212 pages chez Fleuve Noir, 1997.
Aux premières pages de ce bouquin, j'ai tremblé : ayez du Planet Opera super Hard SF. Et bien non pas du tout. Un bon livre dans le style avec un bon scénario bien ficelé et des psychologies de personnages bien travaillées. De la technologie d'une part, de l'organique de l'autre, un pont entre les deux. Deux Robinsons que tout sépare, l'un planétaire et dogmatique, l'autre aérien et augmenté vont devoir survivre avec l'aide de créature bionique sapiente sur une planète saccagée. Les genres s'opposent à plusieurs niveaux : des humains primitivistes aux demi-dieux modeleurs de monde que sont les Yuweh, plusieurs facettes de la diversité culturelle des hommes et de leurs capacités d'adaptation sont exploitées par l'auteur mais aussi en filigrane le thème ô combien philosophique de l'existence de la conscience chez des êtres artificiels, sur arrière-plan de complot à la dimension de l'univers.
Et en prime l'écriture est très fluide.
Voilà qui clôt ma participation à livra'deux pour pal'addict, une agréable façon de se tenir à la réduction de sa pal.
In My Mailbox
In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.
Il a été repris par Lilie en France. Puis par Lire ou mourir, où sont maintenant regroupés tous les participants.
Emprunt Bibliothéque:
Je suis très contente parce que j'ai eu trois réservations qui sont arrivées quasiment en même temps. C'était forcément des livres que j'ai très envie de lire et je suis soulagé de voir que ce ne sont pas forcément des pavé, le trône de fer est assez conséquent à lire et j'aurais besoin de quelque chose de léger après.
La suite de deux saga que j'adore, en ce qui concerne succubus j'approche dangereusement de la fin et j'ai le dernier tome à la maison. Le premiers tome du dernier jardin :éphémère a été un gros coup de cœur, c'est une des seule dystopie en comptant hunger games que j'ai aimé. La chronique du tome 1 ici.
Je voulais absolument le lire depuis que j'ai vue le film, que j'ai trouvé touchant, qu'il abordait des sujets important tout en contrebalancent le tout avec une touche d'humour et de légèreté là ou il le fallait.
Achat:
Pour continuer dans mon délire romance,un seul petit livre, qui je l'espère sauras me plaire.
La griffe et le sang de François Larzem
Titre: La griffe et le sang
Auteur: François Larzem
Édition: Le Pré aux Clercs (Pandore)
Nombre de page: 307 pages
Prix: 15,20
Commandez: La griffe et le sang

