Compte-rendu du lancement de la collection Victoria
Jeudi 18 février 2016, j’ai été conviée au
lancement de la nouvelle collection chez Harlequin : Victoria qui a eu lieu au restaurant Lapérouse, sur les bords de Seine
dans le quartier St Michel.
Avant de parler de la soirée à proprement parlé,
il faut parler du lieu de réception qui était juste magnifique. Restaurant qui
existe depuis 250 c’est au 2e étage après maintes escaliers et
petits
Le grand roman de ma petite vie de Susie Morgenstern et Albertine
Quatrième de couverture
Plus elle se pose de questions, moins Bonnie se sent capable de prendre des décisions.
Pourtant, quand elle tombe amoureuse de Carl, un camarade de collège, elle doit faire des choix. Mettre une robe ou un pantalon ? Lui parler d’amour ou lui parler de rien ? etc.
Ce ne sont ni sa mère, ni sa grand-mère, qui ont été incapables de trouver leurs réponses,
C'est lundi, que lisez-vous ? [39]
Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? by One Person’s Journey Through a World of Books. La relève après Mallou, le récap des liens se fait maintenant chez Galleane.
On répond comme chaque Lundi à trois petites questions :
1. Qu'ai-je lu la semaine passée ?
2. Que suis-je en train de lire en ce moment?
3. Que vais-je lire ensuite ?
La fille quelques heures avant l’impact de Hubert Ben Kemoun
Quatrième de couverture
Ce soir.
Tous ou presque ont prévu d’assister au concert du groupe de Marion. Mais
tous n’iront pas pour les mêmes raisons.
Certains sont venus avec joie et envie, d’autres avec rage et dégoût. Ici
des comptes vont se régler, des vies basculer en quelques instants.
Dans le noir, la tension monte. Annabelle veut croire que l’espoir va
l’emporter mais la haine peut
Quelques nouvelles...
Comme le temps file vite !
J'avais tant de billets de pr�vus pour septembre et on est d�j� � la mi-octobre ?
Comment est-ce arriv� ?
Il faut dire que mon mois de septembre a �t� assez charg�... Je vous raconte ?
Et bien d�j�, de toute �vidence, septembre c'est la rentr�e.
Sur mon lieu de travail, on a deux jours officiels pour les inscriptions � la mi-septembre, pendant lesquels nous proposons des introductions � la biblioth�que.
L'an dernier, j'avais pu m�ins�rer dans trois sessions d'amphi o� la majorit� des �tudiants �taient rassembl�s, et on avait jou� au Library Bingo (le bingo, c'est toujours un succ�s assur� en Grande-Bretagne...).
Mais cette ann�e, point d'amphi de pr�vu.
Du coup, j'ai accept� d'organiser de petites s�ances d'induction de 10-15 minutes... toutes les demi-heures. Sur les deux jours d'inscription.
1. Je peux vous garantir je ne m'y laisserais pas reprendre. 25 sessions en deux jours, c'�tait juste... �puisant.
2. Au total, j'ai vu moins d'�tudiants que l'an dernier. Les s�ances d'amphi, o� j'�tais certes coinc�e entre le discours du directeur et celui du responsable qualit�, �a avait l'air plus officiel et du coup plus de gens y avaient assist�. Au contraire, les "library inductions", �a devait faire plus optionnel... [Et je m�arr�te l�, sinon, je vais r�ler pendant une demi-heure sur le manque de consid�ration que les �tudiants tendent � porter � la biblioth�que...]
3. MAIS, mais, tout de m�me, l'avantage c'est que j'ai pu voir pleins de petits groupes, qu'on a pu voir les choses en profondeur et que ceux qui sont venus ont d�finitivement retenu plus de choses que lors d'une banale pr�sentation en amphi (m�me avec Bingo inclus).
C'est pour cette raison que j'essaie de m'ins�rer dans chaque cours et de proposer une s�ance d'introduction a la biblioth�que, m�me si le prof n'est pas forc�ment chaud pour que j'en fasse plus.
