Cover Reveal: My Big Fat Zombie Goldfish by Mo O'Hara


In 2008 I met Mo O’Hara, the funniest person I know – even funnier than me, if you can imagine that! But, I was soon to discover that Mo wasn’t just funny. She was American too. And a bit macabre. She told me this story about her and her brother bringing their goldfish back to life using a battery. I was all “yeah, right” but no, she swore it was true. On the back of this story, she subsequently wrote a book to shut me up. That book is MY BIG FAT ZOMBIE GOLDFISH and today, my friends, on Halloween, I’m supremely proud to be hosting the cover reveal of this fantastic book:





When Tom’s big brother dunks Frankie the goldfish into radioactive gunge, Tom zaps the fish with a battery to bring him back to life! But there’s something weird about the new Frankie – he’s now a Big Fat Zombie Goldfish with hypnotic powers . . . and he’s out for revenge.
(Macmillan Kids UK 28th February 2013 - you can pre-order it!)

I’ve read MY BIG FAT ZOMBIE GOLDFISH – it is charming, super funny and completely off the wall. It would suit younger readers and adventurous older readers who like wicked humour and mad science shenanigans and annoying older/younger siblings.

And because I have magical powers of my own (our little secret) we have TWO signed samplers to give away – the sampler is the first five chapters of this great new story and just so you know: there are TWO stories contained within MY BIG FAT ZOMBIE GOLDFISH. Pop a comment on the blog for a chance to win a signed copy or, if you are inclined to attempt the twitter odds, tell @Mo_OHara and @LizUK you’re keen to win a copy of the sampler and use #zombiegoldfish so we can find you. Both the blog comment entry and the twitter competition is UK only, I’m afraid. We will run the competition for all of Halloween in the UK, so get commenting and tweeting!
Durant les travaux des rues Jaillant-Deschaînets et du Général de Gaulle, la librairie reste ouverte.


Nous restons à votre disposition.


Les parkings à proximité restent également disponibles.

Le plus beau des anges (J.Tey)


Quatrième de couverture :
A Salcott-St-Mary vit une colonie d’artistes et d’écrivains qui se jalousent et se déchirent avec le sourire. Lorsqu’un séduisant jeune américain vient y vivre, il suscite aussitôt haines et passions. Mais qui est-il ? Un homme ou… le plus beau des anges, c’est-à-dire Lucifer ?

Joséphine Tey (1897-1952) a, selon une de ses collègues « ramené le crime dans ces jardins de vicaire d’où Hammett l’avait extirpé ». Elle reste une des reines anglaises du mystère.

Impressions de lecture :
un livre pour le challenge d'antoni
Il s'agit d'un livre policier de facture classique, dont l'intrigue se déroule en Cornouailles dans un village tout ce qu'il y a de plus britannique, ce qui permet quelques ragots et autres petites remarques sur la société artistique ( et déjà  "bobo" ? ) de l'époque et sur la vie en province.
L'écriture est fluide, élégante, un brin surannée mais dans le bon sens du terme, et l'on suit avec un plaisir tranquille cette histoire de disparition. L'enquête est menée par le séduisant et cultivé inspecteur Grant, de Scotland Yard, héros de 6 aventures (dont celle-ci est la quatrième).

Pour qui aime patricia Wentworth (mine de rien) et/ou Dexter Gordon (celui de Mort d'une garce), voire Agatha Christie, ce livre est une bonne surprise d'autant que le dénouement est réellement inattendu ! (j'ai discuté avec d'autres lectrices, on a toutes eu tout faux pour la fin !)

D'ailleurs, attention, la quatrième de couverture en dit un peu trop selon comment on voit les choses...

allez, place aux potins !
Pourquoi ai-je lu ce livre ?
Car j'avais beaucoup aimé la fille du temps, du même auteur, livre policier prenant comme point de départ la pièce de Richard III, de Shakespeare (qui en prend pour son grade !).
Richard III réhabilité ? ça ne vous dit rien ? non ?
Et si je vous dit d'une belle voix grave (soupir...)  "You don't need Henry to explain..." toujours pas ? 
Et oui, Armitage ! Il  réapparait, il rêve de mettre en scène une série pour révisiter le règne de Richard III...