Mina, jeune Tsigane au caractère trempé, trouve refuge avec sa mère dans une vallée des Carpates. Très vite, elles sont en proie aux tourments des villageois. Ils les obligent à porter un manteau à capuchon rouge, la marque d’infamie. Mais arrive un mercenaire vêtu de noir, à la beauté du loup qui décide de les protéger. Mina pense avoir trouvé la paix quand ses cauchemars commencent. Un chevalier à l’armure écarlate vient la visiter en songe : Vlad, jadis seigneur du pays, dont la réputation de cruauté le désignait comme Dracul, le fils du démon. Un lien les unit…
Je n'avais même pas lue le résumé que j'avais déjà envie de lire ce livre tous simplement parce que je trouve la couverture sublime, le titre est assez intriguant est surtout j'avais envie de découvrir la collection Pandore qui fait beaucoup parler d'elle.
Dans ce livre on suit Mina jeune Tsigane issue d'un peuple mal vue par les autres, son père est décédé de manière assez traumatisante du moins de mon point de vue. Peu à près sa mère décide de partir pour la Transylvanie puisque c'est un lieu ou son mari à toujours voulut se rendre. Il disait toujours que ce serait un lieu paisible ou ils vivrait heureux. Mais le monde des hommes est violent et elles n'y réchappent pas, partout elles sont haïs et rejeté et c'est pour cela qu'une habitante assez importante au sein du village les obligent à porter une cape rouge pour que l'on sache toujours qui elles sont et ou elles sont.
Sans oublier les meurtres particulièrement horrible qui débute peu après leur arrivée et même là on ne manque pas de les accusées et un personnage que Mina va détester au premier abord, je parle de Iancu, n'hésite pas à les aidée et à dire ce qui c'est réellement passée. Je dois avouer que je trouvais sa haine envers lui assez injuste et je continue à le penser, parce que même s'il s'est montré tout d'abord intéresser par la mère de Mina pour finalement se montrer immonde, pour moi il reste un homme normal qui certes cherché à avoir une relation un peu plus intime avec la mère de Mina, Liuda, même si parfois ces réactions semblaient forcer je ne pense pas que l'on puisse vraiment le détester.
En ce qui concerne Viorel, il m'a intrigué depuis le début, bon en même temps c'était le but, je me doutais de sa nature depuis ce moment-là, mais son histoire personnelle m'a véritablement surprise. Mina la très vite considérée comme son père, quelque part ça m'a un peu dérangée, je trouve qu'elle a peut-être trouvé une figure paternel, en même temps la figure de son père biologique si je puis dire, planait sans arrêt sur elle et sa mère et lorsqu'on connait un peu mieux l'histoire de Viorel il est peut- être normal que la jeune fille est sa mère ce soit aussi vite attachés à cet homme puisqu'il doit ressembler un petit peu au moins au père et à l'époux.
J'ai envie de dire que l'ensemble même si j'ai trouvé le livre bien j'ai eu du mal a "rentrés dedans" j'avais un peu l'impression de voir ça de loin, mais quelques scènes très difficiles m'ont entièrement happés, par exemple celle ou Liuda se fait "attaqués" par les trois frères cochons comme les appellent Mina. J'ai eu du mal pour elle et j'ai été heureuse du sort qu'ils leur a été réservée
Par contre, j'ai beaucoup apprécié les liens avec les contes de notre enfance, Mina avec sa cape rouge fait penser au petit chaperon rouge et la fin m'y a de nouveaux fait penser. Pour revenir aux trois frères cochons eux font penser aux trois petits cochons et leur maison respective nous ramène encore une fois au conte, mais la différence c'est que ce sont des personnages parfaitement écœurant que ce soit physiquement ou mentalement.
Je me posais beaucoup de questions sur Vlad Dracul, à savoir qu'elle serait le rapport entre lui et Mina, autant dire que là j'ai été bluffer puisque je m'attendais pas à ça, j'ai trouvé ces rêves et hallucinations intriguant et je me demandais avec elle si elle ne devenait pas folle.
Quant à la fin je n'ai pas spécialement pensée qu'elle amènerait forcément une suite.

Un livre que j'ai beaucoup apprécié même si j'avais l'impression de jeter un oeil extérieur sur cet univers, j'ai aimé les différend conte et mythe qu'il abordait et j'ai envie de dire que le sens du titre est évident, enfin de mon point de vue, une fois qu'on a lue le livre. Enfin, pour moi la principale qualité de ce livre c'est la dualité entre le bien et le mal qui règne en chaque personnage, pour reprendre l'exemple de Iancu qui est pour moi le plus flagrant, puisque la première aide qui l'a apporté au Tsigane était gratuite par la suite je ne dis pas, mais c'est le seul qui a élevé la voie en leur faveur.
Pour terminer je remercie le forum Livraddict et les éditions le Pré au clercs pour ce partenariat.
L'enfance d'Alan (E.Guibert)
![]() |
Grand prix de la critique ABCD*. Sélection officielle au festival de la BD d'Angoulême. |
Il était une fois un Américain, Alan Ingram Cope, venu s'installer en France et qui rencontra l'auteur, Emmanuel Guibert sur leur lieu de vacances...Une grande amitié naquit entre les deux hommes, que 40 ans séparaient, et ce livre est le récit de toutes les anecdotes racontées par Cope à Emmanuel Guibert.
Alan Ingram Cope est décédé en 1999.
Emmanuel Guibert avait raconté les tribulations d'Alan Ingram Cope, soldat en 14-18, dans La guerre d'Alan (2000 à 2008), dans un superbe roman graphique.
Impressions de lecture...

