LA SELECTION par Kiera Cass


Infos sur le livre :
Titre : La Sélection (Tome 1 d’une trilogie)
Auteur : Kiera Cass
Edition : Robert  Laffont Collection « R »  2012  (343 p)
Traduit par : Madeleine Nasalik
Titre original : The Selection
Pays : USA
Publié : 2012
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Pourquoi ce livre ???
Un argument purement esthétique au départ, vu que ce livre fait partie d’une trilogie dont les couvertures m’ont fait craquer.

Mon avis
J’avais commencé ma lecture avec des aprioris négatifs, quand on sait que je n’affectionne pas spécialement les romans pour jeunes adultes, on comprend tout de suite pourquoi.
Ce paramètre ne m’a pourtant pas empêché de m’acheter les deux tomes d’un coup !!
La vilaine que je suis a privilégié le contenant, au point de confondre bibliothèque et dressing !
Ok ! On a tous nos faiblesses, et il faut parfois prendre des risques dans la vie J
Et on est bien content, lorsqu’on y gagne.
Ce fut mon cas, contre toute attente, j’ai apprécié ce premier opus…chouette non ? ;-)
Ce premier volet a été l’occasion pour moi de faire connaissance avec « America Singer », une jeune fille de 16 ans qui vit à « Illéa » : la nouvelle Amérique.
Il faut savoir que l’histoire se déroule dans le futur, à trois cents ans de notre ère, et que les Etats-Unis ont disparus après une guerre avec la Chine.
Le système devient monarchique, avec plusieurs classes sociales, « les castes », il y en a 9, hiérarchisées selon les métiers et les revenus, et face à la misère des plus défavorisés, des rebelles menacent « Illéa » et la famille royale.
América appartient aucaste cinq, elle et sa famille appartiennent à une classe d’artistes, ce n’est pas pour autant qu’elle mène une existence à l’abri du besoin.
Un concours est organisé pour le mariage du Prince et pour se faire, 35 candidates seront sélectionnées, parmi eux, América bien évidemment.
Sauf qu’il y a un os, America a déjà d’autres projets, et pas sûr qu’elle soit prête à tout remettre en question.
J’ai beaucoup aimé cette fille très spontanée et rebelle, assez rigolote dans son genre, son personnage est très ancré dans l’histoire.
Concernant l’écriture, celle-ci est très simple, l’histoire se lit donc très vite, franchement je n’ai pas vu les pages défiler, c’est frais, et on passe un bon moment.
Néanmoins, petites déceptions face aux promesses de ce livre par rapport à :
 -  L’univers dystopique, que j’ai trouvé à peine évoqué, je m’attendais à ce que ça soit plus approfondi.
-  Le concept de la télé réalité, un outil non utilisé, l’auteur a opté pour la facilité je trouve, point de compétition, rien qui rappelle le système que l’on connait assez maintenant, avec toutes les émissions qu’on nous sert à la télévision ces dernières années.     
Ces deux paramètres cités font pal figure devant la Romancequi prend quant à elle toute la place.
Pour finir, bien que pour le moment l’histoire ait été très prévisible pour moi, ça n’a en rien gâché mon plaisir, le conte de fée m’a charmé, j’ai passé un moment agréable durant cet authentique roman pour fille.
Je lirai la suite, le tome 2 est dans ma PAL.
Pour le tome 3, je l’achèterai à sa sortie afin de compléter la trilogie, et à ce propos, je pense que sa couverture sera : Ocre ou Argentée, et vous, qu’en pensez-vous ?
 
Bonne Lecture

Designers are sneaky

photo

And thus you should always look under the jacket. (Yes, I still owe Blythe Woolston a Hieronymus Bosch tattoo.)

Attachement de Rainbow Rowell


 Titre:  Attachement
Auteur:  Rainbow Rowell
Édition: Editions Milady (Central Park)
Nombre de page: 480 pages
Prix: 7,90 €
 Commandez : Attachement


 Résumé:

 Lincoln, gentil geek aux faux airs d’Harrison Ford, travaille dans une entreprise où son rôle consiste à contrôler les e-mails des employés. C’est ainsi qu’il parcourt les échanges de Jennifer et Beth, deux copines aussi impayables qu’attachantes. Sans même l’avoir vue, Lincoln va tomber amoureux de Beth. Mais comment lui déclarer sa flamme sans passer pour un fou ? Surtout que la jeune femme semble avoir un faible pour un « inconnu » qui travaille dans le même immeuble