Bref, un opus agréable, qui se lit vite, et une série policière que je suis avec intérêt (euh...dans le désordre !), il ne me manque plus que le dernier !
à très bientôt donc, pour vous parler de la fille du temps, le meilleur parait-il, et c'est vrai qu'il est passionnant !

Sur l'auteur, très discrète sur sa vie (1896 - 1952)
Josephine Tey, de son vrai nom Elizabeth Mackintosh, née en Ecosse et morte à Londres, était professeur d'éducation physique mais elle dut interrompre sa carrière pour s'occuper de son père invalide. Elle décide alors de se lancer dans l'écriture :

La série Grant :
* Premier de ses romans : le monogramme de perles publié sous le pseudonyme de G.Daviot qu'elle gardera pour ses romans non policiers.
Ce roman inaugure donc la série de l'inspecteur Grant.

* Le second de la série, le maillot vert, a inspiré un film à Hitchcock en 1937, "Jeune et innocent".
* Le cinquième est donc la fille du temps, le plus connu et passant pour le plus réussi.

Les autres romans :
Dans Le grand départ de miss Pym, roman distinct de la série Grant, elle utilise des éléments autobiographiques de sa vie en tant qu' étudiante et professeur. 
Autre roman distinct des la série Grant : En trompe l'oeil 

L'auteure n'a jamais donné d'interviews ce qui donne peu d'infos sur sa vie.




Hommage à la Norvège


Hommage à Anne B. Ragde

Non non, elle n’est pas morte cette dame, au contraire, et j’espère qu’elle va continuer à sortir plein de livres de sa froide Norvège, plus passionnants les uns que les autres.


Pour commencer dans le froid, je vous parlerai de Zona Frigida, premier roman que j’ai lu de cette auteur. Ça a été un coup de cœur. Je sais quand un livre va me plaire vraiment beaucoup parce que je le lis vraiment très vite, par rapport à d’autres livres en tout cas. Celui-là, il était difficile de me l’enlever des mains, donc bon… Au premier abord, l’histoire peut paraître étrange : c’est celle d’une jeune femme un peu pommée, un peu à les Despentes, qui part en croisière dans un lieu atypique : dans l’Océan Glacial Arctique. Elle prend place à bord d’une espèce de chalutier aménagé, accompagnée d’une douzaine de personnes, équipage inclus, et traverse les glaces. Glaces des mers, mais aussi des hommes. Elle rencontre des ours, des phoques, des fous et des nounours. Bon dit comme ça ça ne donne peut-être pas vraiment envie… Mais il y a quelque chose dans la manière de raconter, d’écrire, dans le rythme de l’histoire qui fait qu’on est pris dedans, un peu comme un bateau dans les glaces, sauf qu’on y est bien, dans la mer d’Anne B. Ragde (pourquoi ce B. d’ailleurs, qui rend son nom limite imprononçable, une sorte d’éternuement, je ne saurais pas vous dire. Et je n’ai pas envie de chercher parce que finalement, les atchoums, ça fait son charme). D’autant plus qu’il y a tout de même des intrigues assez prenantes, qui laissent les pages se tourner plus vite qu’on ne croirait. Une très bonne surprise !