L'écriture évoque le langage oral et restitue donc parfaitement le contexte de ces anecdotes de l'enfance d'un autre, transmises comme un conte, oralement, entre deux amis...
Succession de petits riens de la vie quotidienne, de réflexions plus subtiles sur la famille, sur la Grande Dépression, la vie des Américains moyens dans une époque difficile et changeante. C'est très bien vu mais curieusement, pas aussi touchant que pourrait le laisser croire le sujet et le point de vue (celui d'un enfant). L'intérêt des anecdotes est très inégal car certaines, assez marquantes, sont empreintes de réflexion et de sensibilité tandis que d'autres sont racontées de manière très (trop?) linéaire . Mais....
Mais que le dessin est beau !
Le trait à l'encre de chine est soigné, superbe, noir et blanc ou sépia, en alternance avec des "vraies/fausses" photos réhaussées et/ou colorisées, et cela donne une véritable vie au récit. Emmanuel Guibert sait faire passer dans son dessin, sobre, minutieux, varié, très expressif, les émotions et les sentiments. Les silhouettes sont très bien observées et redonnent au récit son côté intimiste et touchant que l'écriture peinait à transmettre.
La rareté des bulles (l'écriture narrative étant partie intégrante de l'illustration) donne toute sa force au dessin.
C'est donc finalement un très beau livre, graphiquement d'abord, mais également par le choix du sujet, intéressant, et par l'émotion que véhiculent tous ces dessins et anecdotes d'une époque révolue. Un témoignage réussi qui devrait plaire aux amateurs de récits (auto)biographiques et qui m'a incitée à me plonger dans la guerre d'Alan. Billet à suivre...
note : 18/20
* Ce prix est attribué par une association de critiques et journalistes de BD et récompense des ouvrages "à forte exigence narrative et graphique".
Merci à Price Minister et aux éditions "L'Association"
qui m'ont offert ce livre
dans le cadre de "la BD fait son festival" initié par PM.
La Cité des Ténèbres, T3 : Le Miroir mortel de Cassandra Clare
La lutte entre le bien et le mal se poursuit. Valentin rassemble son armée pour éradiquer la lignée des Chasseurs d'Ombres. Clary se rend dans la Citée de Verre afin de sauver sa mère et découvrir son passé. S'introduire dans la Cité sans l'autorisation de l'Enclave n'est pas sans danger... Au cours de sa quête, Clary rencontre Sébastien, un garçon énigmatique. Avec lui, elle comprend que le seul moyen d'arrêter la fureur de Valentin est de former une alliance entre Chasseurs d'Ombres et Créatures Obscures. Comment conclure une telle union ? Clary saura-t-elle maîtriser ses nouveaux pouvoirs à temps pour cet ultime affrontement ?
Ce tome clôture en beauté la trilogie (même si je sais qu'un quatrième tome existe, je ne ressens pas le besoin de me jeter dessus). On a dans ce livre tous les renseignements que l'on attendait depuis le premier roman de la saga, et j'en ai été totalement satisfaite.
Dans ce troisième tome, nous retrouvons Clary, Simon et Jace dans un endroit qui m'intriguait depuis le début : La cité de Verre. Clary veut y trouver le remède qui guérira enfin sa mère. Au même moment, Valentin rassemble son armé... Pour conquérir la cité, ainsi que tous les chasseurs d'ombre !
J'avais un peu peur, après un second tome que je trouvais un peu en dessous du premier, la lecture de ce livre. Mais je n'ai maintenant absolument aucun regret ! Il fut fantastique, et j'y ai retrouvé l'engouement que j'avais ressenti lors de ma lecture du premier tome. Ce livre, c'est vraiment celui de toutes les révélations. Certaines étaient prévisibles, d'autres m'ont totalement surprises. Tout se met enfin en place dans mon petit esprit embrouillé, où les questions sur les origines de Jace et Clary tournaient et retournaient sans cesse dans ma tête. Et j'ai été conquise à 200%, tout y ai fait pour que se soit totalement possible et je me demande parfois comment je n'avais pas pu y penser plus tôt.
La seconde chose qui me vient a l'esprit en pensant à ce livre, c'est tout simplement : Explosif. Tout nous en met plein les yeux : les combats, la ville, les personnages.
Les combats d'abord. Ce tome est vraiment bourré d'actions, sans aucun temps mort. On ne s'ennuie jamais, et c'est ce qui en fait une lecture aussi addictive. C'est un tome plus sombre que les autres aussi. Mais c'est ce qui donne ce petit côté dangereux et palpitant qui m'a tant plu tout au long de ma lecture.
Et puis la ville, le cadre. On change enfin de New York. Ce n'est pas que je n'aimais pas, mais en comparaison avec La cité de verre, la grosse pomme fait pâle figure. C'est une ville totalement fictive, mais j'ai pu m'y plonger vraiment aisément. Elle paraît splendide, avec ses hautes tours de verre. Je rêverais de pouvoir m'y rendre un jour. Même si je regrette que l'auteur n'ait pas encore plus approfondi ses descriptions, car je suis sûre que cette ville nous recelait encore de belles surprises.
Et enfin, il y a les personnages. C’est pour moi depuis le début, le gros point fort de la saga. Il n’y a pas les gentils d’un côté, et les méchants de l’autre. Tous les personnages sont parfaitement maîtrisés par l'auteure, et on arrive à les prendre tous dans notre cœur. Clary est fidèle à elle même. Elle est forte et décidée, tout comme j'aime. Et puis il y a Jace. Oh mon Jace ! Il me fait craquer à un point inimaginable. Dans ce tome ci, il va enfin se dévoiler et découvrir qui il est vraiment. Cela le fera grandir et s'ouvrir. Et franchement, c'est beau à voir. Je pense sincèrement que c'est l'un de mes héros favoris !
Ce qui est toujours bien avec cette saga, c'est que tout ne tourne pas autour de Clary et Jace. Les autres personnages tels que Isabelle, Simon ou encore Alec et Magnus ont tous leurs petites histoires que l'on aime suivre.