 Ce que j'en dit moi:
A la base c'est un livre qui ne me faisait pas vraiment envie, ou alors vaguement parce que j'avais lu une chronique sur le blog de Pommebook, mais il ne m'intéressait pas plus que ça. Jotman a insisté pour une lecture commune, je me suis donc laissée tenter et me le suis procuré d'autant plus qu'il me tenté un peu et je l'ai trouvé sympa sans plus, ne me jeter pas la première pierre, je me douté que j'aurais cet avis, mon instinct ne me trompe jamais! C'est peut-être aussi parce que ma période romance semble m'être passée., même si ce n'est pas vraiment de la romance dans le genre Harlequin, mais plus un bouquin à la Marc Levy.

J'ai adoré retrouvé l'an 2000, l'excitation que l'on ressentait à l'arrivée d'un nouveau siècle est d'un nouveau millénaire. Je n'avais que dix ans à l'époque, mais je me souviens a quel point moi et mes copains étions fébriles et puis il devais avoir la fin du monde, remarque on a eu la même chose avec le 21 décembre !
Alors, ça fais quoi d'être toujours vivant malgré tout?

Lincoln un peu geek avant l'heure, a été embauché dans un journal pour s'assuré que les employés ne passe pas leurs temps sur internet. Le journal venait à peine d'installer des ordinateurs et internet dans ses locaux et ses dirigeant était assez méfiant quand aux activités que pourrais avoir les employés. Le rôle de Lincoln était de les surveillés et de lire leur mail, ce qui lui déplaît. Il envisage d'économiser et de se trouver un autre travaille, parce qu'en plus de le gênais ce travail l'ennuie, il passe la plupart de ces nuits à ne rien faire. Oui parce qu'en plus il travaille de nuit! Ce qui n'aide pas ce grand asocial à faire de nouvel rencontre, malgré tout le temps passe et rien ne change ou n'évolue, sauf son insatisfaction grandissante.

Lincoln est un personnage que je trouvais par bien des côté agaçant, il veut que sa vie change mais ne fait aucun effort pour que ça arrive, il s'est enfermé dans une routine et refuse d'en sortir, mais heureusement il se décide de se reprendre en main pas à pas, les petits changements entraine les grands.

D'un autre côté il y a Beth que l'on découvre uniquement au mail qu'elle échange avec son amie Jennifer, mail, qu'elles partagent malgré elles avec Lincoln. Les deux sont pleines de vie, ont beaucoup d'humour et surtout en confiance l'une en l'autre, essayent de se dire ce qu'elle pense à l'autre mais ne veut pas la blesser outre mesure, j'ai adoré ce qui apparaissait de leurs relations au travers de leur mails.
Beth est une jeune femme pleine de vie, d’auto-dérision et surtout elle est en couple avec un homme qui lui convient pas et qui dit l'aimer mais n'est pas près à l'épouser. Elle en a conscience, mais préfère fermé les yeux et peut-être que c'est aussi plus confortable. Elle est avec lui depuis plusieurs années, c'est un musiciens à l'air rêveur qui rend folle toutes les filles ou presque, malheureusement il n'a pas ou peu les pieds sur terre du coup Beth regarde ailleurs et repère un mystérieux mec mignon dans les locaux du journal. Elle fantasme sur lui se pose pleins de question et surprise, ce mec mignon n'est ni plus ni moins que ce chers Lincoln. Il va vite s'en rendre compte, je pense que ça l'a aidé à prendre conscience de son apparence, Lincoln m'a un peu fait penser à un ados qui découvre l'amour et les femmes, c'est à partir de la qu'il se rend un peu plus compte de qui se passe autour de lui.
En conclusion:
C'est certainement pas le livre du siècle, ni la romance du millénaire d'après moi d'autant plus que la fin est assez bâclée, mais ça reste un livre agréable à lire, on s'attache au personnage même et surtout à Lincoln malgré ces défauts et surtout avant d'être l'histoire de Beth et Lincoln c'est surtout l'histoire de Lincoln que l'on suit, son point de vue, son évolution.