Suite à ce grand plaisir de lecture, je me suis attaquée, quelques semaines plus tard, à sa trilogie. Un peu impressionnant de s’attaquer à une trilogie, même si chacun des livre ne dépasse pas les 400 pages. M’enfin tout de même…
Me voilà donc plongé dans l’univers de la morgue… j’ai été très déstabilisée… Mais on se rend compte, en continuant de tourner les pages, que ce ne sera pas uniquement cela, le roman. En fait, la morgue, c’est l’univers du premier des frères de l’histoire. Ils sont trois, et l’un est croque-mort. L’autre est décorateur de vitrines homosexuel jovial et raffiné, et le troisième est éleveur de porcs. Un sacré tableau ! Ces trois là ne se voient autant dire jamais, chacun à ses occupations. Mais parfois la vie nous rattrape, dans leur cas c’est même plutôt la mort, et ils se retrouvent au chevet de leur mère. Lorsque celle-ci vient à mourir, un certain nombre de secrets sont révélés, dont l’existence de Torrun, la fille de Tor. Je ne vous en dit pas plus, mis à part le titre du premier de la série : La terre des mensonges.
Enfin si, encore quelques mots, pour vous donner envie : les vies de tous ces personnages fort différents nous sont racontées, qu’elles soient parallèles ou entrecroisées, c’est fort ou léger, dur ou mignon ; tous les sentiments se croisent dans ce livre un peu chorale, mais assez peu ennuyant (exceptés quelques passages un peu longs, je le concède…).

La suite est formidable aussi : La ferme des Neshov ; c’est le nom de toute cette petite famille. Maintenant qu’ils se sont retrouvés, qu’ils sont liés par Torrun, cette jeune femme pleine de bonne volonté, les personnages vont se croiser, échafauder des projets, tenter de faire revivre cette ferme qui part à vau-l’eau, les porcs et ses occupants avec. Encore une fois, plein de sentiments, et une lecture qu’on a du mal à abandonner. C’est fort et frais à la fois, ça fait du bien en fin de journée.

Pour ce qui est du dernier,  je ne l’ai pas encore lu, mais on m’a dit qu’il n’avait pas la qualité des deux autres. A voir !

Les Heures souterraines


Les heures souterraines, Delphine de Vigan

Mathilde et Thibaut, chaque jour depuis bientôt un an, évoluent dans leur vie comme dans un souterrain. Ils se cognent au quotidien, aux aspérités de leurs relations, aux difficultés de trouver une issue à ce qui les détruit peu à peu. Ce sont deux destins croisés, dont on se demande à chaque page s’ils se croiseront pour de bon.

Mathilde est mère célibataire ; on apprend au cours du roman qu’elle est veuve. Elle élève seule ses trois fils, des amours de fils. Thibault est médecin urgentiste. Chaque jour il rencontre des dizaines de patients, plus ou moins souffrants, plus ou moins en détresse. Mais ce qui préoccupe le plus nos deux personnages, ce n’est pas ce quotidien difficile ; c’est plus et pire que cela. Mathilde souffre de son patron, qui après avoir fait d’elle son bras droit, la mutile, la détruit un peu plus chaque jour. Thibault, lui, va aussi se mutiler, en rompant avec sa petite amie.
Avec le portrait de Mathilde, en focalisation interne (comme celui de Thibault d’ailleurs), on voit se dessiner un portrait peu glorieux de l’entreprise, de ses souffrances, de ses coups bas. C’est finalement une lutte de tous les instants entre les forts et les faibles, les soumis et les dominants. Mais le plus dur, c’est que les rôles changent, caractères et caprices de chacun ayant une influence sur ce microcosme chaotique. Mathilde souffre chaque jour, et peut-être plus particulièrement en ce 20 mai, jour qui nous est conté, puisqu’elle sent que quelque chose va changer dans sa vie, mais que tout tarde à venir. Les espoirs se crèvent un à un comme des bulles de savon.

Pour tout vous dire, tout au long du roman, j’ai espéré que Mathilde rencontre Thibault. J’ai espéré, espéré, à chaque page je me disais « c’est pour bientôt », ils ont tout pour être ensemble, leur douleur et leur impuissance face au monde donne envie d’une rencontre, une rencontre qu’on pense salvatrice pour tous deux. J’ai tourné les pages, et oui ils se rencontrent… mais dans quelles circonstances, je ne le dirai pas. J’en ai déjà trop dévoilé.


