreindre et identifier leurs besoins informationnels.

3) Soyez flexible. Ce point se joint au point num�ro 2. Vous vous �tes donc pr�par� � enseigner � des �tudiants comment trouver des articles dans des bases de donn�es, mais apr�s �valuation vous avez d�couvert qu'ils n'ont m�me pas encore choisi leurs sujets. Il est temps de faire preuve de flexibilit� car, quand vous allez entrer dans la salle de classe, vous allez devoir faire machine arri�re et travailler avec eux sur l'exploration des sujets et identifier leurs besoins informationnels (mais vous pouvez tout de m�me y int�grer un mot sur les bases de donn�es). Je pense que la fa�on la plus facile de faire �a est de penser de fa�on modulaire, chaque module repr�sentant une comp�tence ou un concept discret. Si vous gardez en t�te la modularit� quand vous d�veloppez vos documents p�dagogiques, vous pourrez sortir n'importe quel tour de votre chapeau � la demande. Vous serez toujours pr�par�s pour enseigner aux �tudiants ce dont ils ont besoin.

4) Less is more. Si vous lancez 1000 concepts aux �tudiants, combien vont-ils en m�moriser ? Probablement aucun. Trop de contenu m�ne � une surchage cognitive. Concentrez-vous sur un nombre limit� de concepts ou de comp�tences et vos �tudiants en retiendront bien plus. Jetez un oeil � mon post sur la "R�gle de un" pour les s�ances uniques. Cette r�gle refl�te une approche modulaire de l'instruction.

5) Ayez une approche multimodale. La pr�sentation multimodale d'informations signifie que vous pr�sentez la m�me information sur plus d'un mode (par exemple visuel, auditif, tactile). Cela peut vous rappeler les styles d'apprentissage mais ce n'est pas tout � fait �a. Le but d'une pr�sentation multimodale n'est pas un enseignement � l'attention de divers styles d'apprentissage (les styles d'apprentissage sont plus un mythe qu'une r�alit�). Il s'agit plut�t de r�duire la charge cognitive et d'am�liorer la compr�hension. Personne n'apprend au maximum de ses capacit�s lorsqu'on ne fournit qu'un seul mode de pr�sentation (bien que l'on puisse avoir des pr�f�rences). Tout le monde b�n�ficie d'une pr�sentation multimodale. Gardez cela � l'esprit lorsque vous d�veloppez vos mat�riels p�dagogiques et activit�s. Par exemple, vous pouvez pr�senter le concept des sources primaires et secondaires avec des exemples de la vie r�elle (tactile) et une vid�o Youtube (audiovisuel).

6) Essayez le mod�le de l'atelier. Le mod�le de l'atelier est une approche qui est beaucoup utilis�e aux �tats-Unis pour enseigner les comp�tences de langue - et parfois les maths - au primaire et au secondaire. Je pense qu'il s'agit d'une approche id�ale pour les s�ances uniques car cela permet de planifier l'apprentissage en s'appuyant sur une limite temporelle d�finie. Le mod�le de l'atelier a quatre composantes primaires : l'ouverture, la mini-le�on, le temps de travail et le d�briefing. L'ouverture (environ 5 minutes) permet de d�finir les attentes et d'identifier les objectifs de la session. La mini-le�on (10 � 15 minutes) est la composante directe d'enseignement et peut inclure une d�monstration et/ou un petit cours. Le temps de travail (environ 30 minutes) est la composante o� les �tudiants pratiquent ce qui a �t� enseign� pendant la mini-le�on. Le niveau de supervision peut varier au cours de cette p�riode, en fonction des besoins des �tudiants. Le d�briefing (10 � 15 minutes) permet aux �tudiants de r�fl�chir sur leur travail. Qu'ont-ils appris ? Quelles questions ont-ils encore ?

7) Utilisez des exemples pratiques. Les exemples pratiques ("worked examples") sont des supports d'enseignement incroyables. Vous les avez probablement d�j� rencontr�s en maths, mais je pense qu'ils servent une fonction importante dans l'apprentissage de la recherche documentaire. Afin que les �tudiants deviennent de bons chercheurs et de bons auteurs, ils doivent voir ce que "bon" veut dire. C'est l� que viennent les exemples pratiques. Un exemple pratique d'une dissertation dans un contexte de formation � la recherche documentaire devrait inclure des annotations de la bibliographie et des citations dans le texte. Pourquoi cette source a-t-elle �t� choisie ? Comment a-t-elle �t� trouv�e ? Pourquoi a-t-il fallu la citer � des endroits sp�cifiques ? Encore mieux, cr�ez un exemple pratique int�ractif o� les items annot�s sont des liens menant � des bo�tes pop-ups contenant plus d'informations. Les pop-ups permettent de d�sencombrer l'espace visuel et de r�duire la charge cognitive.