Que vous dire de plus a part que ce tome est tout simplement parfait, incroyable, exceptionnel? C'est tout simplement une magnifique conclusion à cette saga que j'ai été heureuse de découvrir. Je suis maintenant extrêmement curieuse de voir ce que donne le film (même si je suis vraiment déçue du choix de l'acteur pour Jace). J'espère qu'il restera fidèle à l'esprit du livre !
Mais je vous en conjure, si vous n'avez toujours pas tenté cette saga, c'est un ordre : lisez-la !
Mais je vous en conjure, si vous n'avez toujours pas tenté cette saga, c'est un ordre : lisez-la !
Ma note : 9/10
Version spéciale 3 ans
Version en construction
Désolé pour le dérangement, mais je modifie au fur et à mesure ma version : cette fois ci, c'est Miss Austen qui est à l'honneur (je délaisse temporairement Fitzgerald - dur, dur ^^)
Bonne visite en tout cas ! N'hésitez pas à me laisser vos avis ;)
XOXO
Natacha (tachas)
De la bibliothèque de Benjamin Constant - Jean Gros : Les Secrets de l'Apocalypse de Saint Jean révélés, 1663.
Gros, Jean
Les Secrets de l'Apocalypse de Saint Jean, révélés en trois parties
Genève, Jacques Fontaine, 1663.
24 x 17 cm (R), in-4, (12) 1050 (62) 125 (3) pp. - 1 tableau synoptique dépliant hors texte, reliure du début du XIXe siècle de demi-veau jaspé à petits coins, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre.
Deuxième édition de ce livre publié une première fois anonymement en 1642 par le même éditeur sous le titre "Ouverture des secrets de l'Apocalypse". Exemplaire de la bibliothèque de Benjamin Constant avec son ex-libris héraldique.
On trouve en queue du dos le chiffre "C.C.R," qui nous laisse perplexe : s'agirait-il de celui de la seconde épouse de Benjamin Constant, Charlotte de Hardenberg, et qui devrait donc se lire Charlotte Constant de Rebecque ?
Provenance rare et précieuse pour ce livre de théologie protestante peu commun. Rousseurs tout au long du volume.
450 €
[Chronique] Ne t'en va pas de Paul Griffin
Auteur: Paul Griffin
Titre VO: Stay with me
Editions: La Martinière Jeunesse
Genre: Romance Young Adult
Pagination: 315
Prix: 14€
Titre VO: Stay with me
Editions: La Martinière Jeunesse
Genre: Romance Young Adult
Pagination: 315
Prix: 14€
Synopsis: Rien ne préparait Céce, lycéenne réservée mais pleine d'avenir, à tomber amoureuse de Mack. Le jeune homme est tout son contraire: il a abandonné l'école, attire les problèmes comme un aimant et se passionne pour le dressage des chiens maltraités.
Quand ils sont ensemble, pourtant, la vie semble tellement plus facile. Céce prend confiance en elle et Mack parvient à gérer son agressivité. La grisaille qui les entoure disparaît sous les projets d'avenir. Mais Céce réussira-t-elle à apaiser pour de bon la colère tapie dans le coeur de Mack? Jusqu'où, par amour, sera-t-elle capable d'aller?
Mon avis:
Les éditions La Martinière Jeunesse ont toujours le nez fin pour nous proposer de superbes romans Young Adult et dès lors où j’ai découvert Ne t’en va pas, j’ai su que ce roman avait tout pour me plaire. Encensé par les critiques, élu Meilleur Roman Young Adult 2011 aux Etats-Unis, Ne t’en va pas de Paul Griffin possède-t-il réellement les atouts nécessaires pour se mesurer et/ou se démarquer des autres romans du genre ?
Mack et Céce, deux adolescents malmenés par la vie et qui pourtant tout oppose, vont tomber amoureux l’un de l’autre. Ensemble, rien ne peut les atteindre. Mack parvient grâce à la présence de Céce à freiner ses instincts violents tandis que Céce découvre la vie sous un autre jour grâce à lui. Mais un soir tout bascule… L’amour est-il capable d’effacer les pires erreurs ?