La plage d'ostende (J.Harpman)


Et voici le deuxième billet de notre ronde Belgique-France -Bretagne 
dans laquelle je danse et tournoie avec Anne(la Belge) et Somaja (la Française). 
Après "le grand Coeur" de Rufin, envoyé par Somaja et que j'ai beaucoup aimé, voici donc "la plage d'Ostende" de Jacqueline Harpman, 
auteure belge que je ne connaissais pas du tout.

L'histoire :
"Dès que je le vis, je sus que Léopold Wiesbek m'appartiendrait. J'avais onze ans, il en avait vingt-cinq... je lus ma vie sur son visage et d'un instant à l'autre, je devins une femme à l'expérience millénaire."
Prise ainsi par une passion que rien n'éteindra, Émilienne devra des années attendre son heure. Talentueux, beau, aimé des femmes, Léopold fait un mariage d'argent pour pouvoir se consacrer à la peinture. La jeune fille va lentement tisser sa toile, ne reculant devant rien, sacrifiant au passage quelques existences. Des années plus tard, après la mort de son amant, Émilienne désespérée, mais sans remords, demeurera certaine que c'était le prix à payer pour vivre sa passion.

Impressions de lecture :
C'est donc l'histoire, très bien racontée, d'une femme qui ne recule devant rien pour vivre son amour. Quitte à blesser et faire du mal autour d'elle. 
C'est d'ailleurs bien résumé dans la citation suivante :

"Il fallait être aimée par un homme qui ne me verrait pas avant des années et pour cela empêcher qu'il fût aveuglé par d'autres femmes ? Comment détourner son regard d'elles si je ne pouvais pas le diriger vers moi ?"(page 31) 

J'avoue avoir eu quelques difficultés à entrer dans l'histoire, cette "chronique d'un amour  annoncé" , qui plus est à la première personne, m'exaspéra dès le départ, et je trouvai le rythme lent...
Et puis...L'écriture m'a happée. Pourtant, on ne peut pas dire qu'elle soit très moderne, mais qu'elle est belle !
Jacqueline Harpman sait admirablement décrire les sentiments, le gris des âmes, le courage et la lâcheté, la raison et les faux-semblants. Et l'amour-passion, celui qui fait fi des autres.
On ne s'attache d'ailleurs pas à Emilienne, cette petite fille tombée amoureuse  à onze ans et qui devient cette femme froide, très belle mais cynique.  
Pourtant l'écriture de l'auteure fait ressortir son intelligence, sa soif de vivre, on perçoit sa beauté, on rit de son humour pourtant glacial et sans concession. Et son amour fou, cet amour d'enfant devenu celui d'une adulte déterminée,  finit par nous faire vibrer. 
" Cent fois, j' avais mis dans sa main tendue le tube de couleur qu'il cherchait : le moment était venu où c'est sur moi qu'il refermerait la main. Une exaltation sauvage m'envahit, j'eus une sorte de suffocation et fus sur le point de perdre connaissance. L'enfant mourut en moi."

Les personnages secondaires, dont Léopold, l'être aimé et amoureux, sont très bien campés, réalistes, tous manipulés par cette héroïne calculatrice. 
A propos de Blandine, la femme de Léopold...
"Sans moi,  elle serait restée une femme dont on ne parle pas (...) j'ai introduit la violence dans sa vie, j'ai fait d'elle une héroïne malheureuse : dans le train du retour, elle n'était encore qu'une promise et croyait que c'était à l'époux, alors que c'était au drame."

"Nous ne sommes pas maîtres de notre histoire : moi, j'ai décidé et elle a subi."

Et il y a tant de beaux passages, de petites citations poignantes et/ou troublantes, qu'on se prend à sourire malgré la froideur du personnage central.
" Elle avait son génie, il aurait éternellement des tubes de peinture à l'huile et des pinceaux  dans les mains. Moi, j'avais mon amant. 
Blandine avait la grippe."