8) Fa�tes des liens avec la vie r�elle. Tous les �tudiants ne sont pas de futurs enseignants-chercheurs en devenir. La plupart ne le sont pas. La plupart n'aiment pas le processus de recherche acad�mique. Mais un jour ils utiliseront leurs comp�tences d'information literacy d'une mani�re ou d'une autre. Ils ont donc besoin de savoir comment transf�rer ces connaissances au-del� du domaine acad�mique. C'est pourquoi faire des liens avec la vie r�elle est vital pour la formation � la recherche documentaire. Mais comment faire des liens entre la recherche et la vie r�elle lorsque l'on est dans une salle de classe, au sein d'un campus, au milieu de nulle part ? En utilisant l'apprentissage par probl�mes li� � leur carri�re ou � leur vie future (ils ont besoin de savoir transf�rer les comp�tences au-del� de l'�cole, donc faites en sorte que les cas refl�tent des �v�nements futurs). Si les �tudiants travaillent d�j� sur une dissertation, mieux vaut se concentrer l�-dessus. N�anmoins, savoir faire des liens entre l'apprentissage � l'�cole et l'apprentissage tout au long de la vie est une comp�tence essentielle au XXI�me si�cle. Les biblioth�ques devraient donc consid�rer l'int�gration de ce type d'apprentissage par probl�mes dans les formations qu'elles donnent aux �tudiants de premi�re ann�e par exemple.

9) Incitez � l'utilisation de la biblioth�que. Rien n'est plus exasp�rant que les �tudiants qui sont fiers d'admettre qu'ils n'ont jamais mis un pied � la biblioth�que. Ils devraient �tre embarrass�s. La r�ussite � l'�cole n�cessite d'utiliser la biblioth�que. Et les lecteurs r�guliers r�ussissent probablement bien mieux apr�s l'universit� (je ne sais pas si c'est vrai, mais �a me para�t bien). Comment faire en sorte que les �tudiants que l'on voit lors de s�ances uniques se mettent � fr�quenter la biblioth�ques ? Tous les moyens sont bons. Des points en plus, si l'enseignant est d'accord. De la nourriture. Des prix. Voire un programme de badges num�riques s'il est bien d�velopp�. Le plus important �tant que les �tudiants viennent � la biblioth�que apr�s leur session et cr�ent des liens avec les biblioth�caires.

10) Le suivi. Combien de formations avez-vous donn� apr�s laquelle vous avez perdu la trace des �tudiants ? O� vous n'avez pas recontact� l'enseignant afin de d�couvrir comment les �tudiants s'en �taient sorti dans leurs examens ? Le suivi est aussi important que la pr�paration de l'apprenant (point num�ro 1). Les questionnaires avec des questions en lien avec la formation peuvent �tre utiles, mais le suivi en personne avec l'enseignant vous donnera probablement des informations ayant plus de valeur et vous aidera � am�liorer vos prochaines formations.

10 astuces pour les formateurs et les enseignants

Entamons septembre du bon pied avec une traduction de l'article 10 Tiny Tips for Trainers & Teachers de Ned Potter. Si vous lisez suffisamment bien l'anglais, je vous encourage � suivre son blog. Il est orient� sur la communication en biblioth�que et c'est toujours une lecture tr�s int�ressante.


Je donne beaucoup de formations ces temps-ci, � la fois pour mon travail principal et pour pour travail en freelance. J'ai donc amass� quelques petites astuces en chemin. Rien de stup�fiant - mais si vous donnez des formations ou des classes de ma�trise de l'information [NDLT : qui a une meilleure traduction pour "information literacy" ?], peut-�tre certaines d'entre elles vous seront utiles.
Voici la version courte et visuelle [en anglais] - et j'irais plus en d�tail ci-dessous.