Cette ann�e, j'ai explos� mon record et j'ai pu voir une dizaine de classes pour ce type d'introduction. (Mais bon, il en reste plusieurs dizaines que je n'ai pas atteintes... enfin pas encore !)
Sinon, pour continuer dans les nouvelles, apr�s presque deux ans sur un contrat a 80%, je viens enfin de passer a temps plein !
Les n�gociations ont �t� rudes (il y a eu beaucoup de coupes budg�taires ces temps-ci) mais vu le nombre de cours que j'ai de r�serv�s rien que pour ce semestre, �a devenait juste impossible � faire en trente heures par semaine.
Du coup, je suis ravie ravie ravie. Et aussi fatigu�e fatigu�e fatigu�e. Et bien sur au bout de deux semaines de temps plein, j'ai attrap� un rhume. Mais �a fait plaisir de pouvoir s'y mettre � fond !
Du c�t� de mes activit�s en ligne, j'ai aussi repris en septembre la mise en ligne r�guli�re d'articles sur mon site How To Do a Literature Review. Et j'ai commenc� � interviewer des �tudiants et des chercheurs sur leur pratique de Literature Review, ce qui s�av�re absolument passionnant !
Oh, et puis, juste en passant, j'ai moi-m�me �t� interview�e sur le sujet pour un article qui est paru dans Times Higher Education !
Bref, voila pour les nouvelles.
Promis, j'essaie de mettre en ligne un nouvel article de fond tr�s bient�t. Je vais vous d�crire le jeu que j'ai utilis� cette ann�e pour mes inductions... Et j'en ai encore tout plein en r�serve � vous faire d�couvrir !
J'avais tant de billets de pr�vus pour septembre et on est d�j� � la mi-octobre ?
Comment est-ce arriv� ?
Il faut dire que mon mois de septembre a �t� assez charg�... Je vous raconte ?
Et bien d�j�, de toute �vidence, septembre c'est la rentr�e.
Sur mon lieu de travail, on a deux jours officiels pour les inscriptions � la mi-septembre, pendant lesquels nous proposons des introductions � la biblioth�que.
L'an dernier, j'avais pu m�ins�rer dans trois sessions d'amphi o� la majorit� des �tudiants �taient rassembl�s, et on avait jou� au Library Bingo (le bingo, c'est toujours un succ�s assur� en Grande-Bretagne...).
Mais cette ann�e, point d'amphi de pr�vu.
Du coup, j'ai accept� d'organiser de petites s�ances d'induction de 10-15 minutes... toutes les demi-heures. Sur les deux jours d'inscription.
1. Je peux vous garantir je ne m'y laisserais pas reprendre. 25 sessions en deux jours, c'�tait juste... �puisant.
2. Au total, j'ai vu moins d'�tudiants que l'an dernier. Les s�ances d'amphi, o� j'�tais certes coinc�e entre le discours du directeur et celui du responsable qualit�, �a avait l'air plus officiel et du coup plus de gens y avaient assist�. Au contraire, les "library inductions", �a devait faire plus optionnel... [Et je m�arr�te l�, sinon, je vais r�ler pendant une demi-heure sur le manque de consid�ration que les �tudiants tendent � porter � la biblioth�que...]
3. MAIS, mais, tout de m�me, l'avantage c'est que j'ai pu voir pleins de petits groupes, qu'on a pu voir les choses en profondeur et que ceux qui sont venus ont d�finitivement retenu plus de choses que lors d'une banale pr�sentation en amphi (m�me avec Bingo inclus).
C'est pour cette raison que j'essaie de m'ins�rer dans chaque cours et de proposer une s�ance d'introduction a la biblioth�que, m�me si le prof n'est pas forc�ment chaud pour que j'en fasse plus.
Cette ann�e, j'ai explos� mon record et j'ai pu voir une dizaine de classes pour ce type d'introduction. (Mais bon, il en reste plusieurs dizaines que je n'ai pas atteintes... enfin pas encore !)
Sinon, pour continuer dans les nouvelles, apr�s presque deux ans sur un contrat a 80%, je viens enfin de passer a temps plein !