COL DE L'ANGE par Simonetta Greggio


Infos sur le livre :
Titre : Col de l’ange
Auteur : Simonetta Greggio      ICI
Edition : Stock
Publié : 2007
Sur photo : Edition Succés du livre 2008 (141 pages)
Pays : France
Quatrième de Couverture : " Quand tu étais petite, on t'appelait Nine, puis à un moment donné, pour tout le monde, tu as été Blue : la couleur du ciel dans la tête des gens, et le blues, la musique et la mélancolie.
Tu étais un poulet rôti, une escarbille. Tu as fleuri d'un coup. Tu es devenue une femme, la plus belle. Tu t'es transformée sous les yeux de Marcus. Avant, il pouvait te manger la joue d'un baiser, sans arrière-pensées. Ensuite, il n'a rien désiré autant qu'entourer tes chevilles de ses deux doigts, tes poignets de son coeur en lanières, et ta taille d'un noeudde pendu. "

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Pourquoi ce livre ???
Totale découverte lors d’une opération promotion de livres.

Mon avis
Un petit livre qui doit sa valeur à la plume de son auteur Simonetta Greggio, une Italienne dont les romans sont d’expression française, et que j’ai trouvé magnifique.
L’espace d’un court roman, on se retrouve en immersion totale dans une bulle de sentiments qui sont décrits avec beaucoup de poésie et où les histoires d’amour et d’amitié de « Blue » sont mises en avant.
Blue est une très belle femme, passé la quarantaine, dont le charme et la beauté physique ont défié le temps, mannequin de profession et installée confortablement sur Paris, sa vie bascule le jour où son colocataire et ami de toujours « Nunzio » disparait mystérieusement sans laisser de traces.
Commence alors pour elle, une tourmente de plusieurs jours, des questions sans réponses, une quête qui la mènera jusqu’au « Col de l’ange », son village natal, à la recherche de « Nunzio ».
Lieu qui les a vu naître et où ils ont grandi main dans la main et vécu une partie de leur vie tous les deux.
Pourquoi son meilleur ami a choisi de partir, sans prévenir ? Tout semblait bien fonctionner pour lui, vie privée et professionnelle comprises ?
Il lui semble qu’elle pourra trouver des réponses au « Col de l’ange », peut être auprès de « Marcus », le frère de « Nunzio » qui lui, est resté sur place.
C’est ainsi que l’on suit sa quête vers la vérité, et l’originalité ici, c’est que l’auteur choisi de prêter la narration à « Nunzio », c’est lui qui va nous raconter l’histoire, celle de Blue et la sienne en butinant du passé vers le présent.
Occasion pour nous lecteurs de dresser progressivement le portrait des personnages, de les approcher et de les connaitre davantage pour enfin comprendre l’histoire.
Dans ce livre, pourtant à l’atmosphère étrange et à la limite du surnaturel, je n’ai pas trouvé l’histoire extraordinaire, c’est l’écriture de l’auteur qui donne toute sa dimension au livre.
L’auteur aborde les thèmes qui rythment nos vies, amour et amitié, les souvenirs, les émotions, les origines, la mort, l’enfance, le chagrin et les abus l’espace d’un roman très intimiste qui brille par la sonorité des mots et des phrases qui se suivent, une écriture délicate et touchante, qui à plusieurs reprises m’a ému, le style poétique omniprésent prouve la grande sensibilité de l’auteur.
Si vous aimez les petites histoires sans prétentions, les jolies plumes et les textes tendres, ce roman est fait pour vous.

Bonne Lecture


Dealing with Publisher Deadlines: 4 Steps for Putting Business Before Art

As you may or may not know, I don't *just* write zombie books for a living. Instead, I am a full-time freelance writer, specializing in ghostwriting full-length business, health, and other fiction and nonfiction books. But I often learn lessons in my "day" job that lend themselves to my "zombie" job, and this is one of them:

Recently I had not one, not two but three VERY demanding publisher deadlines. One publisher was gracious and gave my ghostwriting client three months to write a complete book. Two more gave us only two months to complete our respective books.

Now, keep in mind, a traditional book for a traditional publisher (in this case two of the books were business and one was self-help) typically weighs in at between 45,000- and 60,000-words. Some are even higher. In our case the word counts for all three books were typically around the 50,000-word mark.

Now, this post is not to look for pity or have you marvel at my speed writing skills, but merely to say that when your dream of writing for a traditional publisher finally comes true, be prepared for some hard realities about the business of writing for a living.