Structure de la Session


1. Commencez par quelque chose de pratique. Parfois, on ne peut pas �chapper � une grosse partie th�orique ou conceptuelle. Mais si c'est le cas, dans la mesure du possible, faites en le deuxi�me point sur votre itin�raire pour la journ�e / l'heure - et commencez par quelque chose de pratique. Entamer la session avec quelque chose � FAIRE r�veille tout le monde, et lance la s�ance sur quelque chose de tangible plut�t qu'abstrait. Cela transforme aussi tout le monde en participants actifs d�s le d�but. 

2. Permettez � chacun de recharger ses batteries. Une journ�e d'atelier devrait avoir des pauses caf� int�gr�es. Mais m�me une formation d'une heure peut-�tre p�nible. Ins�rer une pause de 3 minutes afin que les participants d�crochent, discutent entre eux, se relaxent, les aidera � se concentrer pour la seconde partie de la session et augmentera leur niveau d'�nergie sur toute la ligne. Une pause dix minutes apr�s le d�but d'une session d'une heure marche remarquablement bien - et �tonnamment mieux qu'� mi-parcours ou plus tard dans la session.

3. R�sumez la session via un Challenge de Diapos Al�atoires (aussi connu sous le nom de Battle Decks). J'adore les challenges de diapos al�atoires. Voil� comment �a marche :
  1. � la fin de votre pr�sentation, vous cr�ez un jeu de diapositives court et simple qui r�sume votre session (en g�n�ral, je cr�e deux jeux de cinq diapos chacun).
  2. Vous demandez � des participants de les pr�senter (donc dans mon cas, deux volontaires).
  3. Les volontaires n'ont jamais vu les diapositives auparavant, ce qui fait partie du jeu - donc ils voient les diapos pour la premi�re fois au m�me moment que le public, et il faut qu'ils improvisent leur pr�sentation en se basant dessus.
  4. Les diapositives avancent apr�s 15 secondes, du coup la pr�sentation dure � peine plus d'une minute.
Il faut leur donner la meilleure chance possible de comprendre sur quelle partie de la session porte chaque diapositive ! Si vous jetez un �il � la diapo 41 et suivantes dans la pr�sentation int�gr�e � cet article, vous verrez un exemple de jeu de diapositives pour un challenge de diapos al�atoires.
Cela marche bien pour deux raisons - tout d'abord, c'est souvent hilarant. Les personnes du public crient si elles comprennent � quoi se r�f�re une diapositive avant les orateurs, et tout le monde quitte la session assez excit�. Les formulaires de feedback � la fois � la British Library, o� j'ai utilis� �a au cours de formations, et pour mes classes de ma�trise de l'information � York, montrent souvent que c'�tait la partie favorite des participants. L'autre raison pour laquelle �a marche, c'est parce que c'est souvent un r�sum� d'excellente qualit�. Les gens disent exactement la m�me chose que ce que j'aurais dit si j'avais r�sum� la session moi-m�me, mais �a a plus d'impact car il s'agit d'une autre voix (et, avec les �tudiants, c'est l'un de leurs pairs). Essayez ! La seule chose, c'est qu'il vous faut un plan B si personne ne se porte volontaire, ce qui m'est arriv� une fois. Avoir des r�compenses aide � s'assurer que �a n'arrivera pas...

4. Concluez apr�s les questions. C'est bien de finir une formation ou un cours avec un appel � l'action - un message clair expliquant ce que peuvent faire les participants apr�s. Le message peut se retrouv� brouill� par une s�ance de questions - r�ponses (qui peut bien entendu soulever n'importe quoi), donc int�grez un temps pour les questions juste avant la fin, puis laissez-vous cinq minutes pour conclure la session avec quelque chose de direct et de significatif.

Une tablette comme assistant p�dagogique


5. Utilisez Padlet sur votre tablette pour vous rappeler qui est qui. Padlet est un super outil qui peut �tre utiliser de bien des mani�res. Vous cr�ez un mur en ligne, sur lequel vous et n'importe qui ayant l'URL peut poster des notes. N'importe qui peut double-cliquer n'importe o� pour ajouter une sorte de post-it virtuel. Puis ils peuvent ajouter leur nom dans le titre, et une note, ou une URL - les liens vers des images ou des vid�os deviennent des objets int�gr�s sur le mur.
Je l'utilise pour crowd-sourcer les id�es des gens pendant les formations - comme vous utiliseriez un tableau � feuilles mobiles sauf que tout le monde peut retourner jeter un �il � l'URL apr�s la session, et �a devient une sorte d'archive pour que chacun apprenne des autres.