Les n�gociations ont �t� rudes (il y a eu beaucoup de coupes budg�taires ces temps-ci) mais vu le nombre de cours que j'ai de r�serv�s rien que pour ce semestre, �a devenait juste impossible � faire en trente heures par semaine.
Du coup, je suis ravie ravie ravie. Et aussi fatigu�e fatigu�e fatigu�e. Et bien sur au bout de deux semaines de temps plein, j'ai attrap� un rhume. Mais �a fait plaisir de pouvoir s'y mettre � fond !
Du c�t� de mes activit�s en ligne, j'ai aussi repris en septembre la mise en ligne r�guli�re d'articles sur mon site How To Do a Literature Review. Et j'ai commenc� � interviewer des �tudiants et des chercheurs sur leur pratique de Literature Review, ce qui s�av�re absolument passionnant !
Oh, et puis, juste en passant, j'ai moi-m�me �t� interview�e sur le sujet pour un article qui est paru dans Times Higher Education !
Bref, voila pour les nouvelles.
Promis, j'essaie de mettre en ligne un nouvel article de fond tr�s bient�t. Je vais vous d�crire le jeu que j'ai utilis� cette ann�e pour mes inductions... Et j'en ai encore tout plein en r�serve � vous faire d�couvrir !
La complexit� croissante de l'environnement juridique
Suite au billet de la semaine derni�re dans lequel je vous pr�sentais mes notes concernant une conf�rence intitul�e "Quand le biblioth�caire pers�cute l'usager", voici ce que j'ai retenu d'une autre table ronde de l'ABF 2015.
Cette fois-ci, le th�me �tait "La complexit� croissante de l'environnement juridique".
La table ronde �tait mod�r�e par V�ronique Mesguich, pr�sidente de l�ADBS.
Et dans les rangs des intervenants, nous avions :
- Lionel Maurel, juriste et biblioth�caire, BDCI Nanterre.
- Mathilde Vergnaud, responsable du projet Biblioth�que num�rique de r�f�rence et de l�informatique, biblioth�que municipale de Lille.
- Arnaud V�lasquez, propri�taire de la librairie Quai des Brumes � Strasbourg.
Voici, d'apr�s mes souvenirs, ce qu'il s'est dit. Dans les grandes lignes.
Introduction de V�ronique Mesguich : La biblioth�que organise des usages collectifs de la culture.
Il y a une inadaptation des sp�cificit�s du droit d�auteur aux missions des biblioth�ques. La complexification juridique est-elle li�e au passage au num�rique et � Internet ?
Lionel Maurel : Il y a des lacunes dans la loi. Par exemple, le pr�t de CDs ne fait pas l'objet d'une r�gulation, mais il est n�anmoins entr� dans les m�urs.
Le livre num�rique fait lui aussi l'objet d'une lacune, mais la perception du num�rique ne permet plus d'en faire le pr�t aussi simplement que pour les CDs. Les distributeurs per�oivent une concurrence, ce qui les conduit � interdire ce type d�usages.
Arnaud V�lasquez : Les lecteurs tendent � revenir vers le lieu physique de la librairie, car ils consid�rent que c'est plus �thique que de commander sur Amazon. Ils cherchent un titre en ligne mais viennent l'acheter en librairie.
Certains demandent � avoir la possibilit� d'acheter en ligne, via le libraire.
Mathilde Vergnaud : Le passage au num�rique comporte un risque : celui de la protection des donn�es personnelles via les SIGB full Web� Il faut �valuer l�ampleur du risque : il est plus grand avec des personnes physiques.
Lionel Maurel : Certes, il existe des risques, mais les proc�s sont rares. Il y a peu de sanctions, surtout des rappels � l�ordre de la CNIL.
L'un des probl�mes de la num�risation, c'est de pouvoir identifier les auteurs et leur date de mort afin de pouvoir d�finir si leur �uvre est dans le domaine public.
Il faut alors se poser la question : jusqu�o� va-t-on dans l�application du droit ? Pour certaines collections du d�but du XX�me si�cle, avoir � v�rifier chaque �uvre individuellement pourrait rendre le projet impossible !
