Ce livre propose un choix de lettres de la correspondance de Nietzsche dans lesquelles il est question de l�Italie. �crites de diff�rentes villes italiennes entre 1876 et 1889, elles font appara�tre le philosophe sous un angle inattendu : voyageur, marcheur (� Je suis au moins huit heures par jour sur les chemins : c�est � ce prix que je supporte la vie �), � m�decin et patient en une seule personne �, homme qui aime le Sud, qui cherche et trouve l�endroit o� le travail est enfin port� par une force vitale d�bordante.
Ce n�est qu�en Italie � aim�e pour son climat, sa lumi�re, ses villes � que Nietzsche trouvera les conditions d�une vie d�sirable, conforme � � ce que nous sommes et ce que nous voulons �. Soit : � du calme, de la grandeur, du soleil �. C�est cette � grande trinit� de la joie � qui le guidera dans ses errances, � la recherche d�� une nouvelle nourriture, un nouveau soleil, un nouvel avenir �. De Sorrente � Venise, o� il fera de nombreux s�jours et dont il appr�ciera la sereine beaut�, puis G�nes, o� il se construira l�existence la plus clandestine, jusqu�� Turin, ultime s�jour paradoxal et tragique, moment de sa plus grande cr�ativit� et lieu de son effondrement.
� En toutes choses, je trouve qu�ici la vie vaut la peine d��tre v�cue. �
Choix et traduction de Florence Albrecht et Pierre Parlant
Pr�face de Pierre Parlant
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