One of those realities, it seems, is that publishers often give you firm deadlines that are less than generous. I know; I know – you treat writing as an art. Hey, so do I! But occasionally compromises must be made and when a publisher is paying you to create that work of art one of those compromises is often that art comes with a deadline!

Here are four simple steps for dealing with deadlines:

 
1.) Focus:The worst thing you can do in the face of a deadline – even a stiff one – is to panic. You must remain focused and have a clear goal in mind. For instance, typically by the time I’ve been given a publisher’s deadline I have written at least a sample chapter or two (from the book proposal) that the publisher has approved. This is my starting point; these one or two chapters let me know what, exactly, the publisher likes about the project and how they want it written. It also gives me a starting word count. So let’s say the publisher wants a complete, thorough 50,000-word manuscript in the next 60 days. Wow, okay, after taking a couple of breaths I do a quick word count on my two sample chapters and realize, hey, I’ve already written 8,000-words. Now the words I have to write has gone down from 50,000-words to “only” 42,000-words!

2.) Prioritize:Most writers DON’T write for a living; I get that. Most of us have day jobs, families, schedules to keep, bills to pay and only so many hours in a day. Still, this is what you dreamed of, this is what you wanted and you can’t give up on that now simply because 42,000-words seems extremely intimidating. Instead you must prioritize your schedule to make the time you need to write the book you want. How do you do that? First you need to figure out a schedule:

3.) Schedule:So, let’s be clear – you have 42,000-words to write in 60 days. What? How? When? Why? First, don’t panic. Now you need to prioritize what needs to be written first and how long it might take. Do some quick math. The book is nine chapters long but you’ve already written two of them; that leaves seven. Dividing 42,000-words by seven chapters leaves you 6,000-words a chapter. Okay, now at least you know what needs to go into each chapter. How long will it take you? If you were to do a chapter a week it would take you 7 weeks to get done. Great! That leaves you one week to not do any writing but simply to read the book from start to finish and make sure it’s clear, coherent and up to your – and the publisher’s – standards.

4.) Clarify:Finally, your book must be clear. One of the biggest challenges with writing a big book fast is that you can work so quickly, for so long that you lose track of what the book is about in the first place. You have to avoid that trap and bring clarity to the process. Build re-reading time into your writing time. For instance, if you’re doing 6,000-words a week, don’t just slack off all week and do all 6,000-words on Sunday! Instead, shoot for writing 1,000-words a day and give yourself Sunday to read over what you’ve written and clean it up so each page, of each chapter and each chapter of the entire book is clear, focused and stays true to the pitch you made the publisher – and the promise you made to your reader – way back in the book’s Introduction.

 
Meeting deadlines is tough, but when you follow these four steps you can safely turn in a good, well-written, clearly polished book on time while still wearing your artist’s hat.

Yours in publishing,

Rusty

Absences


De : Sophie LaPlante
Edition :  Robert Laffont
Année : 2013
Pages : 414
4ème de couverture : 
Amanda O'Toole, soixante-quinze ans, a été retrouvée morte à son domicile, amputée de quatre doigts de la main droite. La police soupçonne la voisine et amie d'Amanda, le docteur Jennifer White – chirurgien orthopédiste à la retraite – d'être l'auteur de ce meurtre. Mais Jennifer est atteinte de la maladie d'Alzheimer et ne sait pas elle-même si elle est coupable. Elle partageait une relation extrêmement intime avec Amanda, même si ces deux femmes énergiques et orgueilleuses avaient été aussi par moments des adversaires redoutables. Amanda entendait parfois régir la vie de son amie et, sous prétexte d'honnêteté, dévoiler certains secrets qui auraient dû rester enfouis, relatifs notamment au mari de Jennifer, James, avocat retors, décédé depuis peu. Sans enfant et marraine de Fiona, la fille de Jennifer, Amanda instaurait une rivalité et un rapport de forces constant avec son amie, plus brillante, plus gâtée qu'elle par la vie. C'est la voix de Jennifer qui raconte cette amitié complexe et sa vie passée, de façon fragmentée, par des bribes, des souvenirs, des conversations, ou encore par le biais d'un journal qu'elle tient pour tenter de combattre la détérioration de son esprit et ou ses enfants et amis sont amenés à témoigner de temps à autre. Ils émergent également de ce brouillard de la conscience, tour à tour confuse et lucide, de Jennifer : Amanda, bien sûr, Fiona, mais aussi Mark, le fils de Jennifer, ambigu comme son père, ou encore Magdalena, la garde-malade dévouée mais qui a des secrets, elle aussi. Jennifer White finira-t-elle par retrouver dans sa mémoire malade des révélations sur le meurtre d'Amanda ? Est-ce elle qui l'a tuée et lui a ainsi mutilé la main ? Pour quelle raison ? Face à une personnalité aussi imprévisible et tourmentée, la vérité ne peut être simple.