Dans la même veine que les romans de Simone Elkeles, Paul Griffin nous offre un roman brut, authentique et poignant où l’adolescence difficile est dépeinte de manière abrupte et sans fioritures mais où l’amour bouleverse tout sur son passage…
Le message transmis par l’auteur à travers ce roman nous force à voir la vie d’une autre façon. Les préjugés face à une personne dites « différente », le droit à l’erreur et l’acceptation de soi. Ne t’en va pas est un roman fort, une véritable ode à la tolérance, à la vie tout simplement.
Les émotions assaillent le lecteur, il est impossible de rester indifférent face à ces deux êtres malmenés par la vie. Tout s’enchaîne pour nous faire traverser une palette de sentiments et émotions fortes, jusqu’à avoir la larme à l’œil.
J’ai également trouvé vraiment original que l’auteur aborde le thème des chiens maltraités, des combats de chiens, c’est plutôt rare dans la littérature et particulièrement dans les romans Young Adult. Et pour ceux qui me connaissent personnellement, vous savez à quel point je tiens en respect nos amis canidés et particulièrement les molosses, du coup, forcément, j’ai vraiment été touchée par ce thème. J’ai vraiment pris plaisir à découvrir de quelle manière la présence d’un animal peut faire changer un homme.
Concernant les personnages, l’auteur frappe fort. Pour ceux qui me suivent depuis deux ans, vous commencez à savoir à quel point j’aime les protagonistes dont la vie ne les a pas épargnées, les écorchés vifs. Et bien dans ce roman nous découvrons tout un panel de personnages forts, au passé et au présent tumultueux. Entre alcools, drogues, abandons, drames et accidents, on admire vraiment leur courage à toujours vouloir croire à un avenir meilleur. A moins d’avoir un cœur de pierre, il est tout simplement impossible de ne pas être bouleversé par ces protagonistes hors du commun.
La plume de l’auteur est à l’image du roman, brute, sans fioritures et efficace. Là où réside le talent de Paul Griffin est dans les émotions qu’il transmet à ses lecteurs grâce à la poésie sombre de ses mots.
Malgré tous ces points positifs, ne vous attendez pas à autre chose qu’une romance destinée à un public Young Adult, la trame reste assez simpliste, l’enchaînement des évènements est très rapide, peut-être trop à certains moments. Mais ce roman reste un excellent divertissement, les pages se dévorent et on arrive rapidement à la fin, qui je tiens à le souligner m’a vraiment touchée.
En conclusion, Ne t’en va pas est une romance Young Adult bouleversante, où les émotions percutent le lecteur, avec un message saisissant qui ne nous laisse pas indifférent. Un roman qui prône la tolérance et le respect, le droit à l’erreur et l’amour dans toute sa subtilité. Une très belle découverte que je ne peux que vous conseiller. Bonne lecture à tous ;)
Promotion prix réduit de pâques
Promotion Pascale à prix réduit de 2,6 Euro, du 26 Mars au 3 Avril des livres écrits par Aristide Didier T. CHABI.
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Vierge Marie
Paper money
De : Ken Follett
Edition : Le livre de poche
Année : 2013
Pages : 336
4ème de couverture :
Londres, années 1970. Un homme politique s’éveille au côté d’une rousse sulfureuse, tandis qu’une Rolls-Royce guette au pied de l’immeuble. Au même moment, un mafieux rassemble ses hommes de main et un magnat de l’édition décide de se retirer des affaires. Alors que le soleil se lève, leur vie va basculer. Détournement de fonds, chantage, tentative de suicide, OPA, tirs de chevrotine… Des événements en rafale, sans rapport apparent, que les journalistes de l’Evening Post parviendront à recouper de justesse en une seule et même histoire pour l’édition du soir. Ils ne se connaissent pas tous mais, avant le crépuscule, tous seront emportés dans la course folle d’un convoi de billets de banque…