De plus, si l'on d�cide de prendre le risque, alors il faut faire attention � ne pas reporter ce risque sur des tiers. Lors d'un partenariat, pourra-t-on autoriser l'utilisation de ces contenus num�ris�s ?
La menace a un effet paralysant.
Arnaud V�lasquez : En tant que libraire, le seul probl�me de droit d'auteur fr�quemment rencontr�, c'est l'utilisation de photos d�auteurs pour faire la publicit� d'un �v�nement.
Sinon, les �diteurs s�occupent du juridique, pas les libraires.
Lionel Maurel : Il y a un risque strat�gique pour l�ensemble de la profession. Il faudrait ne pas traiter les probl�mes de droit au cas par cas, au sein d'un �tablissement, mais r�agir ensemble pour modifier la l�gislation.
Par exemple, pour le pr�t de livres num�riques, les accords au cas par cas vont comporter des variations des prix, d�pendre du nombre de pr�ts, etc.
Il faut d�fendre ensemble les usages collectifs afin qu'ils ne se retrouvent pas dissous dans un mod�le qui ne fera plus ressortir leurs sp�cificit�s.
Mathilde Vergnaud : Il faudrait que chacun comprenne mieux les bases du droit afin de savoir comment r�agir.
Dans chaque �quipe, on pourrait par exemple envisager d'avoir un agent qui fasse de la veille sur l��volution du droit.
Il faut aussi pouvoir faire appel � un professionnel pour les cas particuliers.
Lionel Maurel : Peut-�tre pourrait-on imaginer plus de formation continue ? Possiblement via un MOOC ?
Quand le biblioth�caire pers�cute l�usager
Lors du congr�s de l'ABF 2015, en plus de pr�senter mon poster, j'ai pu assister � quelques conf�rences int�ressantes.
Voici les notes que j'ai prises au cours d'une s�ance fort amusante intitul�e "Quand le biblioth�caire pers�cute l'usager : interdits et usages ill�gitimes".
Cette table ronde s'est d�roul�e en trois temps, avec trois interventions autour du th�me central.
La session �tait mod�r�e par C�line Vidal, pr�sidente du groupe ABF Languedoc-Roussillon.
Comment d�go�ter un lecteur assidu ? - Marielle de Miribel
Marielle de Miribel est conservatrice en chef, charg�e de mission qualit� au bureau des biblioth�ques de la ville de Paris.
- Avoir des locaux miteux, en particulier des toilettes sales ou ferm�es.
- Un lieu anonyme qui conduit � ne pas se sentir chez soi. Avoir des portes lourdes, peu ou une mauvaise signal�tique.
- La mine rev�che : il faut sourire� � bon escient !
- Abuser les lecteurs timides : le biblioth�caire se conduit en prescripteur (il sait mieux que vous !), il est l� pour faire du �sauvetage� (il faut � tout prix les faire lire� �Si tu prends une BD, il faut aussi que tu prennes un �vrai� livre.�).
- Un vrai capharna�m : pas de d�sherbage, des piles de livres partout, et, au final, une sensation d��touffement.
- Des r�ponses �vasives : du personnel incomp�tent � l�accueil, aucun document papier � donner au lecteur pour l�aider � s�orienter.
- D�pr�cier le lecteur : certains coll�gues n�h�sitent pas � humilier les lecteurs publiquement.
- Le biblioth�caire inquisiteur : des sanctions trop fortes, injustes.
- D�cider � la place du lecteur.
- Ignorer les lecteurs, c�est tout un art :
> Indiff�rence : faire comme si on �tait seul, pas de contact visuel, faire attendre.
> Impatience : faire comprendre au lecteur qu�on a autre chose de plus important � faire ; s�en aller quand un lecteur arrive.
> Suspicion : passer derri�re les lecteurs pour v�rifier ce qu�ils font...
> M�pris : c�est au lecteur de s�adapter et de se soumettre. Le biblioth�caire ne se d�place pas.
� jonathan.grnx (@jonathangrnx) 13 Juin 2015
**********
� quoi sert le r�glement ? - Anne-Christine Collet
Anne-Christine Collet travaille au SCD de l'Universit� Lyon 1.