Mon avis :


J’avais très envie de lire Absences d’Alice LaPlante, mais malheureusement le roman ne m’a hélas pas convaincu.
Il serait faux de dire que le roman est un navet, car j’ai apprécié l’écriture mais également la mise en page des paragraphes : courts et aérés.
Toutefois ce qui m’a déçu réside dans l’histoire en elle-même et le genre dont celle ci appartient.
Absences, un thriller ? Je n’ai pas retrouvé les éléments qui font d’un roman un bon thriller, certes il est question d’un assassinat et l’on ne connaît pas le criminel ! - Mais l’allusion au genre s’arrête là.
Je considère davantage le roman d’Alice LaPlante comme un livre traitant (et très bien) sur la maladie d’Alzheimer.

Jennifer, le personnage principal m’est apparut comme antipathique, froide – il est de même pour ses enfants Fiona et Mark.
Amanda (dans les flash-backs où elle apparaissait) était assez étrange.
Le seul personnage qui m’est plu, fut l’enquêtrice en charge de l’affaire mais en être réduit à apprécier les personnages très secondaire : résume assez bien l'impression que laisse le livre sur le lecteur !

La quatrième de couverture m’avait attiré pour l’originalité de l’histoire : le meurtre d’une femme, un suspect mais un suspect souffrant de la maladie d’Alzheimer. Jennifer a t’elle assassinée son amie ou est elle un témoin important ?
Qui ne serait pas attiré ?
Hélas, hélas – dès le début j’ai su la fin de l’histoire ! Et cela saute aux yeux dès la moitié du roman.
Trop d’informations sont divulguées pour laisser un minimum de suspenses.
Quand on plonge dans l’intimité et le passé de Jennifer – j’ai eu l’impression de lire un Richard Yates – une version inférieure mais ce sont certainement mes meilleurs moments.

Bref, Absences n’est pas un roman transcendant, ce n’est pas un très bon livre – il se lit bien.
Mon avis peut paraître court mais je n’ai rien à dire véritablement.

Je remercie vivement les éditions Robert Laffont et livraddict pour ce partenariat.



Je fouille le livre à la recherche d'une citation ...


Eternels tome 4 : la flamme des Ténèbres d'Alyson Noel

Dès qu'Ever révèle à son amie Haven les pouvoirs de sa nouvelle condition d'immortelle, celle-ci devient incontrôlable… Obsédée par ses capacités extraordinaires, elle expose leurs secrets aux
yeux de tous, mettant en péril leur monde, l'Eté perpétuel. Au même moment, Ever se plonge dans la magie pour libérer son âme soeur Damen du sort dont il est prisonnier. Mais une erreur de formule la lie à son ennemi de toujours : Roman. Elle éprouve alors une irrésistible attirance envers lui. Ce dernier en profite pour mettre en oeuvre ses stratégies les plus cruelles pour la détruire. A deux doigts de baisser la garde, Ever puise dans ses dernières ressources pour se libérer de la malédiction qui la sépare de Damen. Un amour vrai ne s'éteint jamais.


J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire de ce quatrième tome, en effet, ça faisait un petit moment que j'avais lu le tome 3. Donc, j'ai peiné à me remémorer l'histoire dudit précédent tome.

Mais au fil de l'histoire, je suis vraiment rentrée dedans et j'ai toujours les mêmes sentiments vis à vis des personnages, j'aime beaucoup Ever et j'ai du mal à cerner Damen.

On ne peut pas dire que ce soit un coup de coeur mais j'ai vraiment passé un bon moment, tout devient assez ésotérique (voyance, sorcellerie, réincarnation...) et j'aime bien ce côté.

L'écriture d'Alyson Noel est toujours aussi agréable sans superflue, en bref je lirais la suite avec plaisir.


Faux pas de Maria Adolfsson (Doggerland 1)

Quatri�me de couverture C�est le lendemain de la grande f�te de l�hu�tre � Heim?, l��le principale du Doggerland. L�inspectrice Karen Eiken...