Mon avis :
Plonger au cœur de Londres dans les années 70, j’avoue que l’expérience est déroutante surtout lorsqu’on revient d’un séjour dans la capitale anglaise.
Inédit de Ken Follett, le roman Paper money présente la haute sphère financière anglaise qui au cours d’une seule journée par différents événements vont se rencontrer, s’unir voir se détester. Plus qu’un roman policier, Paper Money est cet instant dans la vie d’un homme où notre vie bascule.
Par un geste, un mot notre situation change : en bien comme en mal. Comment faire d’un événement pour le moins banal dans une capitale, la première pièce d’un puzzle ? Comment faire d’une liaison extraconjugale, la garantie de ce puzzle ? Certains personnages ne se rencontreront jamais pourtant ce jour là : ils seront dans la même histoire.
La construction du récit est intelligente, chaque homme de pouvoir se développe dans un chapitre : Tony le maffieux, Tim l’homme politique, Laski le businessman, Hamilton le chef d’entreprise, un rédacteur en chef – bref, tout un petit monde qui dirige les sphères de Londres. Ken Follett manie l’art du suspense et du chantage comme jamais. Notre conscience est symbolisée par le jeune Kevin, journaliste au nom de la vérité – qui va vite comprendre que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire.
Le lecteur peut facilement s’identifier au lecteur du Evening Post et à un journaliste – on connaît les faits, on connaît les témoins mais pourtant sur le papier, la vérité est masquée. Des mariages qui se brisent dans l’ignorance la plus totale, des hommes puissants qui au cours de cet instant vont comprendre que l’argent dirige notre vie. Plus qu’un roman sur des personnages, Ken Follett nous livre l’essence d’une ville en plein cœur du choc pétrolier. J’ai bien aimé ce roman mais il me manquait cinquante pages supplémentaires pour en faire un coup de cœur.
De plus, j’ai eu beaucoup de mal avec tous les noms – aucun personnage n’est suffisant charismatique pour plaire et retenir son patronyme et il est vrai qu’au cours de ma lecture j’ai du à plusieurs reprises voir les chapitres précédents pour essayer de reconnaître le nom. Ce livre se situe certes en 1970 mais comme nous suivons seulement dix heures d’une journée, il nous est difficile de nous en rendre compte – dommage.
Néanmoins loin de correspondre aux policiers classiques, Paper Money a le bon gout d’être divertissant. Merci à Livraddict pour trouver toujours des partenariats alléchants et aux éditions Livre de poche pour le roman.
Plonger au cœur de Londres dans les années 70, j’avoue que l’expérience est déroutante surtout lorsqu’on revient d’un séjour dans la capitale anglaise.
Inédit de Ken Follett, le roman Paper money présente la haute sphère financière anglaise qui au cours d’une seule journée par différents événements vont se rencontrer, s’unir voir se détester. Plus qu’un roman policier, Paper Money est cet instant dans la vie d’un homme où notre vie bascule.
Par un geste, un mot notre situation change : en bien comme en mal. Comment faire d’un événement pour le moins banal dans une capitale, la première pièce d’un puzzle ? Comment faire d’une liaison extraconjugale, la garantie de ce puzzle ? Certains personnages ne se rencontreront jamais pourtant ce jour là : ils seront dans la même histoire.
La construction du récit est intelligente, chaque homme de pouvoir se développe dans un chapitre : Tony le maffieux, Tim l’homme politique, Laski le businessman, Hamilton le chef d’entreprise, un rédacteur en chef – bref, tout un petit monde qui dirige les sphères de Londres. Ken Follett manie l’art du suspense et du chantage comme jamais. Notre conscience est symbolisée par le jeune Kevin, journaliste au nom de la vérité – qui va vite comprendre que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire.