Le r�glement cadre l�offre collective qui est sens�e r�pondre aux besoins de tous.
Il est porteur d�une norme sociale, c�est un contrat social : le r�glement ne contraint pas seulement, il lib�re aussi.
Tr�s vite, on trouve dans les r�glements de biblioth�ques des mentions d�exclusion.
Lors de la r�daction, il faut faire attention au vocabulaire. Par exemple, �le pr�t est consenti� donne l�impression que l�on fait une faveur au lecteur.
Souvent, l�inscription est soumise � l�apport d�une pi�ce d�identit�, d�un justificatif de domicile, etc.
Pourrait-on s�appuyer sur les remarques des usagers pour adapter le r�glement ?
On pourrait aussi accompagner le r�glement d�une charte d�accueil.
Intervention de la salle :
La biblioth�que de Dunkerque est gratuite et les inscriptions se font sans documentation. Cela a permis d�augmenter le nombre d�usagers, en particulier chez les migrants, pr�caires.
**********
�Fais pas ci, fais pas �a : les interdits en biblioth�que� - Anne Verneuil / Ad�le Spieser
Pr�sentation par Anne Verneuil (pr�sidente de l'ABF) du m�moire d'�tude d'Ad�le Spieser (directrice adjointe de la m�diath�que Marguerite Duras, Ville de Paris). Pour lire ce m�moire dans son int�gralit�, c'est par ici.
Il y a une sacralisation du lieu, du livre.
Les interdits proviennent d�une crainte pour l�ordre public. Les comportements interdits d�pendent du secteur de la biblioth�que :
- En biblioth�que patrimoniale, les interdits portent sur les documents.
- En BU, ils cherchent � favoriser le travail.
La biblioth�que �tant un espace public, les interdits soulignent que �on n�est pas chez soi�.
N�anmoins, on observe que le libre acc�s est en augmentation, qu�il y a une automatisation des pr�ts, que l�anonymat devient possible.
La biblioth�que est un lieu l�gitime. Par exemple c�est souvent un lieu que les adolescents peuvent fr�quenter seuls.
On observe souvent des signal�tiques autoritaires, des logos en forme de sens interdit.
Les ambig�it�s peuvent conduire � des conflits.
Certaines biblioth�ques utilisent des m�thodes de surveillance : vid�o, vigiles� Mais la m�diation est � privil�gier !
On utilise aussi des syst�mes antivol, des syst�mes de contr�le des PC pour �viter les t�l�chargements, etc.
Lorsqu�il y a transgression, c�est que le lecteur ne sait pas, qu�il oublie, ou parfois qu�il y a opposition.
Pour harmoniser les interventions, il est bon d�avoir une charte d�accueil destin�e aux personnels. Peut-�tre faudrait-il interdire moins pour accueillir mieux ?
Il peut y avoir diff�rents espaces pour diff�rentes pratiques
Anne Verneuil sugg�re d�appeler le lecteur �client� afin de souligner qu�il a le choix parmi diff�rentes offres.
Dans sa biblioth�que, le r�glement est strict afin de pouvoir se prot�ger en cas de probl�mes. Mais les biblioth�caires se montrent volontairement tol�rants au jour le jour.
Lorsqu'on interdit, il faut dire, expliquer pourquoi et remercier le lecteur !
Il est bon de pouvoir recruter des non-biblioth�caires : leur regard ext�rieur peut permettre de ne pas faire les choses juste parce qu�on a toujours fait comme �a�
Dans l�imaginaire collectif, il existe des r�gles sp�cifiques qui s'appliquent au biblioth�ques. Les lecteurs peuvent se sentir coupables ou tout du moins conscient de leur transgression. Pourtant, ces r�gles n'existent pas forc�ment dans le r�glement de la biblioth�que qu'ils fr�quentent !
**********
[EDIT] Je viens de m'apercevoir qu'il y avait eu une captation vid�o de la conf�rence. Vous pouvez donc la regarder ici, comme si vous y �tiez !
Et voici la pr�sentation de la premi�re intervenante.
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