La qualité de ce roman, tient, comme vous l'avez compris, essentiellement à cette écriture de l'auteure belge (l'histoire aurait pu tenir en deux fois moins de pages à mon goût !) qui manie l'analyse de l'être humain avec brio, Jacqueline Harpman est d'ailleurs psychanalyste. Elle nous entraine dans une histoire aux sentiments et passions exacerbés d'une plume fluide. 
Le contexte de l'époque, où les faux-semblants et l'apparence comptent beaucoup, où la liberté des femmes passent encore par le mariage, est très bien évoqué. On est en Belgique, on se croirait en France.

En bref, un bien beau roman qui donne envie de découvrir l'auteure, et je remercie Anne pour ce beau choix. Je file relire le billet de Somaja que j'avais survolé pour ne pas être influéncée !

Vous pouvez lire les billets de Somaja : 
Cézembre noire (livre breton envoyé par moi !)

Et les billets d'Anne sur :

la plage d'Ostende

Extra Credit: 5 Tips for Writing GREAT Deleted Scenes

So, have you heard? I have a new book out! It’s called Detention of the Living Dead and it’s my third full-length YA paranormal novel for Decadent Publishing/Bono Books. (Those guys rock, by the way!) Detention of the Living Dead is about four kids sitting in detention when a zombie walks in, bites and turns them all; boom, it’s Breakfast Club meets Zombieland!

But this isn’t about that. Well, it is and it isn’t. The thing is, for some reason this time around nearly everyone I did a guest post for to announce the book chose a “deleted scene.” It was weird. I’d done a couple before, and they’re always fun, but this was intense. I think, at last count, I wrote nearly a dozen deleted scenes from Detention of the Living Dead.

It seemed like a daunting task at first, writing all that extra content, but once I got into it, it was really, really fun. And it was kind of a welcome change from the usual guest posts I do about writing YA or zombies or zombie YA. It was basically like writing a short story for each blog, but tied around the same central plot line.

So when you’re looking to do something unique and original for a guest post, why not try a deleted scene from your new release? If you’re thinking about doing so, here are five simple tips to follow:


1.)  Stick to the fringes:With this batch of “deleted scenes,” I got to explore a lot of stuff I would never even have considered putting in the book. The reason for that, I guess, is I didn’t want to be too spoiler-y and write a ton about the main characters, so I wound up writing things about other folks who didn’t quite make the cut the first time around: the principal, other students, a cafeteria lady, etc. And the one time I did write about the main character, Max, I wrote a kind of “prequel” scene where she shares a tender moment with her father before she heads off to school… for the very last time. So stick to the fringes. Write about minor characters, or folks not even mentioned in the book, to help bring some perspective, chills, thrills or even laughs the reader might not be expecting.

2.)  Make it worth their time:There’s nothing worse than writing, or reading, a deleted scene that adds nothing to the readers’ understanding of the book. While I used a lot of peripheral characters for this batch of deleted scenes, I tried to make them all interesting and have the action going on in the background so, if you had read the book, it would be kind of like an inside joke. And yet, if you hadn’t read the book, or never intended to, the scenes would still be fun and worth your while. For instance, I wrote a scene from the perspective of the school’s principal, and how he was the first one to get attacked. I wrote a scene about a student who skipped school to go see a new zombie movie, and so survived the outbreak by simply… not being there. I wrote a story about a cafeteria worker who survived by sharpening a cookie sheet and using it like a machete!

3.)  Use the blogger as a character:A lot of the bloggers I wrote for are, by now, online “friends” I felt comfortable including as an actual character in the story. Take Ashley, of the Bookish Brunette blog, for instance. She has this awesome alter ego, “The Zombie Queen,” who I’ve dropped into several deleted scenes by now, so it was really fun to include her this time around as well. Even if the blogger you’re guest posting for doesn’t have an alter ego like this, merely using their name in the story can help personalize the scene for them, and their readers. Everyone likes to see their name in print, even if they wind up a zombie -- or in a zombie!