Le lecteur peut facilement s’identifier au lecteur du Evening Post et à un journaliste – on connaît les faits, on connaît les témoins mais pourtant sur le papier, la vérité est masquée. Des mariages qui se brisent dans l’ignorance la plus totale, des hommes puissants qui au cours de cet instant vont comprendre que l’argent dirige notre vie. Plus qu’un roman sur des personnages, Ken Follett nous livre l’essence d’une ville en plein cœur du choc pétrolier. J’ai bien aimé ce roman mais il me manquait cinquante pages supplémentaires pour en faire un coup de cœur.
De plus, j’ai eu beaucoup de mal avec tous les noms – aucun personnage n’est suffisant charismatique pour plaire et retenir son patronyme et il est vrai qu’au cours de ma lecture j’ai du à plusieurs reprises voir les chapitres précédents pour essayer de reconnaître le nom. Ce livre se situe certes en 1970 mais comme nous suivons seulement dix heures d’une journée, il nous est difficile de nous en rendre compte – dommage.
Néanmoins loin de correspondre aux policiers classiques, Paper Money a le bon gout d’être divertissant. Merci à Livraddict pour trouver toujours des partenariats alléchants et aux éditions Livre de poche pour le roman.
En y pensant, il y avait de quoi en rire: devenir millionnaire du jour au lendemain et ne rien trouver de mieux à faire que d'acheter une boite de chocolats!
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Bienvenu dans "In My Mailbox"
In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The StorySiren et inspiré par Alea du blog Pop CultureJunkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.
Les liens des participants francophones sont regroupés sur le site de Lire ou mourir (anciennement sur le blog La bibliothèque de Lilie).
Cela fait un sacré bout de temps que j’entends parler de ce livre. Et voilà que je tombe dessus totalement par hasard à ma bibliothèque. Avec le film au cinéma en ce moment je n’ai plus d’excuse, je me devais de le lire !
J’ai appris récemment que la série allait être rééditée. Or je déteste posséder plusieurs tomes d’une même série dans deux éditions différentes ! C’est pourquoi, même si je n’ai lu que le premier volume, je me dépêche d’avoir tous les tomes dans ma bibliothèque avant qu’ils soient en rupture de stock !
Et vous, qu'avez vous reçu, acheté, emprunté ?
Constant Le Breton : 51 estampes pour les Petits poèmes en prose de Charles Baudelaire
Le Breton, Constant
[Baudelaire, Charles]
Suite de 51 gravures sur bois tirées sur Chine mince pour les Petits poèmes en prose de Baudelaire (Kieffer, 1922)
[Paris, René Kieffer, 1922].
Suite de 27 grandes gravures (13,5 x 11 cm environ chaque) et de 24 bandeaux (6,5 x 11 cm environ) tirées sur Chine mince et à petites marges.
Épreuves d'essai avant la lettre. Le livre fut tiré à 550 exemplaires, les 50 premiers avec suite, et compte 145 gravures sur bois, lettrines et ornements compris. La finesse du papier, richement encré, rend ces épreuves particulièrement saisissantes.
Certaines épreuves un peu froissées en marges, mais superbe dans l'ensemble. (MONOD, 1140 ; CARTERET, V, 25)
Certaines épreuves un peu froissées en marges, mais superbe dans l'ensemble. (MONOD, 1140 ; CARTERET, V, 25)
vendu
Top Ten Tuesday #1
Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini.
Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Lani.
Voici donc le thème de cette semaine:
Starters de Lissa Price, je l'attendais avec impatience et au final il dort toujours dans ma PAL... J'avoue que les avis plus que mitigé n'ont pas aidé à me motiver!