En tout cas, en fonction de la session, je fais un tour de table et demande aux gens de se pr�senter et de dire ce qu'ils attendent de la journ�e / de l'heure. C'est tr�s utile en soi, car vous pouvez adapter les choses en cons�quence. Je tape tout dans Padlet sur l'�cran de pr�sentation au fur et � mesure, ainsi on peut tous s'y r�f�rer plus tard et voir si on a fait ce qu'on avait dit ! Mais la chose vraiment utile c'est que vous pouvez choisir exactement o� mettre les notes sur l'�cran - du coup j'organise les notes de fa�on � ce qu'elles correspondent � l'agencement physique de la salle et o� les gens sont assis, comme dans l'exemple ci-dessous. Ensuite, je l'enl�ve de l'�cran pour le remplacer par ma pr�sentation, et je mets le mur Padlet sur mon ipad - ce qui signifie que j'ai les noms de tout le monde au bon endroit et que je peux m'y r�f�rer facilement pour me souvenir de qui est qui !
(J'ai l'impression de ne pas avoir expliqu� �a tr�s bien. Est-ce que �a fait sens? L'exemple ci-dessous devrait vous �clairer.)

Un exemple de mur Padlet

6. Avancez dans la pr�sentation, sur votre tablette. J'aime avoir ma pr�sentation ouverte sur mon ipad, comme �a je peux voir ce qui va arriver ensuite. C'est particuli�rement pratique si vous enseignez en duo avec quelqu'un d'autre - pendant que l'autre parle, vous pouvez r�viser ce que vous devez dire ensuite. Une immense part d'une pr�sentation r�ussie, pour moi, est d'avoir une impression de contr�le - et ceci aide.

Les Polycopi�s


7. Distribuez les polycopi�s. C'est tentant de se sentir plus organis� dans la distribution des polycopi�s si vous le faite avant que tout le monde n'arrive, en les pla�ant sur chaque PC ou sur chaque table. Mais si le groupe est compos� de moins de 20 personnes, distribuez-les vous-m�me ;  c'est une tr�s bonne opportunit� pour rencontrer chacun individuellement et �tablir un contact visuel, m�me court, rend la communication plus facile et plus compl�te pour la session.

8. Utilisez des copies d'�cran pour rendre les exercices facile � trouver. C'est impressionnant comme souvent les gens se perdent dans les polycopi�s. Quand vous arrivez � un exercice dans le poly, ajoutez une copie d'�cran sur votre diapositive au moment o� vous introduisez l'exercice - �a rend les choses plus rapides et plus faciles et permet aux participants de savoir exactement o� ils devraient �tre.

Documents p�dagogiques


9. Utilisez un wiki gratuit pour stocker vos mat�riels d'enseignement. Pour toutes sortes de raisons, il est bon d'avoir ses documents p�dagogiques en ligne. En particulier si votre session est pleine de liens, les mettre sur un wiki gratuit (PBworks par exemple) permet aux participants d'y acc�der de cette fa�on et de cliquer simplement sur les URLs plut�t que d'avoir � les taper. Mettez le PowerPoint l� aussi - �a signifie que vous aurez une copie de votre pr�sentation et des polycopi�s m�me si votre cl� USB tombe de votre poche et que votre imprimante tombe en panne...

10. Envoyez la pr�sentation � tout le monde apr�s par e-mail. Un e-mail post-session est utile pour renforcer les messages cl�s, et en particulier pour s'assurer que les participants ont acc�s aux documents de pr�sentation. Ne comptez pas sur ce que les gens (en particulier les �tudiants) les cherchent d'eux-m�mes ; envoyez un e-mail directement apr�s pour vous assurer qu'ils ont une copie de la pr�sentation ET vos coordonn�es. S'il y a des probl�mes de pi�ces-jointes dus � la taille des fichiers, mettez vos pr�sentations en ligne sur Slideshare et votre polycopi� sur Scribd, et incluez des liens � la place.



Article original de Ned Potter. Traduction par moi-m�me.
Ce(tte) �uvre est mise � disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d�Utilisation Commerciale 3.0 non transpos�.

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