4.)  Keep them wanting more:While my deleted scenes did have a beginning, middle and an end just like a regular story, they weren’t really “stories”. You want anyone who reads your deleted scenes to want more; to enjoy the scene so much they want to actually read the book the scene never made it into. So even if the “story” you write seems complete, always keep them wanting just a little more!

5.)  Don’t phone it in:It’s easy when you’re having to do a dozen or more guest posts to be tempted to “wing it” and just send in any old thing, but remember that the blogger is doing you a favor by hosting you for this post and their readers will be expecting something worthy of their time (see above) as well. So, give it your best. I really tried to write great deleted scenes for each blogger, long enough to tell a complete story arc, even if it was for a VERY minor character, but short enough to read like a regular post. I wanted both the blogger and the reader to feel like they’d gotten something valuable for their time, a complete little “story/scene” that could make them smile, frown, sad, scared, funny or all of the above. Just like you wouldn’t phone in a post to your own blog, never phone in a guest post!

 
So, I hope these five simple tips help. I had a lot of fun with these deleted scenes and, if you choose to go this route, I think you -- and your readers -- will, too! I’d love to hear your thoughts on deleted scenes; you know where to put them -- the comment boxes are always open!

Yours in YA,

Rusty

Wishlist

WISHLIST POUR LE SWAP DE NOEL


Lettres du Père Noël de J.R.R. Tolkien
Beignets de tomates vertes de Fanny Flagg
Le spectacle de noel de Anne Perry
Chez les heureux du monde de Anne Perry
Lestat le vampire de Anne Rice
L'étrangleur de Cater Street de Anne Perry
La vierge en bleu de Tracy Chevalier
Une lueur de paradis de John O' Hara
Le tribunal des ames de Donato Carrisi
Le journal d'Adèle de Paule Du Bouchet
Le manoir, tome 1 : Liam et la carte d'éternité de Evelyne Brisou-Pellen
Vampire Academy, tome 2 : Morsure de glace de Richelle Mead
Le monde de Charlie de Stephen Chbosky
Dernier été à Maifray de Théresa Revay

Wishlist en V.O

Barronfever de Karen Marie Moning
The True Memoirs of Little K de Adrienne Sharp
Fever de Mary Beth Keane
Becoming Clementine de Jennifer Niven

WISHLIST POUR LE SWAP DR WHO


Doctor Who: The Feast of the Drowned de Stephen Cole
Doctor Who: The Stone Rose de Jacqueline Rayner
Doctor Who: The Resurrection Casket de Justin Richards
Doctor Who: The Last Dodo de Jacqueline Rayner
Doctor Who: Wooden Heart de Martin Day
Doctor Who: Forever Autumn de Mark Morris
Doctor Who: The Krillitane Storm de Christopher Cooper
Doctor Who: The Doctor Trap de Simon Messingham
Doctor Who: The Doctor - His Lives and Times de James Goss
Doctor Who: Essential Guide to 50 Years of Doctor Who de various
Doctor who tome2, les oubliés de Tony Lee
Doctor Who The Writer's Tale: The Final Chapter de Russell T. Davies
Doctor Who Storybook 2009 de various

Pour l'option Tardis

Les visages de Jesse Kellerman
Le poète de Michael Connelly
La Maison de soie de Anthony Horowitz
La Mort n'est pas un jeu d'enfant de Alan Bradley
Pénélope Green, tome 1 : La Chanson des Enfants Perdus de Béatrice Bottet
Le signe de Raymond Khoury
Les Rivières Pourpres de Jean-Christophe Grangé

Pour l'option ennemis

Le Lit d'Aliénor de Mireille Calmel
Automne Allemand de Stig Dagerman
Du domaine des murmures de Carole Martinez
L'inconnu de la Bastille de Annie Jay & Micheline Jeanjean
Le Garçon en pyjama rayé de John Boyne
Le Testament d'Olympe de Chantal Thomas

WISHLIST


Je noterai au fur et à mesure les romans que j'aimerais avoir... pour le moment, je cogite.

Faux pas de Maria Adolfsson (Doggerland 1)

Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...