Pure de Julianna Baggot, j'ai fais des pieds et des mains pour l'avoir, allant jusqu'à supplier la vendeuse d'aller le chercher dans la réserve et résultat... Toujours dans ma PAL, j'ai un peu honte pour le coup!!

Toujours dans le même registre, Insoumise d'Ally Condie, ça va bientôt faire un an que je l'ai acheté, j'avais beaucoup aimé le premier opus, j'ignore pourquoi je le laisse ainsi prendre la poussière...

Hors limites de Katie McGarry, le synopsis m'avait tellement tapé dans l'oeil que je m'étais précipiter en magasin dès sa sortie. Il me tente toujours autant et je vais m'obliger à le lire rapidement ;)

Kaleb de Myra Eljundir, vous devez très certainement vous douter pourquoi ce livre est toujours dans ma PAL! Les avis sont tellement divergent que j'avoue avoir un peu peur de me lancer, mais va bien falloir s'y mettre un jour ou l'autre ^^

Crimes au clair de Lune est dans ma PAL depuis ce qui me semble être une éternité... Pourtant c'est le genre de roman que l'on peut facilement lire!

J'ai fais une tête au carré à mon homme pour Le pouvoir des six de Pittacus Lore, il a cédé à mon caprice (oui, à ce stade, on peut appeler ça un caprice) résultat des courses, je ne l'ai toujours pas ouvert...


Voilà pour ce Top Ten Tuesday, je ne vous cache pas que je ne suis pas très fière... La morale de cet article? Éviter de regarder les sorties littéraires... mais pas sûr que je m'y tienne ;)
Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Lani.
Voici donc le thème de cette semaine:
Les 10 livres que vous avez achetés dès leur sortie ("à acheter d'urgence") mais que vous n'avez pas encore lus
Autant vous dire tout de suite que ce thème me parle énormément... Je fais ça souvent (trop souvent?) et 10 livres c'est juste un bref aperçu lol

Encore une dystopie avec Never Sky de Veronica Rossi, je l'ai acheté principalement pour sa sublime couverture mais je ne me suis jamais décidé à le lire, pourtant il a l'air vraiment sympa!


Toujours dans le même registre, Insoumise d'Ally Condie, ça va bientôt faire un an que je l'ai acheté, j'avais beaucoup aimé le premier opus, j'ignore pourquoi je le laisse ainsi prendre la poussière...

Hors limites de Katie McGarry, le synopsis m'avait tellement tapé dans l'oeil que je m'étais précipiter en magasin dès sa sortie. Il me tente toujours autant et je vais m'obliger à le lire rapidement ;)

Kaleb de Myra Eljundir, vous devez très certainement vous douter pourquoi ce livre est toujours dans ma PAL! Les avis sont tellement divergent que j'avoue avoir un peu peur de me lancer, mais va bien falloir s'y mettre un jour ou l'autre ^^

Crimes au clair de Lune est dans ma PAL depuis ce qui me semble être une éternité... Pourtant c'est le genre de roman que l'on peut facilement lire!

J'ai fais une tête au carré à mon homme pour Le pouvoir des six de Pittacus Lore, il a cédé à mon caprice (oui, à ce stade, on peut appeler ça un caprice) résultat des courses, je ne l'ai toujours pas ouvert...

Le livre perdu des sortillèges de Deborah Harkness, j'ai attendue bien sagement que la vendeuse ouvre les cartons pour le mettre en rayon, je l'attendais avec impatience et pourtant il traîne toujours sur mes étagères. Au final, j'aurais mieux fait d'attendre puisqu'il est maintenant sorti en poche, ça m'apprendra!

Pour Cavalier vert tome 4, j'ai supplié mon frère de se rendre dans une librairie vu qu'il n'était pas disponible près de chez moi, il l'a acheté, a fait quarante bornes pour me le ramener... Finalement il dort toujours dans ma bibliothèque mais je me suis bien gardé de le dire à mon frère XD J'adore vraiment cette saga mais je ne suis plus très sûre de me souvenir du dernier tome...
Voilà pour ce Top Ten Tuesday, je ne vous cache pas que je ne suis pas très fière... La morale de cet article? Éviter de regarder les sorties littéraires... mais pas sûr que je m'y tienne ;)
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